L'Homme, cet inconnu !
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L'Homme, cet inconnu !
L'Homme, cet inconnu !
«Je cherche un homme !» Ainsi s'écriait le philosophe antique Diogène lorsqu'on lui demandait la raison pour laquelle il déambulait en plein jour une lanterne allumée à la main. Derrière l'aspect quelque peu humoristique de cette anecdote, la réponse énigmatique du fondateur de l'école cynique souligne le fait que, quoique la terre fourmille de gens, un éclairage extérieur est nécessaire si l'on veut trouver le mystère de l'humanité, son existence et sa condition. Diogène disait aussi:«Les mathématiciens étudient le soleil et la lune et oublient ce qu'ils ont sous les pieds.» Que de bon sens et d'observations pertinentes chez ce penseur qui demeurait à l'intérieur d'une grande jarre dans le dénuement complet! L'être humain aime à explorer l'univers, mais tout ce qu'il représente dans cet univers, le considère t-il seulement?
Que savons-nous de nous-mêmes, au juste?
Que dit-on que nous sommes?
Homme / Être humain.
L’homme, le plus évolué des êtres vivants, appartient à la classe des mammifères, à l’ordre des primates, à la famille des hominidés et à l’espèce - Homo sapiens . II est difficile de déterminer à partir de quel stade les primates évolués ont cessé d’être des singes pour devenir des hommes.
Voilà la "définition" que propose un dictionnaire encyclopédique français (Précis, édition 1998) au mot homme. Puis s'ensuit une longue digression exposant la fantaisie évolutionniste. Autrement dit, un ouvrage encyclopédique comportant 80.000 entrées n'a rien d'autre à exposer, concernant l'être humain, qu'une vision philosophique scientiste sans aucun fondement dans la réalité! Triste chose de constater que la prétendue science de l'homme, ayant évacué toute notion de transcendance, enveloppe de ses ténèbres ceux qu'elle prétendait éclairer…
Mais qu'est-ce que l'homme, qui est-il ?
En venant à la vie, chaque être prend un jour conscience du mystère de son existence, de celles des autres et du monde entier. Alors, bientôt, pointe une interrogation: Qui sommes-nous, comment sommes-nous arrivés là et pourquoi ? La vie a-t-elle un sens ? Quel est-il ?
La simple observation des choses ne nous donne qu'une description de notre environnement. Nous vivons sur un sol organo-minéral limité par de vastes étendues d'eau, au sein d'une planète en forme de boule. La lumière de l'astre radieux divise nos journées, nous éclaire et nous chauffe tandis que les phases de la pâle lueur de l'astre nocturne nous permettent d'établir une division calendaire du temps. Les vents tempèrent notre atmosphère; ils nous abreuvent de pluie et de neige permettant le jaillissement d'une flore variée. Quant à la vie animée, elle est représentée par deux types distincts de créatures : les animaux et les humains. Si nous nous reproduisons dans l'altérité et la complémentarité du masculin et du féminin, comme ceux-là, notre condition est plus noble. Nous possédons des facultés sans nulle autre pareille: penser intelligemment, parler et agir en tant qu'artisan et acteur d'un scénario aussi grandiose que mystérieux en son auteur.
Dès lors nous cherchons le pourquoi et le comment de l'existence et nous nous apercevons que les réponses ne sont point dans la nature. Par conséquent, n'ayant point la connaissance de ces choses, nous devons humblement confesser notre ignorance et nos pauvres limitations. N'est-il pas, en effet, étonnant que nous puissions envoyer une fusée sur la Lune et n'ayons pas de réponse au grand "je suis" ? Comment concevoir l'existence si nous n'en savons point l'origine ? Diriger sa vie, pointer vers un objectif, envisager l'avenir sans connaître exactement notre identité -ce que nous sommes, d'où nous venons et si notre vie a un sens- cela ressemble fort à un numéro d'équilibriste risqué…
Le mystère de l’être?
De nombreux philosophes des temps passés se sont penchés sur la question et lui ont donné des réponses diverses. Actuellement, il ne s’y risque plus guère tant le paradigme darwinien a imprégné notre société, faisant croire qu’il était vrai parce que scientifique, donc qu’il ne pouvait être remis en cause. Bien évidemment, nous ne redirons jamais assez combien la prétention de ces imposteurs est fausse. Le darwinisme passera, comme toute les autres modes philosophiques, une autre le remplacera, et le mystère de l’être demeurera pour tous ceux qui n’auront pas l’idée, ou la volonté, d’en chercher la clef au bon endroit.
Y a-t-il vraiment une réponse à ce problème ? Peut-on vraiment savoir ce que nous sommes, au-delà du simple fait biologique ?
Où bien les agnostiques ont-ils raison de dire que l’on ne peut rien savoir en dehors du monde physique ?
Si l’on ne pouvait répondre par l’affirmative, alors la vie n’aurait aucun sens. Nous serions surgis du néant, bref intermède dans l’éternité du chronos, déjà en train de disparaître tout en se convainquant du contraire et cherchant désespérément à repousser la mort qui nous rendrait à l’obscur abyme.
Toutefois, en notre for intérieur, nous savons que les choses ne peuvent aller ainsi. La moindre petite bête de la terre a son utilité, et nous qui lui sommes bien supérieur, nous n’en aurions aucune ? Non, impossible !
Dans quelle direction chercher alors ?
Le livre le plus lu au monde, la Bible, nous trace le chemin de notre quête de sens. Elle est l’éclairage extérieur -infiniment plus puissant que la lanterne de Diogène, parce que d’origine divine- qui dissipe nos ténèbres et nous révèle la véritable nature de tout ce qui existe, les choses visibles comme les invisibles. Elle nous montre l’Homme, son origine, le chef-d’œuvre qu’il représente et son Auteur, Dieu. La Bible nous expose Son dessein envers nous ses créatures et la félicité de ceux qui auront cheminé dans ses voies.
Les Saintes Écritures ne proviennent pas de l’homme, aussi se sert-on de l’expression Parole de Dieu pour la désigner.
Au commencement Dieu créa les cieux et la terre…Genèse 1,1
Au commencement était la Parole (ou le Verbe)…Jean 1,1
La foi naît de l’écoute de cette Parole. Nous éloigne t-elle de la réalité, comme certains le prétendent ? C’est tout l’inverse ; en nous rapprochant de Dieu, le Créateur de tout ce qui existe, elle nous fait découvrir ce que notre cécité spirituelle nous empêchait d’appréhender.
Chercheur de l’Homme, chercheras-tu ton Créateur ?
Bienvenue sur le blog:La cabane du prêcheur
«Je cherche un homme !» Ainsi s'écriait le philosophe antique Diogène lorsqu'on lui demandait la raison pour laquelle il déambulait en plein jour une lanterne allumée à la main. Derrière l'aspect quelque peu humoristique de cette anecdote, la réponse énigmatique du fondateur de l'école cynique souligne le fait que, quoique la terre fourmille de gens, un éclairage extérieur est nécessaire si l'on veut trouver le mystère de l'humanité, son existence et sa condition. Diogène disait aussi:«Les mathématiciens étudient le soleil et la lune et oublient ce qu'ils ont sous les pieds.» Que de bon sens et d'observations pertinentes chez ce penseur qui demeurait à l'intérieur d'une grande jarre dans le dénuement complet! L'être humain aime à explorer l'univers, mais tout ce qu'il représente dans cet univers, le considère t-il seulement?
Que savons-nous de nous-mêmes, au juste?
Que dit-on que nous sommes?
Homme / Être humain.
L’homme, le plus évolué des êtres vivants, appartient à la classe des mammifères, à l’ordre des primates, à la famille des hominidés et à l’espèce - Homo sapiens . II est difficile de déterminer à partir de quel stade les primates évolués ont cessé d’être des singes pour devenir des hommes.
Voilà la "définition" que propose un dictionnaire encyclopédique français (Précis, édition 1998) au mot homme. Puis s'ensuit une longue digression exposant la fantaisie évolutionniste. Autrement dit, un ouvrage encyclopédique comportant 80.000 entrées n'a rien d'autre à exposer, concernant l'être humain, qu'une vision philosophique scientiste sans aucun fondement dans la réalité! Triste chose de constater que la prétendue science de l'homme, ayant évacué toute notion de transcendance, enveloppe de ses ténèbres ceux qu'elle prétendait éclairer…
Mais qu'est-ce que l'homme, qui est-il ?
En venant à la vie, chaque être prend un jour conscience du mystère de son existence, de celles des autres et du monde entier. Alors, bientôt, pointe une interrogation: Qui sommes-nous, comment sommes-nous arrivés là et pourquoi ? La vie a-t-elle un sens ? Quel est-il ?
La simple observation des choses ne nous donne qu'une description de notre environnement. Nous vivons sur un sol organo-minéral limité par de vastes étendues d'eau, au sein d'une planète en forme de boule. La lumière de l'astre radieux divise nos journées, nous éclaire et nous chauffe tandis que les phases de la pâle lueur de l'astre nocturne nous permettent d'établir une division calendaire du temps. Les vents tempèrent notre atmosphère; ils nous abreuvent de pluie et de neige permettant le jaillissement d'une flore variée. Quant à la vie animée, elle est représentée par deux types distincts de créatures : les animaux et les humains. Si nous nous reproduisons dans l'altérité et la complémentarité du masculin et du féminin, comme ceux-là, notre condition est plus noble. Nous possédons des facultés sans nulle autre pareille: penser intelligemment, parler et agir en tant qu'artisan et acteur d'un scénario aussi grandiose que mystérieux en son auteur.
Dès lors nous cherchons le pourquoi et le comment de l'existence et nous nous apercevons que les réponses ne sont point dans la nature. Par conséquent, n'ayant point la connaissance de ces choses, nous devons humblement confesser notre ignorance et nos pauvres limitations. N'est-il pas, en effet, étonnant que nous puissions envoyer une fusée sur la Lune et n'ayons pas de réponse au grand "je suis" ? Comment concevoir l'existence si nous n'en savons point l'origine ? Diriger sa vie, pointer vers un objectif, envisager l'avenir sans connaître exactement notre identité -ce que nous sommes, d'où nous venons et si notre vie a un sens- cela ressemble fort à un numéro d'équilibriste risqué…
Le mystère de l’être?
De nombreux philosophes des temps passés se sont penchés sur la question et lui ont donné des réponses diverses. Actuellement, il ne s’y risque plus guère tant le paradigme darwinien a imprégné notre société, faisant croire qu’il était vrai parce que scientifique, donc qu’il ne pouvait être remis en cause. Bien évidemment, nous ne redirons jamais assez combien la prétention de ces imposteurs est fausse. Le darwinisme passera, comme toute les autres modes philosophiques, une autre le remplacera, et le mystère de l’être demeurera pour tous ceux qui n’auront pas l’idée, ou la volonté, d’en chercher la clef au bon endroit.
Y a-t-il vraiment une réponse à ce problème ? Peut-on vraiment savoir ce que nous sommes, au-delà du simple fait biologique ?
Où bien les agnostiques ont-ils raison de dire que l’on ne peut rien savoir en dehors du monde physique ?
Si l’on ne pouvait répondre par l’affirmative, alors la vie n’aurait aucun sens. Nous serions surgis du néant, bref intermède dans l’éternité du chronos, déjà en train de disparaître tout en se convainquant du contraire et cherchant désespérément à repousser la mort qui nous rendrait à l’obscur abyme.
Toutefois, en notre for intérieur, nous savons que les choses ne peuvent aller ainsi. La moindre petite bête de la terre a son utilité, et nous qui lui sommes bien supérieur, nous n’en aurions aucune ? Non, impossible !
Dans quelle direction chercher alors ?
Le livre le plus lu au monde, la Bible, nous trace le chemin de notre quête de sens. Elle est l’éclairage extérieur -infiniment plus puissant que la lanterne de Diogène, parce que d’origine divine- qui dissipe nos ténèbres et nous révèle la véritable nature de tout ce qui existe, les choses visibles comme les invisibles. Elle nous montre l’Homme, son origine, le chef-d’œuvre qu’il représente et son Auteur, Dieu. La Bible nous expose Son dessein envers nous ses créatures et la félicité de ceux qui auront cheminé dans ses voies.
Les Saintes Écritures ne proviennent pas de l’homme, aussi se sert-on de l’expression Parole de Dieu pour la désigner.
Au commencement Dieu créa les cieux et la terre…Genèse 1,1
Au commencement était la Parole (ou le Verbe)…Jean 1,1
La foi naît de l’écoute de cette Parole. Nous éloigne t-elle de la réalité, comme certains le prétendent ? C’est tout l’inverse ; en nous rapprochant de Dieu, le Créateur de tout ce qui existe, elle nous fait découvrir ce que notre cécité spirituelle nous empêchait d’appréhender.
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gillovy- Affranchi des Paradoxes
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