Vivant et en marche...
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Re: Vivant et en marche...
Hello Virgule,
Je t’aime Virgule !!
Mais dis-moi, dis-moi… ne puis-je t’y accompagner ?
Parce que je l’ai entendu comme une révélation !
A hauteur l’un de l’autre, et ça me fait pleurer (ce que c’est que de nous, hein ?!!)
Tu ne pouvais le savoir, mais j’aime les arbres plus que tout dans le monde végétal, (et les éléphants dans le monde animal… d’ailleurs, bien que douce et sensible, n’a-t-il pas une peau d’arbre… mais je m’égare !)
Nous avons parlé notre langage, a hauteur l'un de l'autre: rien d’inférieur dans la création : tout de même valeur, et alors douloureusement, oui, parce que sachant cela, beaucoup d’autres ne le savent pas, ou ne veulent le savoir, et la douleur alors…
Oui, bien sûr : le langage non-verbal, tu as raison.
… susceptible de les séparer… Par l’un : mal entendu de l’autre, peut-être, et ce qui est là, mal entendu, pourrait bien se dresser entre eux comme un... malentendus justement !
Oui, d’autres mots pour dire la même réalité.
Non ce n'est pas ainsi que je le ressens, si tant est que ce sont de gros sabots, moi je les aime Bernard ! Fais donc encore, et encore souvent, résonner tes pas ici, chaussés de tes gros sabots : ils sont ce que méritent le malheur et la douleur : être dit et questionnés sans relâche pour qu'enfin, peut-être, eux fassent... relâche !!
Imala
Non, bien sûr que non ! C’était pour souligner mon approbation.J'ai pas compris ce que signifiait ces points d'exclamations. Ai je dis une bêtise?
…Tu es là… tu penses à autre chose… sans que tu t’en avises tu tournes la tête et ton regard croise celui de l’autre qui alors se détourne, gêné d’avoir été pris en flagrant délit de curiosité, tu souris en toi-même, et tu regrettes quelque peu son retrait, la fugacité de l’échange, tu sais qu’il y a là quelque chose d’important, et tu voudrais oser, et tu voudrais qu’il ou elle ose, tu sais que c’est possible, un sourire, une venue, oui : une venue !! Mais il retourne à ses affaires, et toi aux tiennes. Néanmoins, il arrive que tu sois plus rapides, tu ne souris pas qu’en-dedans, tu lui souris, là, dans l’instant, et l’autre se détourne moins vite, te souris en retour, et si tu as de la chance, laisse là sa curiosité, se rend présent à toi et te regarde dans les yeux, et là tu sais, parce que tu le reconnais !
Il est là et je suis là, et c’est bien dira l’enfant.
Parce que c’était lui, parce que c’était toi dirait Montaigne…
Et moi je dis : c’est éternel…
Virgule en lui même et repondant a la même situation: J'hallucine!!! C'est quoi ce truc! waaaah! t'as vu ça! Tu as vu ses yeux, et ce coeur, comme il est pur! Tu te rends compte toi, de ce qu'il se passe! j'en reviens pas! Comme c'est beau! oh! comme j'Aime! Tu crois que c'est aussi ça une vérité? J'en sais rien! mais en tout cas, merci seigneur qui que tu sois, merci la terre de m'avoir permis de connaitre cela! d'être cela... et tout aussi joyeux que benefiquement perturbé s'en irai le pauvre et riche virgule.
Je t’aime Virgule !!
Tant de choses imala.Que te demandes-tu parfois ?
Mais dis-moi, dis-moi… ne puis-je t’y accompagner ?
Pourquoi douloureusement?imala: J’aime douloureusement ce que tu dis ici. Et je dis oui. Entendre et acquiescer, parce que ce que l’on entend résonne, raisonne au fond de soi, et trouve : chemin de vérité.virgule: Qui étant sensible, pourrait vouloir faire d'un arbre un homme, pour trouver de quoi se le comparer? Il a ses facultés, et nous les nôtres? Sans doutes ne sait il pas grand choses des nôtres, sans doute ne savons nous pas grand choses des siennes...
Pourtant plus d'une fois j'ai appris de l'arbre, plus d'une fois je l'ai senti, aimer, plus d'une fois nous avons parler notre langage, a hauteur l'un de l'autre;
Parce que je l’ai entendu comme une révélation !
A hauteur l’un de l’autre, et ça me fait pleurer (ce que c’est que de nous, hein ?!!)
Tu ne pouvais le savoir, mais j’aime les arbres plus que tout dans le monde végétal, (et les éléphants dans le monde animal… d’ailleurs, bien que douce et sensible, n’a-t-il pas une peau d’arbre… mais je m’égare !)
Nous avons parlé notre langage, a hauteur l'un de l'autre: rien d’inférieur dans la création : tout de même valeur, et alors douloureusement, oui, parce que sachant cela, beaucoup d’autres ne le savent pas, ou ne veulent le savoir, et la douleur alors…
Je suis d'accords a condition de pouvoir nuancer car en réalité, il ne se taira pas malgrés le silence apparent. Les corps et attitudes sont un langage a part entière. Aussi ce qui doit être dit sera tout de même dis,..Je le dirai autrement : celui qui en est à ce point, ni parle plus, et préfère le silence à la parole dès lors qu’il ne peut parler selon lui-même, car ce serait se nier, et du même coup, interdire à l’autre cette possibilité d’être, l’entraîner dans une relation qui serait non relationnelle au sens absolu du terme… Alors oui, il se taira devant qui est incapable de recevoir…
Oui, bien sûr : le langage non-verbal, tu as raison.
de manière parfaite fonction de leur nature respective.
… susceptible de les séparer… Par l’un : mal entendu de l’autre, peut-être, et ce qui est là, mal entendu, pourrait bien se dresser entre eux comme un... malentendus justement !
Nous disons dans ce cas, ce que nous pensons en étant aussi vrai et sincère que possible.Oui, absolument, tu as raison. Cette vérité que nous disons n’est finalement qu’interprétation du réel que nous vivons.
Mais néanmoins, nous disons la vérité en notre âme et conscience, n’est-ce pas ?
Oui, d’autres mots pour dire la même réalité.
Bernard a dit :
Imala, c' est vraiment un plaisir de te lire . Tu fais preuve d' une sensibilité exceptionnelle . Face à toi, j' ai l'impression d' avoir de gros sabots ! Sourire !
Non ce n'est pas ainsi que je le ressens, si tant est que ce sont de gros sabots, moi je les aime Bernard ! Fais donc encore, et encore souvent, résonner tes pas ici, chaussés de tes gros sabots : ils sont ce que méritent le malheur et la douleur : être dit et questionnés sans relâche pour qu'enfin, peut-être, eux fassent... relâche !!
Imala
Imala- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Date d'inscription : 21/05/2008
Re: Vivant et en marche...
Salut imala,
La vérité toute nue autant que je puisse la dire c'est donc que: j'ai aimé que tu m'aimes, j'ai aimé te savoir capable de le dire sans fard, sans detour.
J'ai aussi aimé ce que tu as aimé.
Et tu sais pourquoi j'ai aimé cela?
Parce que je me dis que ce que tu as aimé, ce n'est pas ce virgule que tu ne connais pas, mais ce qui a animé le cœur de virgule: cette Inconnue au cœur entier qui regarde une fleur sans la cueillir...pour la laisser vivre...
et je crois que si tu ne l'avais pas toi aussi, ce même coeur, ce même amour, si tu n'en était pas nourri, tu ne m'entendrais pas, et surtout pas aussi facilement ce que je dis. Aussi, grâce a ta sincérité, et a ce que tu sembles être, ici, je me sens un peu moins seul au milieu de nulle part.
Donc merci!
Si cela n'y aie pas, c'est le contenu du contexte qui prendrai le relais, et permettrai de formuler.
Or ici, il n'y a pas assez de tout ça, pas assez pour se dire autrement que comme on le fait a présent. Mais c'est déjà un bien.
En tout cas, celui dont je parles n'est pas capable de susciter le moindre mal entendu, etant lui même un miroir parfait.
Je me suis demandé longtemps comment j'allais répondre a cela, a ce mouvement, que j'ai pris comme un mouvement du cœur qui a eu le besoin de s'exprimer, qui a eu l'honnêteté et le courage de le faire si simplement. Je me suis dis en moi même, qu'est ce tu veux que je réponde, qu'est ce qu'il faut que je dise? Je me suis dis, il faut que tu sois a la hauteur. Puis je me suis suis rendu compte qu'en fait je cherchais a me cacher, derriere des mots.Je t’aime Virgule !!
La vérité toute nue autant que je puisse la dire c'est donc que: j'ai aimé que tu m'aimes, j'ai aimé te savoir capable de le dire sans fard, sans detour.
J'ai aussi aimé ce que tu as aimé.
Et tu sais pourquoi j'ai aimé cela?
Parce que je me dis que ce que tu as aimé, ce n'est pas ce virgule que tu ne connais pas, mais ce qui a animé le cœur de virgule: cette Inconnue au cœur entier qui regarde une fleur sans la cueillir...pour la laisser vivre...
et je crois que si tu ne l'avais pas toi aussi, ce même coeur, ce même amour, si tu n'en était pas nourri, tu ne m'entendrais pas, et surtout pas aussi facilement ce que je dis. Aussi, grâce a ta sincérité, et a ce que tu sembles être, ici, je me sens un peu moins seul au milieu de nulle part.
Donc merci!
C'est difficile car je pense que ces questionnements sont d'ordre absolument intime, et il faut pour qu'ils jaillissent en tant que formulation concrète, une autre intimité offerte et capable d'entendre, qui elle même contribuera a la chose. En un mot, une presence.imala: Que te demandes-tu parfois ?
virgule: Tant de choses imala.
imala: Mais dis-moi, dis-moi… ne puis-je t’y accompagner ?
Si cela n'y aie pas, c'est le contenu du contexte qui prendrai le relais, et permettrai de formuler.
Or ici, il n'y a pas assez de tout ça, pas assez pour se dire autrement que comme on le fait a présent. Mais c'est déjà un bien.
Mais qui es tu imala?Parce que je l’ai entendu comme une révélation !
A hauteur l’un de l’autre, et ça me fait pleurer (ce que c’est que de nous, hein ?!!)
Tu ne pouvais le savoir, mais j’aime les arbres plus que tout dans le monde végétal, (et les éléphants dans le monde animal… d’ailleurs, bien que douce et sensible, n’a-t-il pas une peau d’arbre… mais je m’égare !)
Nous avons parlé notre langage, a hauteur l'un de l'autre: rien d’inférieur dans la création : tout de même valeur, et alors douloureusement, oui, parce que sachant cela, beaucoup d’autres ne le savent pas, ou ne veulent le savoir, et la douleur alors…
Je ne suis pas sur de comprendre ce que tu veux dire ici.… susceptible de les séparer… Par l’un : mal entendu de l’autre, peut-être, et ce qui est là, mal entendu, pourrait bien se dresser entre eux comme un... malentendus justement !
En tout cas, celui dont je parles n'est pas capable de susciter le moindre mal entendu, etant lui même un miroir parfait.
virgule- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Localisation : Dans un haricot.
Identité métaphysique : rathée de peu... divin quand même!
Humeur : Pourquoi y penser?...
Date d'inscription : 30/08/2009
Re: Vivant et en marche...
Hello Virgule,
Au moment de l’écrire, j’ai pensé : tu es folle !! Que va-t-il penser ?... Et ceux qui font un petit tour, passent ici, et lisent ?... tu vas les rendre mal à l’aise !… Mais plus que tout, j’ai eu envie d’être vraie, spontanée. Alors oui, c’était un mouvement du cœur.
J’ai lu tes mots… comment tu exprimais et vivais ces moments, rares, de vraies rencontres parfois, dans les regards de ceux qui se croisent, et je me suis découvert un frère… j’ai eu envie de le manifester.
...La sensibilité de chacun, c’est son génie... Baudelaire
C’est à mon tour de ne savoir que dire…
Je comprends.
Oui.
ou mais
Je souris, mais cette question me fait vraiment plaisir !
Petit préambule :
Nous sommes tous unique. Je veux dire : dans l’absolu, il n’est personne qui puisse prétendre ceci : je te connais, sous-entendus : je connais tout de toi ! Je sais qui tu es vraiment !
Nous sommes, les uns pour les autres : Autres ! Et celui qui ne le comprend pas, ou ne veut l'accepter se prépare des jours amers... des jours de : moi... moi... moi, sans toi ! comme je les appelle...
Donc : autres = posés dans l’altérité, et c’est elle, l’altérité qui permet à la relation de se déployer. Si l’autre avec qui je communique, ne parle pas dans la vérité de son être, s’il s’avance au devant de moi en tant que non sujet de ce qu’il dit, pense et ressent vraiment, veut et ne veut pas, il ne pourra me recevoir, et il n’y aura pas de véritable relation entre lui et moi.
... Tu as été élevé dans le meilleur des mondes possible où tout allait toujours bien, et où l’on t’évitait toujours tous problèmes… Un monde où tout n’est que délice, harmonie et bonheur… Mais voilà, c’est là que réside le malheur, parce que cela n’existe pas un monde où tout n’est que délice, harmonie et bonheur, un monde où il n’y aurait aucun problème, alors, les problèmes, dans ce monde là, on ne t’a pas appris à les affronter, mais, par la culture du : tout va toujours très bien, souriez vous êtes filmés, on te l’a même interdit.
Ton "être au monde" même, à dû servir la cause du meilleur monde possible, et ton père, ta mère s’y sont employé.
Il ne s’agissait pas d’être, mais d’être en harmonie ou ne pas être. Tout devait être sans problème, ou si cela n’était pas, il fallait le rendre tel.
Sur tout : qu’une opinion ; une divergence d’opinion eût été la fin de tout… Tout le monde, toujours du même avis…
Fils, fille de Babel.
Pas de sujet possible ici, et dès lors que tu te lèves et que tu t’avances en tant que tel, tu ne peux être ni reçu, ni compris. Alors, oui, le silence est préférable à la parole. Le silence pour ne pas se nier face à l’autre qui ne veut pas de toi, mais seulement ce qui peut, en toi, le conforter dans ses dysfonctionnements, -et éviter, autant que faire se peut, les malentendus.
C’est là ce que je voulais dire. Tu comprends ?
Mais en te lisant, au plus près du texte, cette question : est-ce que je ne t’aurais pas mal compris ?
Lorsque tu parles de leur nature respective, tu veux dire celle du langage : verbal et non-verbal, et non de la nature respective de deux être humains en relation ? Si oui, alors c’est ce qui a amené le quipropos chez moi… Je parle de malentendus… et j’entends mal !!!!
En partant du fait que je parlais moi du principe de relation et non du langage, est-ce que c’est plus clair avec les explications que je te donne plus haut ?
Le langage non-verbal : miroir parfait reflétant l’être, en effet ?
Oui, tout ou partie, en effet.
Imala
Je t’aime Virgule !!
Je me suis demandé longtemps comment j'allais répondre a cela, a ce mouvement, que j'ai pris comme un mouvement du cœur qui a eu le besoin de s'exprimer, qui a eu l'honnêteté et le courage de le faire si simplement. Je me suis dis en moi même, qu'est ce tu veux que je réponde, qu'est ce qu'il faut que je dise? Je me suis dis, il faut que tu sois a la hauteur. Puis je me suis suis rendu compte qu'en fait je cherchais a me cacher, derriere des mots.
La vérité toute nue autant que je puisse la dire c'est donc que: j'ai aimé que tu m'aimes, j'ai aimé te savoir capable de le dire sans fard, sans detour.
Au moment de l’écrire, j’ai pensé : tu es folle !! Que va-t-il penser ?... Et ceux qui font un petit tour, passent ici, et lisent ?... tu vas les rendre mal à l’aise !… Mais plus que tout, j’ai eu envie d’être vraie, spontanée. Alors oui, c’était un mouvement du cœur.
J’ai lu tes mots… comment tu exprimais et vivais ces moments, rares, de vraies rencontres parfois, dans les regards de ceux qui se croisent, et je me suis découvert un frère… j’ai eu envie de le manifester.
J'ai aussi aimé ce que tu as aimé.
Et tu sais pourquoi j'ai aimé cela?
Parce que je me dis que ce que tu as aimé, ce n'est pas ce virgule que tu ne connais pas, mais ce qui a animé le cœur de virgule: cette Inconnue au cœur entier qui regarde une fleur sans la cueillir...pour la laisser vivre...
...La sensibilité de chacun, c’est son génie... Baudelaire
et je crois que si tu ne l'avais pas toi aussi, ce même cœur, ce même amour, si tu n'en était pas nourri, tu ne m'entendrais pas, et surtout pas aussi facilement ce que je dis. Aussi, grâce a ta sincérité, et a ce que tu sembles être, ici, je me sens un peu moins seul au milieu de nulle part.
C’est à mon tour de ne savoir que dire…
(...) ne puis-je t'y accompagner
C'est difficile car je pense que ces questionnements sont d'ordre absolument intime, et il faut pour qu'ils jaillissent en tant que formulation concrète, une autre intimité offerte et capable d'entendre, qui elle même contribuera a la chose. En un mot, une presence.
Si cela n'y aie pas, c'est le contenu du contexte qui prendrai le relais, et permettrai de formuler.
Or ici, il n'y a pas assez de tout ça, pas assez pour se dire autrement que comme on le fait a présent.
Je comprends.
Mais c'est déjà un bien.
Oui.
Parce que je l’ai entendu comme une révélation !Mais qui es tu imala?rien d’inférieur dans la création : tout de même valeur, et alors douloureusement, oui, parce que sachant cela, beaucoup d’autres ne le savent pas, ou ne veulent le savoir, et la douleur alors…Nous avons parlé notre langage, a hauteur l'un de l'autre:
ou mais
Je souris, mais cette question me fait vraiment plaisir !
Je ne suis pas sur de comprendre ce que tu veux dire ici.… susceptible de les séparer… Par l’un : mal entendu de l’autre, peut-être, et ce qui est là, mal entendu, pourrait bien se dresser entre eux comme un... malentendus justement !
Petit préambule :
Nous sommes tous unique. Je veux dire : dans l’absolu, il n’est personne qui puisse prétendre ceci : je te connais, sous-entendus : je connais tout de toi ! Je sais qui tu es vraiment !
Nous sommes, les uns pour les autres : Autres ! Et celui qui ne le comprend pas, ou ne veut l'accepter se prépare des jours amers... des jours de : moi... moi... moi, sans toi ! comme je les appelle...
Donc : autres = posés dans l’altérité, et c’est elle, l’altérité qui permet à la relation de se déployer. Si l’autre avec qui je communique, ne parle pas dans la vérité de son être, s’il s’avance au devant de moi en tant que non sujet de ce qu’il dit, pense et ressent vraiment, veut et ne veut pas, il ne pourra me recevoir, et il n’y aura pas de véritable relation entre lui et moi.
... Tu as été élevé dans le meilleur des mondes possible où tout allait toujours bien, et où l’on t’évitait toujours tous problèmes… Un monde où tout n’est que délice, harmonie et bonheur… Mais voilà, c’est là que réside le malheur, parce que cela n’existe pas un monde où tout n’est que délice, harmonie et bonheur, un monde où il n’y aurait aucun problème, alors, les problèmes, dans ce monde là, on ne t’a pas appris à les affronter, mais, par la culture du : tout va toujours très bien, souriez vous êtes filmés, on te l’a même interdit.
Ton "être au monde" même, à dû servir la cause du meilleur monde possible, et ton père, ta mère s’y sont employé.
Il ne s’agissait pas d’être, mais d’être en harmonie ou ne pas être. Tout devait être sans problème, ou si cela n’était pas, il fallait le rendre tel.
Sur tout : qu’une opinion ; une divergence d’opinion eût été la fin de tout… Tout le monde, toujours du même avis…
Fils, fille de Babel.
Pas de sujet possible ici, et dès lors que tu te lèves et que tu t’avances en tant que tel, tu ne peux être ni reçu, ni compris. Alors, oui, le silence est préférable à la parole. Le silence pour ne pas se nier face à l’autre qui ne veut pas de toi, mais seulement ce qui peut, en toi, le conforter dans ses dysfonctionnements, -et éviter, autant que faire se peut, les malentendus.
C’est là ce que je voulais dire. Tu comprends ?
Mais en te lisant, au plus près du texte, cette question : est-ce que je ne t’aurais pas mal compris ?
Lorsque tu parles de leur nature respective, tu veux dire celle du langage : verbal et non-verbal, et non de la nature respective de deux être humains en relation ? Si oui, alors c’est ce qui a amené le quipropos chez moi… Je parle de malentendus… et j’entends mal !!!!
de manière parfaite fonction de leur nature respective.
… susceptible de les séparer… Par l’un : mal entendu de l’autre, peut-être, et ce qui est là, mal entendu, pourrait bien se dresser entre eux comme un... malentendus justement !
En partant du fait que je parlais moi du principe de relation et non du langage, est-ce que c’est plus clair avec les explications que je te donne plus haut ?
En tout cas, celui dont je parle n'est pas capable de susciter le moindre mal entendu, etant lui même un miroir parfait.
Le langage non-verbal : miroir parfait reflétant l’être, en effet ?
Oui, tout ou partie, en effet.
Imala
Imala- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Date d'inscription : 21/05/2008
Re: Vivant et en marche...
Imala écrit
Je connais très peu d'adultes qui ont été élevés selon ce schéma .Personne ne peut apprendre à ses enfants : on fait comme on peut pour devenir grand "malgré" les parents, la société dans laquelle on grandit et c'est la vie qui nous forme, le milieu où on baigne en prenant l'exemple, en le comparant aux discours lénifiants officiels et en tirant les conclusions : à société hypocrite et pourrie ... équipe de France à jeter ...
Tu as été élevé dans le meilleur des mondes possible où tout allait toujours bien, et où l’on t’évitait toujours tous problèmes… Un monde où tout n’est que délice, harmonie et bonheur… Mais voilà, c’est là que réside le malheur, parce que cela n’existe pas un monde où tout n’est que délice, harmonie et bonheur, un monde où il n’y aurait aucun problème, alors, les problèmes, dans ce monde là, on ne t’a pas appris à les affronter, mais, par la culture du : tout va toujours très bien, souriez vous êtes filmés, on te l’a même interdit.
Je connais très peu d'adultes qui ont été élevés selon ce schéma .Personne ne peut apprendre à ses enfants : on fait comme on peut pour devenir grand "malgré" les parents, la société dans laquelle on grandit et c'est la vie qui nous forme, le milieu où on baigne en prenant l'exemple, en le comparant aux discours lénifiants officiels et en tirant les conclusions : à société hypocrite et pourrie ... équipe de France à jeter ...
JO- Seigneur de la Métaphysique
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Date d'inscription : 23/08/2009
Re: Vivant et en marche...
Imala, je t'en prie, surtout ne te soucie pas de ce que je pourrai penser, j'aime tant cette folie!... Dis ce que tu as sur le coeur sans jamais te soucier de moi, sinon on va mourir trop vite.Au moment de l’écrire, j’ai pensé : tu es folle !! Que va-t-il penser ?...
Et quoi!... devrait on cacher le Vivant? C'est un crime!Et ceux qui font un petit tour, passent ici, et lisent ?... tu vas les rendre mal à l’aise !…
Dieu merci, tu nous l'a accordée.Mais plus que tout, j’ai eu envie d’être vraie, spontanée. Alors oui, c’était un mouvement du cœur.
Imala, je te demande ça comme la plus Précieuse Faveur, tout mon Cœur te supplie de cela: soit toujours Vrai, que ce soit dans l'amour, dans l'insulte ou dans tout ce que tu voudras, peu importe, mais soit Vrai, et moi, je m'adapterai toujours aux contenus, quel qu'ils soient. Je préfère pas de relation, qu'une demi relation, laissons cette derniere a ceux qui ont peur du Vivant.
En vérité quand je croise Vraiment une personne Rare selon mon coeur... J'implose en inconnu... Mon coeur est projeté par candeur dans des espaces sans contour, il ne comprends pas comment autant d'Amour, autant de Vérité peuvent vivre chez un autre. Il voit dans l'étincelle du regard de cet autre, tout ce qu'il souhaite pour lui même. Il comprends ce qu'il tient pour précieux, il veut la vie, il veut la sainte lumiere de cet Amour, de cette Vérité perçu, il veut oui, mais pas en convoitant; plutot en trouvant par sa propre force naturelle le chemin qui lui permettra a lui aussi d'être purifier a cette source qu'il vénère quand elle lui apparait.J’ai lu tes mots… comment tu exprimais et vivais ces moments, rares, de vraies rencontres parfois, dans les regards de ceux qui se croisent, et je me suis découvert un frère… j’ai eu envie de le manifester.
J'imagine...(sourire), alors saisis toi en, et n'aie pas peur! Parle, si tu as quelque chose a dire.Je souris, mais cette question me fait vraiment plaisir !
Je n'ai pas vraiment compris le sens qu'il fallait donner a la photo?
A vrai dire, il n'est personne non plus qui puisse dire cela au sujet de lui même, sans dire des bêtises.Nous sommes tous unique. Je veux dire : dans l’absolu, il n’est personne qui puisse prétendre ceci : je te connais, sous-entendus : je connais tout de toi ! Je sais qui tu es vraiment !
Et souvent pour nous même aussi.Nous sommes, les uns pour les autres : Autres !
Je parlais bien de personnes, tout comme toi imalaMais en te lisant, au plus près du texte, cette question : est-ce que je ne t’aurais pas mal compris ?
Lorsque tu parles de leur nature respective, tu veux dire celle du langage : verbal et non-verbal, et non de la nature respective de deux être humains en relation ? Si oui, alors c’est ce qui a amené le quipropos chez moi… Je parle de malentendus… et j’entends mal !!!!
Je parle aussi de la relation entre deux êtres, dont l'un serait abouti.En partant du fait que je parlais moi du principe de relation et non du langage, est-ce que c’est plus clair avec les explications que je te donne plus haut ?
Le langage non verbal n'est pas forcement un miroir parfait, car il est sujet a interprétation, mais il devient au même titre que le reste, miroir parfait, chez celui dont je parle.virgule: En tout cas, celui dont je parle n'est pas capable de susciter le moindre mal entendu, etant lui même un miroir parfait.
imala: Le langage non-verbal : miroir parfait reflétant l’être, en effet ?
virgule- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Localisation : Dans un haricot.
Identité métaphysique : rathée de peu... divin quand même!
Humeur : Pourquoi y penser?...
Date d'inscription : 30/08/2009
Re: Vivant et en marche...
JO a écrit :
Je connais très peu d'adultes qui ont été élevés selon ce schéma .Personne ne peut apprendre à ses enfants : on fait comme on peut pour devenir grand "malgré" les parents, la société dans laquelle on grandit et c'est la vie qui nous forme, le milieu où on baigne en prenant l'exemple, en le comparant aux discours lénifiants officiels et en tirant les conclusions : à société hypocrite et pourrie ... équipe de France à jeter ...
Heeeuu… Je n’ai pas compris grand-chose JO. Que veux-tu dire ?
Imala, je t'en prie, surtout ne te soucie pas de ce que je pourrai penser, j'aime tant cette folie!... Dis ce que tu as sur le coeur sans jamais te soucier de moi,
...Et me voilà confrontée à un vrai problème : comment ne pas se soucier de ce que pense l’autre lorsque l’on va se découvrir, donner à voir quelque chose de soi qui nous rend vulnérable ?
J’ai du mal… lorsque j’y parviens, je n’ai plus qu’une envie : me retirer dans ma coquille, et surtout, surtout que l’on ne m’approche plus !
Apparemment j’ai raté le coche puisque tu ne t’es pas enfui en courant, et que quelque part, en continuant à me répondre tu me forces à faire face…
sinon on va mourir trop vite.
…Le grillon de la fable disait le contraire… Je te taquine !
Et quoi!... devrait on cacher le Vivant? C'est un crime!Et ceux qui font un petit tour, passent ici, et lisent ?... tu vas les rendre mal à l’aise !…
...Tu pousses, et tu pousses fort Virgule… Naître ne va pas de soi…
Mais plus que tout, j’ai eu envie d’être vraie, spontanée. Alors oui, c’était un mouvement du cœur.
Dieu merci, tu nous l'a accordée.
Oui, l’autre que je parviens à être de temps en temps te l’a accordé... et se l'est accordé... mais ceux qui passent n’en n’ont probablement rien à faire !
Imala, je te demande ça comme la plus Précieuse Faveur, tout mon Cœur te supplie de cela: soit toujours Vrai, que ce soit dans l'amour, dans l'insulte ou dans tout ce que tu voudras, peu importe, mais soit Vrai, et moi, je m'adapterai toujours aux contenus, quel qu'ils soient. Je préfère pas de relation, qu'une demi relation, laissons cette derniere a ceux qui ont peur du Vivant.
...Pas de demi-mesure donc… J’ai beau être derrière un clavier, et vraisemblablement à des kilomètres de là où tu te trouves ; avoir tout loisir d’éteindre ce p***** d’ordinateur, j’ai quand même peur !!!
(Donc pas de grâce pour moi aujourd’hui JO ! )
En vérité quand je croise Vraiment une personne Rare selon mon coeur... J'implose en inconnu... Mon coeur est projeté par candeur dans des espaces sans contour, il ne comprends pas comment autant d'Amour, autant de Vérité peuvent vivre chez un autre. Il voit dans l'étincelle du regard de cet autre, tout ce qu'il souhaite pour lui même. Il comprends ce qu'il tient pour précieux, il veut la vie, il veut la sainte lumiere de cet Amour, de cette Vérité perçu, il veut oui, mais pas en convoitant; plutot en trouvant par sa propre force naturelle le chemin qui lui permettra a lui aussi d'être purifier a cette source qu'il vénère quand elle lui apparait.J’ai lu tes mots… comment tu exprimais et vivais ces moments, rares, de vraies rencontres parfois, dans les regards de ceux qui se croisent, et je me suis découvert un frère… j’ai eu envie de le manifester.
Un jour un conférencier de grand renom est venu dans l’église qui était alors la mienne en ce temps-là, nous parler d’un sujet qui nous tenait à cœur. C’était un juif, très aimé et admiré, et d’une grande simplicité. Lorsque le moment fut arrivé pour lui de nous saluer tous, il a fait quelque chose qui m’a profondément marquée : à la porte de l’église de manière à pouvoir tous nous saluer, il a enlevé ses lunettes, et nous a attendus avec un visage et un regard nu, sans artifice…
Cette source dont tu parles plus haut, je l’ai rencontrée en cet homme, et je comprends parfaitement ce que tu dis ici.
Je n'ai pas vraiment compris le sens qu'il fallait donner a la photo?
Je suis comme ce que cette photo représente : j’essaie de m’extraire de ce qui me retient dans la mort !
A vrai dire, il n'est personne non plus qui puisse dire cela au sujet de lui même, sans dire des bêtises.Nous sommes tous unique. Je veux dire : dans l’absolu, il n’est personne qui puisse prétendre ceci : je te connais, sous-entendus : je connais tout de toi ! Je sais qui tu es vraiment !
C’est exact…
Et souvent pour nous même aussi.Nous sommes, les uns pour les autres : Autres !
…Et combien vrai.
Je parlais bien de personnes, tout comme toi imalaMais en te lisant, au plus près du texte, cette question : est-ce que je ne t’aurais pas mal compris ?
Lorsque tu parles de leur nature respective, tu veux dire celle du langage : verbal et non-verbal, et non de la nature respective de deux être humains en relation ? Si oui, alors c’est ce qui a amené le quipropos chez moi… Je parle de malentendus… et j’entends mal !!!!
Alors je n’ai pas compris, et il faudra que tu m’expliques.
En partant du fait que je parlais moi du principe de relation et non du langage, est-ce que c’est plus clair avec les explications que je te donne plus haut ?
Je parle aussi de la relation entre deux êtres, dont l'un serait abouti.
D’accord, mais alors explique-moi, et réponds aussi à ma question : est-ce que ce que j’ai développé fait sens pour toi ?
Le langage non verbal n'est pas forcement un miroir parfait, car il est sujet a interprétation, mais il devient au même titre que le reste, miroir parfait, chez celui dont je parle.imala: Le langage non-verbal : miroir parfait reflétant l’être, en effet ?virgule: En tout cas, celui dont je parle n'est pas capable de susciter le moindre mal entendu, etant lui même un miroir parfait.
Je ne comprends toujours pas...
Pour moi le langage non-verbal reflète ce que je pense en sous-bassement, sans que j’y prenne garde.
Si je suis perplexe devant un problème par exemple, il se peut que je me gratte le front, ou me tapote les lèvres avec ce que j’ai dans la main. Si je suis angoissée, et pour peu que mon angoisse soit vive, je vais me tordre les mains… Si je suis en colère et qu’il faut que je me calme je vais frotter mon visage, ou tout autre geste susceptible de détourner mon attention de la colère. Et bien sûr, il y a toute les émotions beaucoup plus subtiles : la fierté qui te fait imperceptiblement relever le menton ; la jalousie, et tu remets tes cheveux en place ;l’impatience et tu pinces les lèvres, etc… Toutes ces émotions sont lisibles, et oui : sujettes à interprétation par celui qui les "lit", mais elles n’en reflètent pas moins de manière parfaite ce que toi tu vis dans l’instant : elles sont vraiment ce miroir parfait qui reflète l’être dans ce qu’il vit quand il le vit.
Imala
Imala- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: Vivant et en marche...
Je comprends, mais alors... quoi!?...Et me voilà confrontée à un vrai problème : comment ne pas se soucier de ce que pense l’autre lorsque l’on va se découvrir, donner à voir quelque chose de soi qui nous rend vulnérable ?
Je n'ai pas envie de passer a coté de toi, sans te voir imala; Si ton cœur vibre comme je le crois, il faut que j'en aie l'écho, il faut que tu aies l'écho du miens.
Et comme je te comprends, comme je respecterai ta coquille si c'est pour y conserver intacte ta pudeur. Je n'en forcerai pas l'entrée, et du plus profonds de mon coeur je regretterai chacun de mes actes si tu devais ressentir un mal que j'aurai plus que tout au monde voulu eviter.J’ai du mal… lorsque j’y parviens, je n’ai plus qu’une envie : me retirer dans ma coquille, et surtout, surtout que l’on ne m’approche plus !
Sache entendre imala, que je ne te pousse pas vers l'impudicité, jamais je ne le voudrai, je ne suis pas un pillard, mais j'espère en l'émergence de la Vérité de vie, c'est a cela que je nous appelle.
Ne crois tu pas que c'est plutot ton coeur qui te force a faire face? Peut être reconnait il un courant d'air sur lequel il pourrait ouvrir sa voile plus pleinement! Pourquoi ne pas avoir confiance?Apparemment j’ai raté le coche puisque tu ne t’es pas enfui en courant, et que quelque part, en continuant à me répondre tu me forces à faire face…
Me taquines tu vraiment?…Le grillon de la fable disait le contraire… Je te taquine !
Naitre??? Que puis je donc a l'affaire?...Tu pousses, et tu pousses fort Virgule… Naître ne va pas de soi…
Je ne veux qu'entendre un vrai cœur de femme. Je crois en ce cœur, je crois en toi!
Ecoute, je donne ici tout ce que j'ai, et qu'importe ce qu'il adviendra de moi. Ne vois tu pas deja comme je me livre, imbécile que je suis, au yeux de tous ce qui pourraient lire ces lignes! Imbécile, mais honnête.
Je m'offre, et je répondrai a tout sans aucune tricherie. Je fais le premier pas, aussi maladroitement qu'a mon accoutumé..., mais je le fais; Soit libre d'en faire autant si jamais tu en as envie! si je ne suis pas trop indigne de recevoir.
Et alors!? Il y trente six mille sujets d'ouvert par ailleurs, n'as t on pas le droit d'exister un peu sur celui là? Vivant et en marche n'en est il pas le titre? devrions nous avoir toujours peur d'être Vivant selon soi même sous prétexte des autres? Crois moi imala, les autres ont aussi un cœur qui bat en leur poitrine, il n'y a pas de résultat a rechercher pour eux, juste a laisser ce cœur une fois exister en vérité!Oui, l’autre que je parviens à être de temps en temps te l’a accordé... et se l'est accordé... mais ceux qui passent n’en n’ont probablement rien à faire !
Crois tu que je baratine? Crois tu que je parle, et qu'après avoir parler tout est fini?
Arrête ici si tu me crois menteur! Si tu crois que j'entourloupe.
Je dis les choses telle qu'elles me viennent, et je décide de ne pas m'en cacher; non par manque de pudeur, mais par amour de la liberté qui m'est avec toi accordée.
Je comprends... Tout ce que je peu dire c'est : aie confiance en l'élan de vie, en l'amour qui te traverse, ne les laisse pas être enfermer par la peur de tout ce qui ne leur ressemble pas... Si tu ne t'y risque pas ici, ou pourra tu le faire en étant toi?...Pas de demi-mesure donc… J’ai beau être derrière un clavier, et vraisemblablement à des kilomètres de là où tu te trouves ; avoir tout loisir d’éteindre ce p***** d’ordinateur, j’ai quand même peur !!!
Et si jamais c'est un elan de haine et de mort qui doit sortir, alors que cela sorte aussi, ça ne me fais pas peur, oh non! et je préfère bien au dela de ce que tu imagines, un tel elan, a celui caché par un simple et banal mensonge.
J'ai soif.
Tu as peut être un peu de ce que tu demandes, ici, saisi le.Je suis comme ce que cette photo représente : j’essaie de m’extraire de ce qui me retient dans la mort !
Je ne sais plus quoi dire, tout emporté que je suis par le reste... mais soit..., je me reprends...D’accord, mais alors explique-moi, et réponds aussi à ma question : est-ce que ce que j’ai développé fait sens pour toi ?
Un être humain ayant était engendré, te parle sans avoir a te parler, t'éclaire sans amoindrir ta lumiere, et t'apporte la réponse a tes questions sans que tu es a la demander. Sa présence suffit.
Ce que tu dis, je l'entends oui, mais je ne suis pas trés fort en mathématique.
Voici une analyse psychologique. Une codification du langage du corps. C'est verbal.Je ne comprends toujours pas...
Pour moi le langage non-verbal reflète ce que je pense en sous-bassement, sans que j’y prenne garde.
Si je suis perplexe devant un problème par exemple, il se peut que je me gratte le front, ou me tapote les lèvres avec ce que j’ai dans la main. Si je suis angoissée, et pour peu que mon angoisse soit vive, je vais me tordre les mains… Si je suis en colère et qu’il faut que je me calme je vais frotter mon visage, ou tout autre geste susceptible de détourner mon attention de la colère. Et bien sûr, il y a toute les émotions beaucoup plus subtiles : la fierté qui te fait imperceptiblement relever le menton ; la jalousie, et tu remets tes cheveux en place ;l’impatience et tu pinces les lèvres, etc… Toutes ces émotions sont lisibles, et oui : sujettes à interprétation par celui qui les "lit", mais elles n’en reflètent pas moins de manière parfaite ce que toi tu vis dans l’instant : elles sont vraiment ce miroir parfait qui reflète l’être dans ce qu’il vit quand il le vit.
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Re: Vivant et en marche...
Je comprends, mais alors... quoi!?Et me voilà confrontée à un vrai problème : comment ne pas se soucier de ce que pense l’autre lorsque l’on va se découvrir, donner à voir quelque chose de soi qui nous rend vulnérable ?
C'est alors qu'apparut le renard :
- Bonjour dit le Renard.
- Bonjour répondit poliment le petit prince, qui se retourna mais ne vit rien ...
- Viens jouer avec moi, lui proposa le petit prince, je suis tellement triste ...
- Je ne puis pas jouer avec toi, dit le renard. Je ne suis pas apprivoisé.
- Ah ! Pardon, fit le petit prince. Mais, après réflexion, il ajouta
- Qu'est-ce que ça signifie "apprivoisé" ? ..
...
- C'est une chose trop oubliée, dit le renard. Ca signifie "créer des liens"
- Créer des liens ?
- Bien sûr, dit le renard. Tu n'es encore pour moi qu'un petit garçon tout semblable à 100.000 petits garçons. Et je n'ai pas besoin de toi. Et tu n'as pas besoin de moi non plus. Je ne suis pour toi qu'un renard semblable à 100.000 renards. Mais si tu m'apprivoises, nous aurons besoin l'un de l'autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde ... Si tu m'apprivoises, ma vie sera comme ensoleillée. Je connaîtrai un bruit de pas qui sera différent de tous les autres. Les autres pas me font rentrer sous terre. Le tien m'appellera hors du terrier, comme une musique ... s'il te plaît, apprivoise-moi ! dit-il
- Que faut-il faire ? dit le petit prince
- Il faut être très patient, répondit le renard. Tu t'assoiras d'abord un peu loin de moi, comme ça, dans l'herbe. Je te regarderai du coin de l'œil et tu ne diras rien. Le langage est source de malentendus. Mais, chaque jour, tu pourras t'asseoir un peu plus près.
Le lendemain revint le petit prince.
- Il eut mieux valu revenir à la même heure, dit le renard ... si tu viens n'importe quand, je ne saurai jamais à quelle heure m'habiller le cœur ... il faut des rites.
Je n'ai pas envie de passer a coté de toi, sans te voir imala; Si ton cœur vibre comme je le crois, il faut que j'en aie l'écho, il faut que tu aies l'écho du miens.
Sans me voir… mon Dieu ! Tu ne sais pas ce que tu réveilles là !...
Et comme je te comprends, comme je respecterai ta coquille si c'est pour y conserver intacte ta pudeur.J’ai du mal… lorsque j’y parviens, je n’ai plus qu’une envie : me retirer dans ma coquille, et surtout, surtout que l’on ne m’approche plus !
Non, mais pour ne pas avoir à constater que ce n’est pas moi qui intéresse celui qui semble s’intéresser, mais tel Narcisse se penchant sur les eaux, le reflet que je serais peut-être susceptible de lui renvoyer...
Je n'en forcerai pas l'entrée, et du plus profonds de mon coeur je regretterai chacun de mes actes si tu devais ressentir un mal que j'aurai plus que tout au monde voulu eviter.
A mon tour de poser cette question : mais qui es-tu Virgule ?
Sache entendre imala, que je ne te pousse pas vers l'impudicité, jamais je ne le voudrai, je ne suis pas un pillard, mais j'espère en l'émergence de la Vérité de vie, c'est a cela que je nous appelle.
Tu parles de pudeur, d'impudicité... et cela résonne étrangement à mes oreilles, mais il y a la pudeur des sentiments, c'est vrai...
….Je sais discourir sur l’être… j’ai bien peur de ne pas savoir… l’être.
Et me masquer, et être à moi-même, à moi-même d’abord, un imposteur (c’est drôle : pas de féminin pour ce mot…)
J’écrivais dans mon journal intime : je joue un rôle, le "hic" c’est que je ne connais pas les répliques !!!
Vois, j’entends l’appel…
Ne crois tu pas que c'est plutot ton coeur qui te force a faire face? Peut être reconnait il un courant d'air sur lequel il pourrait ouvrir sa voile plus pleinement! Pourquoi ne pas avoir confiance?Apparemment j’ai raté le coche puisque tu ne t’es pas enfui en courant, et que quelque part, en continuant à me répondre tu me forces à faire face…
60 ans d’habitudes, 60 ans d’expériences… personne pour … mais … alors : juste rester à la surface des choses parce qu’aller au-delà, ou plus profond fait peur, demande un réel intérêt...
Non, c’était ma devise.Me taquines tu vraiment?…Le grillon de la fable disait le contraire… Je te taquine !
Pendant longtemps.
Et à force, c’est devenu fort comme une habitude. Et lorsque je me risque au-dehors, je ne me reconnais plus, et les autres non plus… ils ne veulent pas, et moi je ne sais plus ce que je veux…
Naitre??? Que puis je donc a l'affaire?...Tu pousses, et tu pousses fort Virgule… Naître ne va pas de soi…
Par le fait même d'y être, d'y être en vérité, et d'appeler tu "pousses" Virgule... Tu encourages à ce que cela se fasse.
Je ne veux qu'entendre un vrai cœur de femme.
Un imposteur te dis-je…
Je crois en ce cœur, je crois en toi!
Pourquoi ?
Ecoute, je donne ici tout ce que j'ai, et qu'importe ce qu'il adviendra de moi. Ne vois tu pas deja comme je me livre, imbécile que je suis, au yeux de tous ce qui pourraient lire ces lignes! Imbécile, mais honnête.
Pourquoi, pourquoi, pourquoi… Je ne m’y attendais pas. Je ne veux pas que tu puisses te sentir mal, je ne veux pas que tu puisses te traiter d’imbécile justement…
Je m'offre, et je répondrai a tout sans aucune tricherie. Je fais le premier pas, aussi maladroitement qu'a mon accoutumé..., mais je le fais; Soit libre d'en faire autant si jamais tu en as envie!
Il faut essayer ai-je écrit un jour… Je vais essayer…
Mais ce soir je m'arrête là.
Imala- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: Vivant et en marche...
Imala... je ne sais plus trop quoi penser, je suis un peu soucieux... j'ai bien l'impression que nos sensibilités sont très forte, et que si pour d'autre cela ne serait qu'un jeu, pour nous il me semble que ça ne le soit pas. Doit on se révéler de la sorte, peut on s'offrir de cette maniere au regard des inconnu(e)s? Je sais pas.
J'avance dans l'inconnu, purement et simplement, j'avance de toute mes forces, mais deja j'ai l'impression d'en manqué.
Je m'en suis voulu du message que j'ai pu écrire hier, j'etais deja pret a m'en excusé. J'avais si peur d'avoir pu être une fois de plus l'éléphant dans un magasin de porcelaine. J'avais peur d'avoir abusé, et de t'avoir mis en situation difficile, de n'avoir suivi que mon chemin hasardeux, sans vraiment tenir compte de ce que toi tu voulais, de ce que tu pouvais. Bien sur j'avais suivi mon intuition, mon ressenti, mais devais je aller jusqu'a vouloir t'entrainer a ma suite de cette manière. Quelque part je crois que j'ai voulu te montrer quelque chose. Je sais pas. En tout cas, j'en ai été troublé, affecté. Je me suis aperçu que... bah! allez va, j'arrete là le roman des justifications...
Si tu ne veux pas continuer, si tu sents que ce n'est pas pret pour toi, je t'en supplie refuse de continuer, ralenti moi, arrete moi, mais surtout ne tolère rien pour me faire plaisir, ce serait la pire chose qu'il puisse arriver ici.
Voila, je devais te dire cela, c'est surement mal exprimer mais bon... je fais avec mes moyens.
Tout ce que je peux offrir c'est ce que tu vois de moi.
Je ne veux pas t'apprivoiser.
Si tu es un renard, je te respecte en tant que renard.
Si tu es un renard, je ne veux pas te donner des principes d'hommes.
Si j'aime le renard, et si le renard m'aime, il n'y a pas besoin de s'apprivoiser.
Pas besoin n'ont plus de sécurité établi par l'intermédiaire de conventions, cela serait un meurtre a ce niveau.
Il faut laisser faire, et ce qui devra être, sera... en liberté.
Ne dis rien sur ce sujet pour le moment, sauf si tu le veux, sauf si tu crois que je doive l'entendre. C'est que je ne voudrais pas forcer le lieu, et la serrure, et ici, je vois comme une porte secrète et verrouiller.
Le reflet aide aussi à comprendre qui est l'autre. C'est par ce que tu vas refleter de moi que je vais comprendre quel accords nous pouvons ensemble composé, sentir jusqu'où il sera possible d'aimer.
Mais s'il fallait que je réponde absolument alors peut être qu'aujourd'hui je répondrai par une grimace amusante et spontané; Demain, tout a l'heure, qui sait?
Si c'est conscient et voulu je n'ai rien a redire, sinon, je peux juste te proposer le reflet de mon âme comme revelateur, si tant est qu'il y ait en elle assez de vérité.
Il faut peut être bien choisir ses autres au début.
L'imposteur n'est pas ton coeur; Tu sais cela, tu le sais.
Qui serait tu imala sans ce Coeur?
Te plairai tu a toi même?
Je suis mon intuition, c'est elle qui dirige mes dires, peu importe le contenu, peu importe ce qui doit être dis. Apprenons a assumer les conséquences.
J'attendrai ou je te suivrai si nos rythmes divergent.
Si les chemins choisi ne se ressemble plus, ou si la vie sépare, alors s'aura déjà été un bien d'avoir pu marcher un peu ensemble.
Si le résultat est une catastrophe, alors au moins elle nous aura ressemblé, si tant est que l'on aie pu Être au moins un peu.
J'avance dans l'inconnu, purement et simplement, j'avance de toute mes forces, mais deja j'ai l'impression d'en manqué.
Je m'en suis voulu du message que j'ai pu écrire hier, j'etais deja pret a m'en excusé. J'avais si peur d'avoir pu être une fois de plus l'éléphant dans un magasin de porcelaine. J'avais peur d'avoir abusé, et de t'avoir mis en situation difficile, de n'avoir suivi que mon chemin hasardeux, sans vraiment tenir compte de ce que toi tu voulais, de ce que tu pouvais. Bien sur j'avais suivi mon intuition, mon ressenti, mais devais je aller jusqu'a vouloir t'entrainer a ma suite de cette manière. Quelque part je crois que j'ai voulu te montrer quelque chose. Je sais pas. En tout cas, j'en ai été troublé, affecté. Je me suis aperçu que... bah! allez va, j'arrete là le roman des justifications...
Si tu ne veux pas continuer, si tu sents que ce n'est pas pret pour toi, je t'en supplie refuse de continuer, ralenti moi, arrete moi, mais surtout ne tolère rien pour me faire plaisir, ce serait la pire chose qu'il puisse arriver ici.
Voila, je devais te dire cela, c'est surement mal exprimer mais bon... je fais avec mes moyens.
Merci imala. Merci; J'entends le message.C'est alors qu'apparut le renard :
- Bonjour dit le Renard.
- Bonjour répondit poliment le petit prince, qui se retourna mais ne vit rien ...
- Viens jouer avec moi, lui proposa le petit prince, je suis tellement triste ...
- Je ne puis pas jouer avec toi, dit le renard. Je ne suis pas apprivoisé.
- Ah ! Pardon, fit le petit prince. Mais, après réflexion, il ajouta
- Qu'est-ce que ça signifie "apprivoisé" ? ..
...
- C'est une chose trop oubliée, dit le renard. Ca signifie "créer des liens"
- Créer des liens ?
- Bien sûr, dit le renard. Tu n'es encore pour moi qu'un petit garçon tout semblable à 100.000 petits garçons. Et je n'ai pas besoin de toi. Et tu n'as pas besoin de moi non plus. Je ne suis pour toi qu'un renard semblable à 100.000 renards. Mais si tu m'apprivoises, nous aurons besoin l'un de l'autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde ... Si tu m'apprivoises, ma vie sera comme ensoleillée. Je connaîtrai un bruit de pas qui sera différent de tous les autres. Les autres pas me font rentrer sous terre. Le tien m'appellera hors du terrier, comme une musique ... s'il te plaît, apprivoise-moi ! dit-il
- Que faut-il faire ? dit le petit prince
- Il faut être très patient, répondit le renard. Tu t'assoiras d'abord un peu loin de moi, comme ça, dans l'herbe. Je te regarderai du coin de l'œil et tu ne diras rien. Le langage est source de malentendus. Mais, chaque jour, tu pourras t'asseoir un peu plus près.
Le lendemain revint le petit prince.
- Il eut mieux valu revenir à la même heure, dit le renard ... si tu viens n'importe quand, je ne saurai jamais à quelle heure m'habiller le cœur ... il faut des rites.
Tout ce que je peux offrir c'est ce que tu vois de moi.
Je ne veux pas t'apprivoiser.
Si tu es un renard, je te respecte en tant que renard.
Si tu es un renard, je ne veux pas te donner des principes d'hommes.
Si j'aime le renard, et si le renard m'aime, il n'y a pas besoin de s'apprivoiser.
Pas besoin n'ont plus de sécurité établi par l'intermédiaire de conventions, cela serait un meurtre a ce niveau.
Il faut laisser faire, et ce qui devra être, sera... en liberté.
Le crois tu? Peut être qu' il y a des choses que je ressens...Sans me voir… mon Dieu ! Tu ne sais pas ce que tu réveilles là !...
Ne dis rien sur ce sujet pour le moment, sauf si tu le veux, sauf si tu crois que je doive l'entendre. C'est que je ne voudrais pas forcer le lieu, et la serrure, et ici, je vois comme une porte secrète et verrouiller.
Il faut peut être un peu des deux. Regarder et se regarder en...Non, mais pour ne pas avoir à constater que ce n’est pas moi qui intéresse celui qui semble s’intéresser, mais tel Narcisse se penchant sur les eaux, le reflet que je serais peut-être susceptible de lui renvoyer...
Le reflet aide aussi à comprendre qui est l'autre. C'est par ce que tu vas refleter de moi que je vais comprendre quel accords nous pouvons ensemble composé, sentir jusqu'où il sera possible d'aimer.
Je sais pas.A mon tour de poser cette question : mais qui es-tu Virgule ?
Mais s'il fallait que je réponde absolument alors peut être qu'aujourd'hui je répondrai par une grimace amusante et spontané; Demain, tout a l'heure, qui sait?
C'est un peu ce que je ressent, j'ai l'impression que le discours sur l'être est devenu ta cachette de choix, ou au moins une maniere de tester si oui ou non, il te sera un jour possible d'Etre telle que ton coeur te le propose. Je crois que c'est normal comme processus.….Je sais discourir sur l’être… j’ai bien peur de ne pas savoir… l’être.
Si c'est conscient et voulu je n'ai rien a redire, sinon, je peux juste te proposer le reflet de mon âme comme revelateur, si tant est qu'il y ait en elle assez de vérité.
Je vois, et j'admire...J’écrivais dans mon journal intime : je joue un rôle, le "hic" c’est que je ne connais pas les répliques !!!
Vois, j’entends l’appel…
Qu'est ce qui te fait peur?60 ans d’habitudes, 60 ans d’expériences… personne pour … mais … alors : juste rester à la surface des choses parce qu’aller au-delà, ou plus profond fait peur, demande un réel intérêt...
Il m'avait bien semblé...Non, c’était ma devise.
Pendant longtemps.
Et à force, c’est devenu fort comme une habitude. Et lorsque je me risque au-dehors, je ne me reconnais plus, et les autres non plus… ils ne veulent pas, et moi je ne sais plus ce que je veux…
Il faut peut être bien choisir ses autres au début.
Je ne te crois pas. Tu voudrais qu'il en soit ainsi, comme ça tu aurais encore ou te cacher.virgule: Je ne veux qu'entendre un vrai cœur de femme.
imala: Un imposteur te dis-je…
L'imposteur n'est pas ton coeur; Tu sais cela, tu le sais.
Que reste t il au monde, si on lui enlève ce Cœur?Je crois en ce cœur, je crois en toi!
Pourquoi ?
Qui serait tu imala sans ce Coeur?
Te plairai tu a toi même?
Merci imala pour cette reaction, merci, mais ne t'inquiète pas. Il faut laisser aller... Si a un moment, je me sens un imbécile, je le dis; il ne faut pas tricher.Pourquoi, pourquoi, pourquoi… Je ne m’y attendais pas. Je ne veux pas que tu puisses te sentir mal, je ne veux pas que tu puisses te traiter d’imbécile justement…
Je suis mon intuition, c'est elle qui dirige mes dires, peu importe le contenu, peu importe ce qui doit être dis. Apprenons a assumer les conséquences.
Marche a ton aise sur le chemin que tu choisis.Il faut essayer ai-je écrit un jour… Je vais essayer…
Mais ce soir je m'arrête là.
J'attendrai ou je te suivrai si nos rythmes divergent.
Si les chemins choisi ne se ressemble plus, ou si la vie sépare, alors s'aura déjà été un bien d'avoir pu marcher un peu ensemble.
Si le résultat est une catastrophe, alors au moins elle nous aura ressemblé, si tant est que l'on aie pu Être au moins un peu.
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Re: Vivant et en marche...
... Je n'ai jamais été confrontée à ce qui se passe ici... Ni de près, ni de loin. Personne qui ne m'aie vraiment forcée (au sens positif du terme) à la vérité et à la vie...
Les discours, oui ! Les concepts intellectualisés, oui... mais pas de concret, ou à peine...
Je reviens Virgule... dès que cela m'est possible. Passe une bonne journée mon ami, et surtout ne t'en veux pas. Ne t'en veux de rien.
Imala
Les discours, oui ! Les concepts intellectualisés, oui... mais pas de concret, ou à peine...
Je reviens Virgule... dès que cela m'est possible. Passe une bonne journée mon ami, et surtout ne t'en veux pas. Ne t'en veux de rien.
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Re: Vivant et en marche...
On n'ose plus s'immiscer dans ce dialogue intense et très personnel .
Pourtant, il faut que l'espace reste ouvert à tous .Qu'est-ce qui caractérise le vivant, en marche ?
Il y a marche et marche . Celle du pèlerin, du croyant, de l'humain qui va vers "l'inaccessible étoile" don quichottesque . Et celle du forçat, boulet aux pieds, qui marche à la schlague, il ne sait même pas vers tout . Et, enre les deux , toutes les sortes d'intermédiaires .
Pourtant, il faut que l'espace reste ouvert à tous .Qu'est-ce qui caractérise le vivant, en marche ?
Il y a marche et marche . Celle du pèlerin, du croyant, de l'humain qui va vers "l'inaccessible étoile" don quichottesque . Et celle du forçat, boulet aux pieds, qui marche à la schlague, il ne sait même pas vers tout . Et, enre les deux , toutes les sortes d'intermédiaires .
JO- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Vivant et en marche...
Jo tu es pessimiste?
Marcher et méditer : les deux mots vont tellement bien ensemble qu'ils en deviennent inséparables. Car dans le processus de la marche se découvre le processus même de toute méditation.
Marcher et méditer : les deux mots vont tellement bien ensemble qu'ils en deviennent inséparables. Car dans le processus de la marche se découvre le processus même de toute méditation.
Téoma- Affranchi des Paradoxes
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Re: Vivant et en marche...
Merci de m'avertir, et reviens lorsqu'il te plaira de le faire.Imala: Je reviens Virgule... dès que cela m'est possible. Passe une bonne journée mon ami, et surtout ne t'en veux pas. Ne t'en veux de rien.
Il faut juste que je sois assuré de ne pas avoir blesser l'oiseau avant qu'il ne s'envole; A partir de la pas d'inquiétude.
Merci de ta considération et de ta confiance,
","
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C'est vrai qu'a l'intérieur même de ce dialogue la place est réduite, l'intimité seule permet ce type de rencontre, et même si cette intimité se veut offerte, si elle s'offre a vous, elle est si fragile...On n'ose plus s'immiscer dans ce dialogue intense et très personnel .
Pourtant, il faut que l'espace reste ouvert à tous .
Ne te rends tu pas comptes du courage énorme qu'il faut a imala pour accepter cela?
Ne rends tu pas grace au ciel qu'elle te permette d'entrer dans son coeur, dans ses douleurs aussi, dans ses joies? Quelle bonté! quelle générosité d'âme!
Je pense qu'il faudrait plutot penser a la remercier d'oser cela; Elle vous offre sa vie. Elle me l'offre.
Cela dit le sujet reste absolument ouvert, et chaque fois que tu as posté, toi ou d'autre, il me semble que les réponses ne se sont pas faite attendre de la part des autres participant, imala et moi y compris.
Il ne faut pas avoir peur jo, que des choses comme celle ci se passent, il ne faut surtout pas les freiner, elles sont le plus grand bien pour certain d'entre nous. Elle ouvrent des portes.
Cela se passe ici, laissons faire la vie, profite en.
virgule- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: Vivant et en marche...
Je trouve cet échange très beau, plein de délicatesse, d'émotion, de sensibilité.
C'en est émouvant et redonne un espoir en l'Humain...
Merci et pour ma part vous pouvez continuer
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Re: Vivant et en marche...
bien entendu : ce n'était pas critique . Juste une pause, pour rentrer dans l'échange multiparticipatif . Je n'ai pas peur : la preuve, j'interviens quand j'ai envie de dire quelque chose .
Teoma: j'énonçais qu'il y a tant de façons de marcher, justement ...
Teoma: j'énonçais qu'il y a tant de façons de marcher, justement ...
JO- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Vivant et en marche...
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Teoma: j'énonçais qu'il y a tant de façons de marcher, justement ...
Je l'admets, Jo, bien que cela me fasse un peu sourire, car je ne vois qu'une seule façon de marcher c'est de mettre un pied devant l'autre... c'est dans la chanson, sinon éh bien tout marche en avant c'est vrai aussi, en arrière il est peu probable que l'on avance à quelque-chose.
Téoma- Affranchi des Paradoxes
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Re: Vivant et en marche...
Tu marches de la même manière , chargé ou léger, content ou maussade ? Moi, pas ...
JO- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Vivant et en marche...
On n'ose plus s'immiscer dans ce dialogue intense et très personnel
JO tu viens quand tu veux, ta présence au contraire me rassure… il m’arrive même de te chercher, de chercher ton "regard" !
Que pense-t-elle ? Elle qui sait dire, et penser, et aimer : je le sais, je le sens.
Pourtant, il faut que l'espace reste ouvert à tous .Qu'est-ce qui caractérise le vivant, en marche ?
Il y a marche et marche . Celle du pèlerin, du croyant, de l'humain qui va vers "l'inaccessible étoile" don quichottesque . Et celle du forçat, boulet aux pieds, qui marche à la schlague, il ne sait même pas vers tout . Et, enre les deux , toutes les sortes d'intermédiaires .
Oui. Et combien riches !!
Je trouve cet échange très beau, plein de délicatesse, d'émotion, de sensibilité.
C'en est émouvant et redonne un espoir en l'Humain...
Merci et pour ma part vous pouvez continuer
??? Jipé ??? Juste : merci.
Virgule,
Je reviens… Je reprends… le chemin, l’écoute : de moi, de toi. De toi, de moi.
Moi venant ici en premier, parce que tu m'y a envoyée.
Va vers toi, dit Dieu à Abram qui n'est pas encore Abraham... vers la terre que je te ferais voir. Virgule ici, comme la voix de Dieu qui appelle. A la vie. A la vérité.¨
si je ne suis pas trop indigne de recevoir.
Pourquoi le serais-tu, et qui serait suffisant pour dire si tu l’es ou non ? D’ici, moi ce que je vois, c’est quelqu’un qui mérite le respect et l’honneur.
Et alors!? Il y trente six mille sujets d'ouvert par ailleurs, n'as t on pas le droit d'exister un peu sur celui là?Oui, l’autre que je parviens à être de temps en temps te l’a accordé... et se l'est accordé... mais ceux qui passent n’en n’ont probablement rien à faire !
Exister, dans la vérité de son être ? En public ?...
Et voilà que cela m’apparaît comme parfaitement incongru ?
A quoi ai-je pensé ? Me suis-je si bien caché la vérité pour que tout à coup elle me surprenne si fortement ?...
Je me suis avancée, mais n’étais-ce pas pour mieux reculer !?...
Pourtant : tout au fond de moi, je ne le veux pas. Je ne veux pas reculer.
Vivant et en marche n'en est il pas le titre? devrions nous avoir toujours peur d'être Vivant selon soi même sous prétexte des autres?
Bien sûr, non ! On ne devrait pas… Mais qui nous le permet ? Et alors que je pose la question je me rends compte combien j’en suis encore à chercher l’approbation…
Crois moi imala, les autres ont aussi un cœur qui bat en leur poitrine, il n'y a pas de résultat a rechercher pour eux, juste a laisser ce cœur une fois exister en vérité!
!!!
Crois tu que je baratine? Crois tu que je parle, et qu'après avoir parler tout est fini?
Arrête ici si tu me crois menteur! Si tu crois que j'entourloupe.
Je n’ai pas appris à avoir vraiment, et profondément confiance. Un commentaire de JO, trouvé très pertinent malgré la lègereté du sujet dans lequel il était inséré : aie confianssssss m’avait fait beaucoup rire, et en y repensant, je sais que si j’ai ri, c’est parce que cela approuvait quelque chose en moi, cette croyance : on ne peut qu’avoir confianssss "ici et maintenant", mais en aucun cas, avoir confiance… sans être mangé !!
Je dis les choses telle qu'elles me viennent, et je décide de ne pas m'en cacher; non par manque de pudeur, mais par amour de la liberté qui m'est avec toi accordée.
C’est me faire beaucoup d’honneur Virgule !
Je comprends... Tout ce que je peu dire c'est : aie confiance en l'élan de vie, en l'amour qui te traverse, ne les laisse pas être enfermer par la peur de tout ce qui ne leur ressemble pas... Si tu ne t'y risque pas ici, ou pourra tu le faire en étant toi?...Pas de demi-mesure donc… J’ai beau être derrière un clavier, et vraisemblablement à des kilomètres de là où tu te trouves ; avoir tout loisir d’éteindre ce p***** d’ordinateur, j’ai quand même peur !!!
Mais si je m’y risque ici, ce n’est pas vraiment un risque, n'est-ce pas ? Ici, je peux très bien ne faire que passer, et si cela devait mal tourner, aller ailleurs. Fermer cette fenêtre…
C’est dans le non virtuel qu’il me faut prendre pied... mais si malgré tout je te réponds c’est parce que je crois que tu peux m’y aider…
J'ai soif.
Cette parole… d’une puissance inouïe… Christique… je ne sais pas y répondre… et je m’affole…
Tu as peut être un peu de ce que tu demandes, ici, saisi le.Je suis comme ce que cette photo représente : j’essaie de m’extraire de ce qui me retient dans la mort !
J’essaie…
j'ai bien l'impression que nos sensibilités sont très forte, et que si pour d'autre cela ne serait qu'un jeu, pour nous il me semble que ça ne le soit pas.
Non, ce n’est pas un jeu, et c’est bien parce que ce n’est pas un jeu que cette pensée m’est venue : ce n’est pas à moi que tout cela s’adresse, je peux observer un petit peu, me détourner et m’en aller… Pas de conséquence…
Pirouette.
Les autres finissent toujours par voir, un peu, sous le masque, mais doit-on le déposer pour autant, et délibérément, je crois que ce n’est pas sans danger, et il me semble que c'est aussi ce que tu disais plus haut...Doit on se révéler de la sorte, peut on s'offrir de cette maniere au regard des inconnu(e)s?
Imala... je ne sais plus trop quoi penser, je suis un peu soucieux... Je sais pas.
J'avance dans l'inconnu, purement et simplement, j'avance de toute mes forces, mais deja j'ai l'impression d'en manqué.
Deux valent mieux qu’un (…) et triple fil ne se désagrège pas vite dit l’Ecclésiaste… Alors, et comme je le peux, je tresse avec toi cette corde à trois brins…
Je m'en suis voulu du message que j'ai pu écrire hier, j'etais deja pret a m'en excusé. J'avais si peur d'avoir pu être une fois de plus l'éléphant dans un magasin de porcelaine J'avais peur d'avoir abusé, et de t'avoir mis en situation difficile, de n'avoir suivi que mon chemin hasardeux, sans vraiment tenir compte de ce que toi tu voulais, de ce que tu pouvais..
… J’ai paniqué, oui, mais cela tient plus à mon histoire, qu’à ton intervention. N’aie pas de regrets. C’est moi qui, par ma spontanéité, ai provoqué tout ceci.
Bien sur j'avais suivi mon intuition, mon ressenti, mais devais je aller jusqu'a vouloir t'entrainer a ma suite de cette manière. Quelque part je crois que j'ai voulu te montrer quelque chose.
Quoi ? Qu'as-tu voulu me montrer ?
Que c’est possible ? Qu’on ne va pas… mourir d'être vulnérable ? En être confondus ?
Je sais pas. En tout cas, j'en ai été troublé, affecté. Je me suis aperçu que...
Dis-moi.
Si tu ne veux pas continuer, si tu sents que ce n'est pas pret pour toi,
Encore un pas mon ami, encore un pas...
je t'en supplie refuse de continuer, ralenti moi, arrete moi, mais surtout ne tolère rien pour me faire plaisir, ce serait la pire chose qu'il puisse arriver ici.
Voila, je devais te dire cela, c'est surement mal exprimer mais bon... je fais avec mes moyens.
Non, c’est très clair et tes moyens sont beaux, nobles.
Tout ce que je peux offrir c'est ce que tu vois de moi.
Et c’est beaucoup.
Le crois tu? Peut être qu' il y a des choses que je ressens...Sans me voir… mon Dieu ! Tu ne sais pas ce que tu réveilles là !...
Je n’en doute pas.
Ne dis rien sur ce sujet pour le moment, sauf si tu le veux, sauf si tu crois que je doive l'entendre. C'est que je ne voudrais pas forcer le lieu, et la serrure, et ici, je vois comme une porte secrète et verrouiller.
... Sortir de la lisière, s’avancer dans la lumière… et découvrir qu’on est tout seul, et pâlir alors, se faire spectre, hanter sa vie plus que ne l’habiter, raisonner parce que, en vrai cela résonne creux à force…
Il faut peut être un peu des deux. Regarder et se regarder en...Non, mais pour ne pas avoir à constater que ce n’est pas moi qui intéresse celui qui semble s’intéresser, mais tel Narcisse se penchant sur les eaux, le reflet que je serais peut-être susceptible de lui renvoyer...
Le reflet aide aussi à comprendre qui est l'autre. C'est par ce que tu vas refleter de moi que je vais comprendre quel accords nous pouvons ensemble composé, sentir jusqu'où il sera possible d'aimer.
Je comprends. Et ce qui me fait aimer ce dire, c’est l’idée d’accords composés…
A mon tour de poser cette question : mais qui es-tu Virgule ?
Je sais pas.
Mais s'il fallait que je réponde absolument alors peut être qu'aujourd'hui je répondrai par une grimace amusante et spontané; Demain, tout a l'heure, qui sait?
Mais aujourd’hui : celui capable de me renvoyer à ce qui encore, ne me parvient que comme un écho…
….Je sais discourir sur l’être… j’ai bien peur de ne pas savoir… l’être.
C'est un peu ce que je ressent, j'ai l'impression que le discours sur l'être est devenu ta cachette de choix, ou au moins une maniere de tester si oui ou non, il te sera un jour possible d'Etre telle que ton coeur te le propose. Je crois que c'est normal comme processus.
Un rêve, fait il y a quelque mois : couchée sur une civière, sanglée j’étais condamnée à mort. Une femme est entrée par la porte de droite, souriante, elle venait pour m’intuber, un homme est entré par la porte de gauche, il venait pour l’exécution, et moi, sur ma civière je crevais littéralement de peur à l’idée que l’on m’intube et que je ne puisse me dire avant de mourir… Alors oui, je suis dans une sorte de processus où je me débats pour être vraiment avant de mourir … définitivement, et de manière définitive.
Mort, mourir à la puissance au carré. C’est pour te dire combien j’ai peur.
Si c'est conscient et voulu je n'ai rien a redire, sinon, je peux juste te proposer le reflet de mon âme comme revelateur, si tant est qu'il y ait en elle assez de vérité.
Et je dis : merci.
Qu'est ce qui te fait peur?60 ans d’habitudes, 60 ans d’expériences… personne pour … mais … alors : juste rester à la surface des choses parce qu’aller au-delà, ou plus profond fait peur, demande un réel intérêt...
J’ai eu peur et je me suis caché répond Adam en Eden… C’est de l’ordre de cette peur-là : peur de ce besoin qu’on a de l’autre, et peur que l’autre ne s’en serve pour nous atteindre, et encore, au final peur d'être rejetée, peur de se découvrir comme ne comptant pas, ne pesant pas… Compté, compté, pesé, pesé : trouvé trop léger dit un versert dans la livre des Rois…
Parole qui envoie au néant. Qui anéantise, et c’est juste… terrifiant.
Il m'avait bien semblé...Non, c’était ma devise.
Pendant longtemps.
Et à force, c’est devenu fort comme une habitude. Et lorsque je me risque au-dehors, je ne me reconnais plus, et les autres non plus… ils ne veulent pas, et moi je ne sais plus ce que je veux…
Oui ? Je t’écoute. Donne-moi encore le ton, donne-moi le la.
Il faut peut être bien choisir ses autres au début.
Mes autres, je les aime, et si moi je n’y suis pas toujours, si je ne reflète pas assez de vérité face à eux, c’est moi qu’il faut que je blâme. Non eux.
Je ne te crois pas. Tu voudrais qu'il en soit ainsi, comme ça tu aurais encore ou te cacher.virgule: Je ne veux qu'entendre un vrai cœur de femme.
imala: Un imposteur te dis-je…
Ce n’est pas faux.
Pourquoi ?L'imposteur n'est pas ton coeur; Tu sais cela, tu le sais.
Je crois en ce cœur, je crois en toi!
Que reste t il au monde, si on lui enlève ce Cœur?
Qui serait tu imala sans ce Coeur?
Coeur avec C majuscule... Je crois comprendre… Le fleuve ne fait qu’Un avec la source d’où il vient… Et le fleuve pour moi, c’est Dieu...
Te plairai tu a toi même?
Dans l’absolu : je ne serais pas.
Merci imala pour cette reaction, merci, mais ne t'inquiète pas. Il faut laisser aller... Si a un moment, je me sens un imbécile, je le dis; il ne faut pas tricher.
Non. Ne pas tricher.
Mon Dieu ! Comme j’aimerais que cela soit possible, et avoir moins peur.
Marche a ton aise sur le chemin que tu choisis.
...Je suis le chemin dit le Christ…
Cette pensée : il n’y a donc pas d’autre chemin que soi-même pour aller au bout de soi-même... Le but, cet Autre, cet inconnu que nous sommes ou avec qui nous sommes "un", on ne le trouve qu’au bout de soi-même, dans l’accomplissement de tout ce que nous sommes…
C’est au bout de la chenille que s’envole le Je suis du papillon...
J'attendrai ou je te suivrai si nos rythmes divergent.
...Le terme du chemin est le commencement d’un autre chemin… et ne pas y être seul. Bienfait.
Si les chemins choisi ne se ressemble plus, ou si la vie sépare, alors s'aura déjà été un bien d'avoir pu marcher un peu ensemble.
Si le résultat est une catastrophe, alors au moins elle nous aura ressemblé, si tant est que l'on aie pu Être au moins un peu.
L’important : avancer - jour après jour - en rampant parfois, avec cette démangeaison des ailes…
Mais si tu m’y accompagnes encore un peu… reconnaissance !
Imala
Imala- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: Vivant et en marche...
Salut imala, heureux que tu sois là,
Ton Père se réjouit de savoir que tu oses ta vérité, celle qui fut posé en toi.
Il dit: n'aie pas peur, respire, ne me construis pas de frontière, ne laisse personne t'en mettre entre nous, sinon tu me perds, tu m'enfermes.
Ce que tu dis est écouté non par des écrans, mais par de vrai personne.
Je suis, j'entends, je vois. Nous ne sommes pas dans de l'imaginaire, mais dans une autre forme de réalité.
Si tu es vrai, si tu es vraiment sincére, alors il peut se passer quelque chose. Ca peut être un premier pas.
Si je n'y croyais pas, je ne dirai rien; Mais il est possible que je me trompe, cela depends aussi de toi.
tu peux t'en détourner, mais tu ne l'oubliera pourtant pas.
C'est ton chemin, s'il te plait de faire une pirouette, fais la.
Et pour cela il faut enlever le masque, et voir autant qu'accepter d'être vu.
nul est au dessus de personne ici.
Elle te tuera peut être, mais tu ne mourra pas. Qui peut comprendre.
Vie et vois. Toi seule connais le chemin.
Tout le monde ne peut se permettre cela.
Tu sembles pouvoir. L'avenir dira si c'était ton temps.
C'est ici que la vrai imala se cache, qu'elle t'attends, a l'affut, a la recherche de ce qui lui permettra de comprendre comment faire surface.
Comment pourra t elle "se dire" enfin en Vérité;
Mais... il y a un piege ici même...Imala, apprends a oublié le comment, il est une entrave, un calcul, une maniere de garder le controle, un façon discrete d'emprisonner la vie qui veut sa liberté. Une confiance acheté.
Sent la Vie, laisse la rendre vivant ton coeur, ne la comprime pas en concept lorsque tu veux l'entendre, et elle exprimera plus que tu n'es en mesure de l'imaginer, elle t'exprimera enfin, libre. Elle te fera rire ou pleurer, mais tu sera a toi, selon toi, avec toi, en ton dieu.
Montre lui ton coeur, et peu importe le reste, tu n'aura pas de sang sur les mains.
Si quelqu'un veut se salir de toi, soit, qu'il le fasse, il recoltera son fruit, et toi le tient.
Mais, la nature de l'amour a travers d'autres hommes prendra ta defense, et là le mauvais n'aura plus de quoi se rire de toi.
Si tu n'as pas confiance, si tu ne veux pas avancer en risquant, tu marches sur le chemin d'un autre.
Choisir ses autres, cela veut dire, qu'il faut choisir ceux qui sont capables de marcher sur cette voie avec toi, ceux qui entendent la même vérité que toi. Ceux qui sont aussi capables des biens que tu recherches. La famille, les ami(e)s, peuvent parfois(pour ne pas dire souvent) être une entrave en cela. Ils ont une image de toi a laquelle ils tiennent. Des concept lié aux traditions qu'ils connaissent.
Ils te veulent comment avant, ils veulent pouvoir te reconnaitre. C'est un reflexe naturel je crois;
Je crois que c'est pour cela que le christ a dit ce que l'on sait a ce sujet.
Qui est ma mére, qui sont mes freres etc...
Se liberer de cela ne veut pas dire rejeter ses autres, mais trouver sa vérité, et la vivre, avec ou sans leur consentement.
S'ils t'aiment, ils continuerons de le faire, et mieux encore autant que tu seras plus vrai;
S'ils ne t'aimaient pas vraiment, au moins le tri sera fait;
Si tu ne veux pas du tri, si tu as peur, prends patience, c'est que tu n'es pas prête... Mais n'attends pas de mourir...
Bien sur, on compose toujours un peu... c'est qu'il y a un "autre" en face, mais composer sans tricher... je crois que c'est deja un bien.
Jipé... un phénomène...??? Jipé ??? Juste : merci.
sourire approbateur, touchée
Virgule,
Je reviens… Je reprends… le chemin, l’écoute : de moi, de toi. De toi, de moi.
Venir a la vie, ne pas regarder en arriere, ni sur les cotés.
Exister, dans la vérité de son être ? En public ?...
Et voilà que cela m’apparaît comme parfaitement incongru ?
A quoi ai-je pensé ? Me suis-je si bien caché la vérité pour que tout à coup elle me surprenne si fortement ?...
Je me suis avancée, mais n’étais-ce pas pour mieux reculer !?...
Pourtant : tout au fond de moi, je ne le veux pas. Je ne veux pas reculer.
Personne n'a à la permettre, car nul autre que toi n'est devant ton dieu. Si ton dieu permet, que l'homme se taise.virgule: Vivant et en marche n'en est il pas le titre? devrions nous avoir toujours peur d'être Vivant selon soi même sous prétexte des autres?
imala: Bien sûr, non ! On ne devrait pas… Mais qui nous le permet ? Et alors que je pose la question je me rends compte combien j’en suis encore à chercher l’approbation…
Ton Père se réjouit de savoir que tu oses ta vérité, celle qui fut posé en toi.
Il dit: n'aie pas peur, respire, ne me construis pas de frontière, ne laisse personne t'en mettre entre nous, sinon tu me perds, tu m'enfermes.
Même ici il y a un risque, parce que ce que tu placeras ici, viendra quand même de toi, et ce que tu auras placé tu ne pourra plus l'ignorer, et il t'en reviendra un echo.Mais si je m’y risque ici, ce n’est pas vraiment un risque, n'est-ce pas ? Ici, je peux très bien ne faire que passer, et si cela devait mal tourner, aller ailleurs. Fermer cette fenêtre…
C’est dans le non virtuel qu’il me faut prendre pied... mais si malgré tout je te réponds c’est parce que je crois que tu peux m’y aider…
Ce que tu dis est écouté non par des écrans, mais par de vrai personne.
Je suis, j'entends, je vois. Nous ne sommes pas dans de l'imaginaire, mais dans une autre forme de réalité.
Si tu es vrai, si tu es vraiment sincére, alors il peut se passer quelque chose. Ca peut être un premier pas.
Si je n'y croyais pas, je ne dirai rien; Mais il est possible que je me trompe, cela depends aussi de toi.
Ne me donne pas du vinaigre, et tu y aura repondu.Cette parole… d’une puissance inouïe… Christique… je ne sais pas y répondre… et je m’affole…
Que tu crois!... la main est là, elle t'appelle, elle a besoin de toi.
Non, ce n’est pas un jeu, et c’est bien parce que ce n’est pas un jeu que cette pensée m’est venue : ce n’est pas à moi que tout cela s’adresse, je peux observer un petit peu, me détourner et m’en aller… Pas de conséquence…
Pirouette.
tu peux t'en détourner, mais tu ne l'oubliera pourtant pas.
C'est ton chemin, s'il te plait de faire une pirouette, fais la.
Bien sur, ce n'est pas sans danger, c'est qu'il faut bien que le coeur soit vérifier...Les autres finissent toujours par voir, un peu, sous le masque, mais doit-on le déposer pour autant, et délibérément, je crois que ce n’est pas sans danger, et il me semble que c'est aussi ce que tu disais plus haut...
Et pour cela il faut enlever le masque, et voir autant qu'accepter d'être vu.
nul est au dessus de personne ici.
si tu brille de tout ton eclat, alors la Vie t'épouse.
Quoi ? Qu'as-tu voulu me montrer ?
Que c’est possible ? Qu’on ne va pas… mourir d'être vulnérable ? En être confondus ?
Elle te tuera peut être, mais tu ne mourra pas. Qui peut comprendre.
Vie et vois. Toi seule connais le chemin.
que nous sommes fragile, et qu'il faut y aller peut être plus doucement parfois; etc...v: Je sais pas. En tout cas, j'en ai été troublé, affecté. Je me suis aperçu que...
I: Dis-moi.
Seul, oui, mais dans la lumiere, tous le monde t'attends.
... Sortir de la lisière, s’avancer dans la lumière… et découvrir qu’on est tout seul, et pâlir alors, se faire spectre, hanter sa vie plus que ne l’habiter, raisonner parce que, en vrai cela résonne creux à force…
Tout le monde ne peut se permettre cela.
Tu sembles pouvoir. L'avenir dira si c'était ton temps.
C'est exactement cela! être avant de mourir! Definitivement! La vie réintegré!
Un rêve, fait il y a quelque mois : couchée sur une civière, sanglée j’étais condamnée à mort. Une femme est entrée par la porte de droite, souriante, elle venait pour m’intuber, un homme est entré par la porte de gauche, il venait pour l’exécution, et moi, sur ma civière je crevais littéralement de peur à l’idée que l’on m’intube et que je ne puisse me dire avant de mourir… Alors oui, je suis dans une sorte de processus où je me débats pour être vraiment avant de mourir … définitivement, et de manière définitive.
Mort, mourir à la puissance au carré. C’est pour te dire combien j’ai peur.
C'est ici que la vrai imala se cache, qu'elle t'attends, a l'affut, a la recherche de ce qui lui permettra de comprendre comment faire surface.
Comment pourra t elle "se dire" enfin en Vérité;
Mais... il y a un piege ici même...Imala, apprends a oublié le comment, il est une entrave, un calcul, une maniere de garder le controle, un façon discrete d'emprisonner la vie qui veut sa liberté. Une confiance acheté.
Sent la Vie, laisse la rendre vivant ton coeur, ne la comprime pas en concept lorsque tu veux l'entendre, et elle exprimera plus que tu n'es en mesure de l'imaginer, elle t'exprimera enfin, libre. Elle te fera rire ou pleurer, mais tu sera a toi, selon toi, avec toi, en ton dieu.
Souri a cette peur, souri lui, c'est tout, et apprends a passer outre en continuant selon ton coeur;J’ai eu peur et je me suis caché répond Adam en Eden… C’est de l’ordre de cette peur-là : peur de ce besoin qu’on a de l’autre, et peur que l’autre ne s’en serve pour nous atteindre, et encore, au final peur d'être rejetée, peur de se découvrir comme ne comptant pas, ne pesant pas… Compté, compté, pesé, pesé : trouvé trop léger dit un versert dans la livre des Rois…
Parole qui envoie au néant. Qui anéantise, et c’est juste… terrifiant.
Montre lui ton coeur, et peu importe le reste, tu n'aura pas de sang sur les mains.
Si quelqu'un veut se salir de toi, soit, qu'il le fasse, il recoltera son fruit, et toi le tient.
Mais, la nature de l'amour a travers d'autres hommes prendra ta defense, et là le mauvais n'aura plus de quoi se rire de toi.
Si tu n'as pas confiance, si tu ne veux pas avancer en risquant, tu marches sur le chemin d'un autre.
Ce n'est pas ce que j'ai voulu dire, je n'ai pas voulu accuser.virgule: il faut peut être bien choisir ses autres au début.
imala: Mes autres, je les aime, et si moi je n’y suis pas toujours, si je ne reflète pas assez de vérité face à eux, c’est moi qu’il faut que je blâme. Non eux.
Choisir ses autres, cela veut dire, qu'il faut choisir ceux qui sont capables de marcher sur cette voie avec toi, ceux qui entendent la même vérité que toi. Ceux qui sont aussi capables des biens que tu recherches. La famille, les ami(e)s, peuvent parfois(pour ne pas dire souvent) être une entrave en cela. Ils ont une image de toi a laquelle ils tiennent. Des concept lié aux traditions qu'ils connaissent.
Ils te veulent comment avant, ils veulent pouvoir te reconnaitre. C'est un reflexe naturel je crois;
Je crois que c'est pour cela que le christ a dit ce que l'on sait a ce sujet.
Qui est ma mére, qui sont mes freres etc...
Se liberer de cela ne veut pas dire rejeter ses autres, mais trouver sa vérité, et la vivre, avec ou sans leur consentement.
S'ils t'aiment, ils continuerons de le faire, et mieux encore autant que tu seras plus vrai;
S'ils ne t'aimaient pas vraiment, au moins le tri sera fait;
Si tu ne veux pas du tri, si tu as peur, prends patience, c'est que tu n'es pas prête... Mais n'attends pas de mourir...
Le fleuve n'est pas que l'idée que l'on s'en fait.Coeur avec C majuscule... Je crois comprendre… Le fleuve ne fait qu’Un avec la source d’où il vient… Et le fleuve pour moi, c’est Dieu...
Laisse aller un peu, ne pas trop penser son dire, mais dire plus simplement sa pensée... laisse faire sans vouloir tout maitriser.
Non. Ne pas tricher.
Mon Dieu ! Comme j’aimerais que cela soit possible, et avoir moins peur.
Bien sur, on compose toujours un peu... c'est qu'il y a un "autre" en face, mais composer sans tricher... je crois que c'est deja un bien.
Pas plus au bout, qu'au debut. hors.Cette pensée : il n’y a donc pas d’autre chemin que soi-même pour aller au bout de soi-même... Le but, cet Autre, cet inconnu que nous sommes ou avec qui nous sommes "un", on ne le trouve qu’au bout de soi-même, dans l’accomplissement de tout ce que nous sommes…
Qui du papillon ou de la chenille fut le premier?C’est au bout de la chenille que s’envole le Je suis du papillon...
on s'accompagne...
L’important : avancer - jour après jour - en rampant parfois, avec cette démangeaison des ailes…
Mais si tu m’y accompagnes encore un peu… reconnaissance !
virgule- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: Vivant et en marche...
Salut virgule, et enchanté Imala !
Si vous saviez à quel point j'ai pu lire votre dialogue avec passion. J'en ai même sauté de ma chaise à plusieurs reprises en criant "C'est ça !!!"...
"là où deux ou trois se rassemblent en mon nom, je serai avec eux"
je m'efface...
Si vous saviez à quel point j'ai pu lire votre dialogue avec passion. J'en ai même sauté de ma chaise à plusieurs reprises en criant "C'est ça !!!"...
"là où deux ou trois se rassemblent en mon nom, je serai avec eux"
je m'efface...
bferrand- Affranchi des Paradoxes
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Identité métaphysique : quelle importance ?
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Re: Vivant et en marche...
choisir ses autres ? est-ce chercher l'approbation d'un petit groupe contre tous ceux qu'il n'inclut pas ?
ce n'était pas la démarche du Christ . L'autre "contre", il est toujours là, mais il importe de ne pas se bâtir sur l'opposition , même si, selon l'adage "l'être se pose en s'opposant" .
A la réflexion, je préfère être choisie et rester où l'on m'accueille, par cooptation de pensée et d'affect, et secouer la poussière de mes sandales, en quittant qui me refuse .
Nos refus nous bloquent .
ce n'était pas la démarche du Christ . L'autre "contre", il est toujours là, mais il importe de ne pas se bâtir sur l'opposition , même si, selon l'adage "l'être se pose en s'opposant" .
A la réflexion, je préfère être choisie et rester où l'on m'accueille, par cooptation de pensée et d'affect, et secouer la poussière de mes sandales, en quittant qui me refuse .
Nos refus nous bloquent .
JO- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Vivant et en marche...
Sourire.bf: Si vous saviez à quel point j'ai pu lire votre dialogue avec passion. J'en ai même sauté de ma chaise à plusieurs reprises en criant "C'est ça !!!"...
Et bf... merci de ton attention respectueuse, mais personne ne te demande de t'effacer si tu as quelque chose a dire.
Non. Il ne faut pas sortir la phrase de son contexte. Pourquoi tourner la chose de cette maniere?choisir ses autres ? est-ce chercher l'approbation d'un petit groupe contre tous ceux qu'il n'inclut pas ?
Je te rappelle qu'imala disait:
Et à force, c’est devenu fort comme une habitude. Et lorsque je me risque au-dehors, je ne me reconnais plus, et les autres non plus… ils ne veulent pas, et moi je ne sais plus ce que je veux…C'est ici, que j'ai dit qu'il fallait peut être savoir choisir ses autres, au moins au debut, le temps de pouvoir sortir de cette ornière. C'est ainsi que je vois la chose, d'aprés ce qu'il m'est donné d'en comprendre ici.
ah bon?ce n'était pas la démarche du Christ .
Cela n'as rien a voir au vu du cas présent, mais tout de même, juste comme ça...! :
N'a t il pas aussi choisi ses disciples?
N'a t il pas choisi les lieux ou il allait?
N'en a t il pas choisi certains pour se confier a eux, et pas d'autres?
N'est il pas dit des des disciples:celui qu'il aimait?
Qui l'accompagne sur la montagne ou a lieu la transfiguration?
trois seulement parmi les douze? Il les a aussi choisi il me semble non?
Etc...
Je ne parle pas d'opposition jo, c'est toi qui voit la chose ainsi.L'autre "contre", il est toujours là, mais il importe de ne pas se bâtir sur l'opposition , même si, selon l'adage "l'être se pose en s'opposant" .
Peut on dire que le café est opposé au thé?
C'est ton choix, et en gros, exprimé de cette maniere cela porte à penser que soit les gens t'aime et te choisissent, soit tu secoues la poussiere de leurs ingratitudes collé a tes sandales?A la réflexion, je préfère être choisie et rester où l'on m'accueille, par cooptation de pensée et d'affect, et secouer la poussière de mes sandales, en quittant qui me refuse.
Mais personnes ne te doit rien, et de ce fait la poussiere c'est toi qui la crée par ton approche.
A moins que tu ne sois un Christ?
Sinon, j'y vois là le mépris et le refus, que tu ne trouvera peut être pas dans mon discours sur ce point;
Si je t'ai mal interprété excuse moi, et ré-explique mieux ton point de vue.
virgule- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Date d'inscription : 30/08/2009
Re: Vivant et en marche...
Je le sais très bien, si je m'efface, c'est de mon plein gré, pour ne pas perturber l'élan qui vous anime...virgule a écrit:bf... merci de ton attention respectueuse, mais personne ne te demande de t'effacer si tu as quelque chose a dire.
bferrand- Affranchi des Paradoxes
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Identité métaphysique : quelle importance ?
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Date d'inscription : 12/01/2010
Re: Vivant et en marche...
Je n'aime pas choisir, parceque choisir, c'est renoncer ( a dit quelqu'un), c'est écarter, privilégier. Et ça, je n'aime pas .
par tempérament, pas par ideologie .
Quand on ne m'aime pas, je m'efface . Mais je crains bien que mon éducation n'ait inhibé à jamais mon sens du combat pour être aimée,pour choisir, rejeter . Parceque, justement, on m'a appris qu'aimer son prochain, c'était faire pour tous - sans choisir - comme on fait pour le plus cher de ses amis, quand ils en ont besoin .Et que j'essaye de le faire , même en cas d'antipathie spontanée.
Je ne sais pas comment je m'arrange, pour que, quoi que je dise, tu l'entendes avec une note dépréciative à l'égard d'autrui dans l'expression .
par tempérament, pas par ideologie .
Quand on ne m'aime pas, je m'efface . Mais je crains bien que mon éducation n'ait inhibé à jamais mon sens du combat pour être aimée,pour choisir, rejeter . Parceque, justement, on m'a appris qu'aimer son prochain, c'était faire pour tous - sans choisir - comme on fait pour le plus cher de ses amis, quand ils en ont besoin .Et que j'essaye de le faire , même en cas d'antipathie spontanée.
Je ne sais pas comment je m'arrange, pour que, quoi que je dise, tu l'entendes avec une note dépréciative à l'égard d'autrui dans l'expression .
JO- Seigneur de la Métaphysique
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Date d'inscription : 23/08/2009
Re: Vivant et en marche...
ai-je parlé de poussière d'ingratitude ? non: tu l'as rajouté : ça n'y était pas !
Je conçois qu'on ne m'aime pas , mais je ne vois pas pourquoi j'essaierais de forcer la sympathie .
Je conçois qu'on ne m'aime pas , mais je ne vois pas pourquoi j'essaierais de forcer la sympathie .
JO- Seigneur de la Métaphysique
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