Olivier et Pandore
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Olivier et Pandore
L'Olivier et Pandore ,on écrit:
Dans ta couche, allongée, fiévreuse...el maestro dirige sous son chant l'amour de la belle
Dans la pénombre,se cache sa petite perle de sueur...du duveteux geste,arrive son adonis,a se glisser et c'est sous
l'éclaire de son sein gonflé ,qu'elle lui brandit sous le nez avec volonté ...qu'elle lui cri de continuer encore
J'entrerais cet extrême de toi en ma bouche...et je frémirais sous ton ardente braise ,c'est son désire
Et c'est à la saveur de l'homme que...
Le seul goût de sa peau suave et de son ardente virilité...elle se révèlera si intense et d'où elle en sortira de son corps et t'oublira ,pour un temps
et que sous la douceurs de tes caresses...elle se noiera en toi et que si elle
Se raidit d'amour, comme le vit arguant...sous les prétextes interdis de sa plume
de son envie de plaire et d'aimer...et du risque de se perdre en toi et dans tes yeux ,elle se vautre sur toi..et qu'elle
T'invite d'un simple regard à venir, à retenir, à luire...sous de nouveaux cieux et ses orages
Va vers elle,Car cette femme, ta dernière conquête en perdera la tête
Sur toi ,exténuée, elle se penchera et embrassera ton buste et puis
c'est n'est que sous sa morsures d'oreilles et de sa gourmande bouche qu'elle te sussura ...La vérité de ton nom...et de sa joie,de ses lèvres humides ... C'est aux mots ,qu'elle te dira ..que tu saura
Qu'elle te redemande, cette assoiffée, de cet eau de vie,autant de fois qu'elle le voudra...et aussi avidement que seront ses plaintes d'aimer ,tu iras à sa couche..c'est ainsi que tu saura qu'elle t'aime
Et que Sous la fessée des tendres échanges, l'écrin de son être se ravive...
De ses joues rougies,dont elle se pare,sous tes mains habiles ..et que de la grâce et
de l'éclat du temps de jadis et de ses amants fougueux qu'elle connus et dont elle se languis
Et se meurt ...que par tes nuits avec elle ,que s'oublie la douleurs d'antan
Soit cette Hôte majesteux ...érige cette femme soumise et farouche
Laisse là donc se tenir très fermement, a tes hanches, tu lui fera retrouver l'ardeur feu de sa passion..du geste langoureux puis si elle en vient à jouir
De toi sous elle...admire ton oeuvre et son sourire
C'est dans ta chevelure que ses doigts iront...et puis
Qu'elle te conduira,sur la voie de ses monts cachés,si elle t'y enfonce
Et que ,sous sa terre brûlante tu te retrouve,comme fou d'amour ,elle te sera tienne pour toujours,car c'est
Vers la chamade des coeurs battants et repus de ce corps à corps haletant qui tient,comme seule nourriture de son coeur... et c'est à l'infinie des nuits martelés de ce nous,qu'elle rêve ses mots
Fait qu'en faits, jamais plus la belle ne te quitte ,ouvre lui ce monde,sous la mythique d'amour...crée pour elle ,des instants si Glorieux qu'elle en oublira le soleil et jusqu'à son nom...
Ensevelis là en toi ,jusqu'à la plus profonde ,des profondeurs de tes nuits ..où tu là retrouveras enfin dans sa splendeur ...
Goûtant la petite mort poêtesse...qu'elle ne se languira que pour toi
Par ta prose éveille la et ceuille son fruit et ses douves ...Devient ce qu'elle voudra
Et sache que,Quand elle te dira...
Mon âme n'est plus rien sans toi...et nous sommes plus qu'un sonnet mon amour
et bien tu sera le très grand vainceur de son coeur
que si elle te dit ,Je t'aime et bien cette fois ci ,tu sera gardien de son âme
Qu'ils s'aiment donc... de feu et qu'il se couvre des lumières d'autrefois ,dans la valsante des mots et des amants ...d'où la lèvre se meurt d'amour .. et de l'autre
Merci à mon Olivier ,car ma plume n'était plus ...
Elle était cachée,sous ma douleur d'amour ...Je t'aime
Sec.5 avec des notes de passage.
Dans ta couche, allongée, fiévreuse...el maestro dirige sous son chant l'amour de la belle
Dans la pénombre,se cache sa petite perle de sueur...du duveteux geste,arrive son adonis,a se glisser et c'est sous
l'éclaire de son sein gonflé ,qu'elle lui brandit sous le nez avec volonté ...qu'elle lui cri de continuer encore
J'entrerais cet extrême de toi en ma bouche...et je frémirais sous ton ardente braise ,c'est son désire
Et c'est à la saveur de l'homme que...
Le seul goût de sa peau suave et de son ardente virilité...elle se révèlera si intense et d'où elle en sortira de son corps et t'oublira ,pour un temps
et que sous la douceurs de tes caresses...elle se noiera en toi et que si elle
Se raidit d'amour, comme le vit arguant...sous les prétextes interdis de sa plume
de son envie de plaire et d'aimer...et du risque de se perdre en toi et dans tes yeux ,elle se vautre sur toi..et qu'elle
T'invite d'un simple regard à venir, à retenir, à luire...sous de nouveaux cieux et ses orages
Va vers elle,Car cette femme, ta dernière conquête en perdera la tête
Sur toi ,exténuée, elle se penchera et embrassera ton buste et puis
c'est n'est que sous sa morsures d'oreilles et de sa gourmande bouche qu'elle te sussura ...La vérité de ton nom...et de sa joie,de ses lèvres humides ... C'est aux mots ,qu'elle te dira ..que tu saura
Qu'elle te redemande, cette assoiffée, de cet eau de vie,autant de fois qu'elle le voudra...et aussi avidement que seront ses plaintes d'aimer ,tu iras à sa couche..c'est ainsi que tu saura qu'elle t'aime
Et que Sous la fessée des tendres échanges, l'écrin de son être se ravive...
De ses joues rougies,dont elle se pare,sous tes mains habiles ..et que de la grâce et
de l'éclat du temps de jadis et de ses amants fougueux qu'elle connus et dont elle se languis
Et se meurt ...que par tes nuits avec elle ,que s'oublie la douleurs d'antan
Soit cette Hôte majesteux ...érige cette femme soumise et farouche
Laisse là donc se tenir très fermement, a tes hanches, tu lui fera retrouver l'ardeur feu de sa passion..du geste langoureux puis si elle en vient à jouir
De toi sous elle...admire ton oeuvre et son sourire
C'est dans ta chevelure que ses doigts iront...et puis
Qu'elle te conduira,sur la voie de ses monts cachés,si elle t'y enfonce
Et que ,sous sa terre brûlante tu te retrouve,comme fou d'amour ,elle te sera tienne pour toujours,car c'est
Vers la chamade des coeurs battants et repus de ce corps à corps haletant qui tient,comme seule nourriture de son coeur... et c'est à l'infinie des nuits martelés de ce nous,qu'elle rêve ses mots
Fait qu'en faits, jamais plus la belle ne te quitte ,ouvre lui ce monde,sous la mythique d'amour...crée pour elle ,des instants si Glorieux qu'elle en oublira le soleil et jusqu'à son nom...
Ensevelis là en toi ,jusqu'à la plus profonde ,des profondeurs de tes nuits ..où tu là retrouveras enfin dans sa splendeur ...
Goûtant la petite mort poêtesse...qu'elle ne se languira que pour toi
Par ta prose éveille la et ceuille son fruit et ses douves ...Devient ce qu'elle voudra
Et sache que,Quand elle te dira...
Mon âme n'est plus rien sans toi...et nous sommes plus qu'un sonnet mon amour
et bien tu sera le très grand vainceur de son coeur
que si elle te dit ,Je t'aime et bien cette fois ci ,tu sera gardien de son âme
Qu'ils s'aiment donc... de feu et qu'il se couvre des lumières d'autrefois ,dans la valsante des mots et des amants ...d'où la lèvre se meurt d'amour .. et de l'autre
Merci à mon Olivier ,car ma plume n'était plus ...
Elle était cachée,sous ma douleur d'amour ...Je t'aime
Sec.5 avec des notes de passage.
Dernière édition par pandore le Mar 05 Avr 2011, 04:31, édité 5 fois
_pandore- EXCLUE DU FORUM
- Nombre de messages : 2177
Localisation : Québec
Identité métaphysique : Femme
Humeur : Simple
Date d'inscription : 23/01/2010
Re: Olivier et Pandore
Car qu'est-ce que la poésie sans l'amour
Elle n'est rien
Car qu'est-ce que la poésie sans toi
Elle n'est rien
Elle n'est rien
Car qu'est-ce que la poésie sans toi
Elle n'est rien
_pandore- EXCLUE DU FORUM
- Nombre de messages : 2177
Localisation : Québec
Identité métaphysique : Femme
Humeur : Simple
Date d'inscription : 23/01/2010
Re: Olivier et Pandore
Le jour se lève.
Le café sent bon.
La porte est ouverte.
La fraicheur de ce mois d'avril entre
La porte est grande ouverte
Les gens entrent
Le café attire, sent bon
Le monsieur me dit bonjour
La dame me dit bonjour
Les petits mots apparaissent
Les petits maux disparaissent
La nuit porte conseil
Le jour se réveille
Le jour est le Soleil
Tiens Michel ...
Un accidenté de la naissance, de la vie
Il arrive, me dit bonjour
Il sourit
à la Vie
Je lui souris
Bonjour la Vie
Bonjour l'Amour
Bonjour Pandore
Bonjour Toi
Le café sent bon.
La porte est ouverte.
La fraicheur de ce mois d'avril entre
La porte est grande ouverte
Les gens entrent
Le café attire, sent bon
Le monsieur me dit bonjour
La dame me dit bonjour
Les petits mots apparaissent
Les petits maux disparaissent
La nuit porte conseil
Le jour se réveille
Le jour est le Soleil
Tiens Michel ...
Un accidenté de la naissance, de la vie
Il arrive, me dit bonjour
Il sourit
à la Vie
Je lui souris
Bonjour la Vie
Bonjour l'Amour
Bonjour Pandore
Bonjour Toi
_L'Olivier- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 3005
Date d'inscription : 26/02/2011
Re: Olivier et Pandore
" Sous la fessée des tendres échanges, l' écrin de son être se ravive...De ses joues rougies..."
Je ne m' y retrouve plus... Où sont les joues,
où est l' écrin ? Moi, qui ne suis pas encore Eveillé, je me perds en conjonctures...Sourire!
Je ne m' y retrouve plus... Où sont les joues,
où est l' écrin ? Moi, qui ne suis pas encore Eveillé, je me perds en conjonctures...Sourire!
bernard1933- Aka Tpat
- Nombre de messages : 10079
Localisation : Dijon
Identité métaphysique : agnostique
Humeur : serein
Date d'inscription : 23/03/2008
Re: Olivier et Pandore
A la niche !
_L'Olivier- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 3005
Date d'inscription : 26/02/2011
Re: Olivier et Pandore
Oh! Vous êtes beau les amoureux.
Bernard toujours le mot pour rien
Le jour est le soleil,
Locataire du ciel.
Lumière de vérité,
Révèle la sincérité,
Porteur de vie,
L'ombre le fuit.
Quand arrive son heure,
En fin de journée il meut,
Laissant place à sa soeur,
Lui s'en va ailleurs.
Reviendra le lendemain,
Renaissance du matin,
Réveiller la terre,
Soleil est son père.
Sur ces belles paroles je m'en vais de votre nid d'amours.
Peut-être qu'un autre jour, je reviendrais y faire un tour.
Bernard toujours le mot pour rien
J'aime bien sa m'inspireL'Olivier a écrit:Le jour est le Soleil
Le jour est le soleil,
Locataire du ciel.
Lumière de vérité,
Révèle la sincérité,
Porteur de vie,
L'ombre le fuit.
Quand arrive son heure,
En fin de journée il meut,
Laissant place à sa soeur,
Lui s'en va ailleurs.
Reviendra le lendemain,
Renaissance du matin,
Réveiller la terre,
Soleil est son père.
Sur ces belles paroles je m'en vais de votre nid d'amours.
Peut-être qu'un autre jour, je reviendrais y faire un tour.
Invité- Invité
Re: Olivier et Pandore
bernard1933 a écrit:" Sous la fessée des tendres échanges, l' écrin de son être se ravive(l'écrin ..le corps)...De ses joues rougies(sous la fessée ses joues rougissent-rougirent)..."
Je ne m' y retrouve plus... Où sont les joues(situé au visage)
où est l' écrin(le corps est l'écrin de la femme) ? Moi, qui ne suis pas encore Eveillé, je me perds en conjonctures...Sourire!
Des fautes ..comme toujours...
Mais j'aurai essayé..c'est déjà ça...Je suis pas bonne alors..j'ai écris sec.5 note de passage...
_pandore- EXCLUE DU FORUM
- Nombre de messages : 2177
Localisation : Québec
Identité métaphysique : Femme
Humeur : Simple
Date d'inscription : 23/01/2010
Re: Olivier et Pandore
Ma poule a dorer ...
les fautes n'ont pas cours ici
elles font partie du quotidien
A chacun la sienne
les fautes n'ont pas cours ici
elles font partie du quotidien
A chacun la sienne
_L'Olivier- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 3005
Date d'inscription : 26/02/2011
Re: Olivier et Pandore
J'ai fauté
J'suis plein ... de bonnes volontés
Pardon, je ne peux pas
t'accompagner ce soir
J'suis plein ... de bonnes volontés
Pardon, je ne peux pas
t'accompagner ce soir
_L'Olivier- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 3005
Date d'inscription : 26/02/2011
Re: Olivier et Pandore
Olivier et Pandore, merci de veiller à ne pas reprendre sur ce thread ce qui a été fermé ICI !
_________________
MES POEMES :
*****************
Avec Dieu, ce qu'il y a de terrible, c'est qu'on ne sait jamais si ce n'est pas un coup du diable...
(Jean Anouilh)
*****************
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