Garde-t-on les valeurs morales apprises ?
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Bulle
Cochonfucius
bernard1933
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Garde-t-on les valeurs morales apprises ?
Dans quelle mesure pensez vous qu'on garde les valeurs morales dont on a été imprégné pendant l'enfance ?
J'ai plusieurs fois entendu des personnes avouer les avoir gardées malgré qu'elles aient changé de croyance, ou abandonné les croyances qui structuraient cette morale.
Pour ma part, élevée dans environnement catholique intégriste, j'avoue en avoir gardé presque toutes les valeurs morales, sauf certaines choses comme l'interdiction du remariage après divorce.
Question subsidiaire: pensez vous que ces valeurs morales, cette structure soient une bonne chose ?
J'ai plusieurs fois entendu des personnes avouer les avoir gardées malgré qu'elles aient changé de croyance, ou abandonné les croyances qui structuraient cette morale.
Pour ma part, élevée dans environnement catholique intégriste, j'avoue en avoir gardé presque toutes les valeurs morales, sauf certaines choses comme l'interdiction du remariage après divorce.
Question subsidiaire: pensez vous que ces valeurs morales, cette structure soient une bonne chose ?
Invité- Invité
Re: Garde-t-on les valeurs morales apprises ?
Je pense que les valeurs morales apprises dans l' enfance nous imprègnent très profondément et nous guident pendant toute notre existence, quel que soit ensuite l' évolution de notre croyance. Nous les adaptons à notre propre évolution et à celle de la société, mais les bases restent les mêmes .
Et cette éducation morale est essentielle , ne serait-ce que pour
l' équilibre de notre Société ?
Et cette éducation morale est essentielle , ne serait-ce que pour
l' équilibre de notre Société ?
bernard1933- Aka Tpat
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Re: Garde-t-on les valeurs morales apprises ?
Les valeurs morales, y compris certaines d'entre elles qui sont plutôt de mauvaises habitudes... mais bon, personne n'est parfait.
Re: Garde-t-on les valeurs morales apprises ?
C'est quoi une "valeur morale" en matière de religion ? C'est obéir aux ordres de celle-ci ?
Perso : j'ai fait le tri. Pas par facilité, par réflexion...
Perso : j'ai fait le tri. Pas par facilité, par réflexion...
Re: Garde-t-on les valeurs morales apprises ?
Je pense que ça dépend des circonstances!
On garde les valeurs morales de notre enfance tant qu'elles ne sont pas en contradiction avec ce que nous sommes amenés à vivre. Mais les circonstances peuvent nous inciter à les abandonner (en cas de divorce par exemple, mais pas seulement)
On garde les valeurs morales de notre enfance tant qu'elles ne sont pas en contradiction avec ce que nous sommes amenés à vivre. Mais les circonstances peuvent nous inciter à les abandonner (en cas de divorce par exemple, mais pas seulement)
Invité- Invité
Re: Garde-t-on les valeurs morales apprises ?
lES valeurs Nobles Joue un role essentiel pour le fur être.
Sans valeurs Nobles,pas de réflexion, sans réflexion, pas de compréhension, sans comprhébsion, pas de conscience, sans consciens pas de développement de l'être, sans l'être, pas d'âme, sans âme ,pas d'effigie à l'image de Dieu.
Nacre
Sans valeurs Nobles,pas de réflexion, sans réflexion, pas de compréhension, sans comprhébsion, pas de conscience, sans consciens pas de développement de l'être, sans l'être, pas d'âme, sans âme ,pas d'effigie à l'image de Dieu.
Nacre
Invité- Invité
Re: Garde-t-on les valeurs morales apprises ?
Je n'arrive pas à confondre moral et spirituel . Le spirituel peut être profondément a-moral et le moral radicalement anti-spirituel .
De cette découverte, date mon divorce irrémédiable avec toute religion, car je n'ai pas trouvé de religion sans morale. J'ai gardé le Christ, pour son goût de la transgression, la liberté responsable, le refus de l'hypocrisie des sépulchres blanchis . L'amour n'est pas moral , il est ... amour, et ça me suffit .Pas besoin d'un pion vengeur qui garde des moutons ignares, peureux et obéissants . Pardon: c'est un sujet qui m'irrite bêtement . Blessures d'enfance, de jeunesse , de vie : j'ai toujours été bâtarde aux yeux du catholicisme ...c'est difficile à rendre en extase religieuse .
De cette découverte, date mon divorce irrémédiable avec toute religion, car je n'ai pas trouvé de religion sans morale. J'ai gardé le Christ, pour son goût de la transgression, la liberté responsable, le refus de l'hypocrisie des sépulchres blanchis . L'amour n'est pas moral , il est ... amour, et ça me suffit .Pas besoin d'un pion vengeur qui garde des moutons ignares, peureux et obéissants . Pardon: c'est un sujet qui m'irrite bêtement . Blessures d'enfance, de jeunesse , de vie : j'ai toujours été bâtarde aux yeux du catholicisme ...c'est difficile à rendre en extase religieuse .
JO- Seigneur de la Métaphysique
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Garde-t-on les valeurs morales apprises ?
JO:
Oui l’un et l’autre tire leur force de que tu leur fournis à chaque instant par les choix et les actions que tu engendre à ton insu via l’énergie que tu as en toi.
Sois tes choix vont directement nourrir la sphère négative, soit ils vont nourrir la sphère Bienveillante.
JP:
Tu as fait ton trie et tu as gardé l’essentiel il n’y a pas eus de divorce mais une mise au point tiré par un travail de réflexion que tu as entrepris c’est-ce que Dieu attend de chaque unité qu’elle travaille sur elle même au lieu de boire l’eau du bain.
JO:
Dieu veut que celui qui le sonde le trouve.
Tu le sonde avec ton intuition et ton cœur.
Il est faut de croire que tout ceux qui ont lut la théologie sont proche de Dieu c’est bien souvent le contraire.
JO:
Tu n’as pas d’excuse à faire; ta réaction est légitime.
Dieu seul est l’enseignant celui qui élève toujours avec Amour celui ou celle qui le sonde.
Il est impatient de venir en aide à celui qui le cherche pour pouvoir le secourir.
Nacre
Je n'arrive pas à confondre moral et spirituel .
Le spirituel peut être profondément a-moral et le moral radicalement anti-spirituel .
Oui l’un et l’autre tire leur force de que tu leur fournis à chaque instant par les choix et les actions que tu engendre à ton insu via l’énergie que tu as en toi.
Sois tes choix vont directement nourrir la sphère négative, soit ils vont nourrir la sphère Bienveillante.
JP:
J'ai gardé le Christ, pour son goût de la transgression, la liberté responsable, le refus de l'hypocrisie des sépulcres blanchis . L'amour n'est pas moral , il est ... amour, et ça me suffit .
Tu as fait ton trie et tu as gardé l’essentiel il n’y a pas eus de divorce mais une mise au point tiré par un travail de réflexion que tu as entrepris c’est-ce que Dieu attend de chaque unité qu’elle travaille sur elle même au lieu de boire l’eau du bain.
JO:
.Pas besoin d'un pion vengeur qui garde des moutons ignares, peureux et obéissants
Dieu veut que celui qui le sonde le trouve.
Tu le sonde avec ton intuition et ton cœur.
Il est faut de croire que tout ceux qui ont lut la théologie sont proche de Dieu c’est bien souvent le contraire.
JO:
Pardon: c'est un sujet qui m'irrite bêtement .
Blessures d'enfance, de jeunesse , de vie : j'ai toujours été bâtarde aux yeux du catholicisme ...c'est difficile à rendre en extase religieuse.
Tu n’as pas d’excuse à faire; ta réaction est légitime.
Dieu seul est l’enseignant celui qui élève toujours avec Amour celui ou celle qui le sonde.
Il est impatient de venir en aide à celui qui le cherche pour pouvoir le secourir.
Nacre
Invité- Invité
Re: Garde-t-on les valeurs morales apprises ?
Ah bon ?Nacre a écrit:Sans valeurs Nobles,pas de réflexion
Pourtant le retour de la pensée sur elle-même n'implique absolument pas la compréhension me semble-t-il ; exemple : le mystère.sans réflexion, pas de compréhension
Ah bon ?sans comprhébsion, pas de conscience,
Là je te suissans consciens pas de développement de l'être
Tout ça pour arriver à une image pieuse ! Mouarf...sans l'être, pas d'âme, sans âme ,pas d'effigie à l'image de Dieu.
Re: Garde-t-on les valeurs morales apprises ?
Et oui Bulle surpris, n’est-ce pas?
Je te rassure je l’ai été tout autant si ce n’est pas plus.
Si tu ignore les valeurs nobles elles ne pourront pas installer l’unité squelette ( être)à sa place.
Bulle:
Que sont elles en fin de compte ses connaissances indispensable à l’évolution de futur être.?
Elles vont agir de façon positive, sur le mécanisme des forces énergétiques. Plus elles seront élevées, plus elles agiront et influeront sur tes inclinaisons futurs dans les choix et les actions futur.
Je te colle le résultat des observations que j’ai réalisée sur le mécanisme du né. Il est plus compréhensible que ce que je pourrais bien te dire.
Je te préviens c’est un peu long, mais il en vaut la peine. Pour tenter de l’alléger je vais tenter de le couper en trois ou quatre chapitres
1 chapître:
Il n'existe pas plusieurs chemins, mais uniquement deux passages qui possèdent plusieurs niveaux.
L'un progressiste, a pour but de diriger l'homme dans les différentes étapes qu'il va traverser au cours de son évolution, afin de se synchroniser aux principes de Dieu.
L'autre régressif, répond à un autre fondement, tendant vers le bas de l'astral, alimentant et accroissant la spirale du trouble, transformant l'unité en une entité astrale à son service, la rendant esclave malgré elle, pour continuer de la nourrir jusqu'au jour où sonnera le glas !
Chaque sphère d’évolution donne avec docilité strictement la substance que nous lui avons transmise par nos choix.
Chaque pensée, choix, action, petit ou grand, engendre une énergie qui provoque soit un « évaporé » ou un « lâché », qui ira (suivant sa nature) rejoindre l'une des deux sphères que l'unité aura choisi de nourrir.
Et chacune, dans l'instant, nous réinjecte à notre insu la dose de substance que nous avons produite, avec la même intensité.
Ils constitueront la forme de notre futur.
C'est dans cette phase, que l'unité construit son futur être avec le résultat de la somme de tous ses produits.
Elle est soumise à une résolution ravissante, qui est de purifier l'unité qui ne répond pas à la volonté de l'essence originelle dans l'autre transition, ou de l'édifier vers son éventuel.
Le né, possède également deux inclinaisons qui s'opposent.
L'une représente l'illumination du souffle, alimentant et nourrissant la flamme divine.
La seconde est symbolisée par notre orgueil se sustentant et approvisionnant la spirale de la nébuleuse.
L'énergie de notre foi, objectant à notre insolence, définit le yin et le yang.
Plus il renfermera un niveau de spiritualité élevée, plus la soumission opérera sur l'orgueil, jusqu'à le rendre dérisoire.
C'est uniquement dans la maîtrise des décisions chatoyantes, que l'unité pourra apprendre à l'asservir, en le soumettant à sa volonté.
J' ai assistai à l'obtention, avec l'aide du Continuel, de mon unité squelettique (= être). A cet instant je rejoignais par ce travail intensif, celui effectué par mon heureux et fidèle ami Descartes.
Grâce au Perpétuel la lumière nous parvient par nos sens et non par l'unité politicienne, du sommet de la raison.
La doctrine astrale est un dispositif, une essence énergétique, qui sert de mesure d'instruction, à celui qui part en quête du Maître.
Elle dévoile un reflet d'une contenance féerique, Son Dessein restant impénétrable à la raison de l'unité.
Notre représentation dans l'organique ne reflète en aucun cas un aspect de Dieu dans sa forme constitutionnelle, mais une réverbération dans l'action de Son Ouvrage.
Il veut que celle qui Le cherche avec une volonté de fond, s’acquitte de ce qu'elle doit en rendant à la nuageuse ce qui est sien, et à Lui ce qui le spécifie.
Nacre
Je te rassure je l’ai été tout autant si ce n’est pas plus.
Si tu ignore les valeurs nobles elles ne pourront pas installer l’unité squelette ( être)à sa place.
Bulle:
Dans ce niveau qui est celui des acquisitions des valeurs nobles les valeurs nobles sont vitales.Pourtant le retour de la pensée sur elle-même n'implique absolument pas la compréhension me semble-t-il ; exemple : le mystère.
Que sont elles en fin de compte ses connaissances indispensable à l’évolution de futur être.?
Elles vont agir de façon positive, sur le mécanisme des forces énergétiques. Plus elles seront élevées, plus elles agiront et influeront sur tes inclinaisons futurs dans les choix et les actions futur.
Je te colle le résultat des observations que j’ai réalisée sur le mécanisme du né. Il est plus compréhensible que ce que je pourrais bien te dire.
Je te préviens c’est un peu long, mais il en vaut la peine. Pour tenter de l’alléger je vais tenter de le couper en trois ou quatre chapitres
1 chapître:
Il n'existe pas plusieurs chemins, mais uniquement deux passages qui possèdent plusieurs niveaux.
L'un progressiste, a pour but de diriger l'homme dans les différentes étapes qu'il va traverser au cours de son évolution, afin de se synchroniser aux principes de Dieu.
L'autre régressif, répond à un autre fondement, tendant vers le bas de l'astral, alimentant et accroissant la spirale du trouble, transformant l'unité en une entité astrale à son service, la rendant esclave malgré elle, pour continuer de la nourrir jusqu'au jour où sonnera le glas !
Chaque sphère d’évolution donne avec docilité strictement la substance que nous lui avons transmise par nos choix.
Chaque pensée, choix, action, petit ou grand, engendre une énergie qui provoque soit un « évaporé » ou un « lâché », qui ira (suivant sa nature) rejoindre l'une des deux sphères que l'unité aura choisi de nourrir.
Et chacune, dans l'instant, nous réinjecte à notre insu la dose de substance que nous avons produite, avec la même intensité.
Ils constitueront la forme de notre futur.
C'est dans cette phase, que l'unité construit son futur être avec le résultat de la somme de tous ses produits.
Elle est soumise à une résolution ravissante, qui est de purifier l'unité qui ne répond pas à la volonté de l'essence originelle dans l'autre transition, ou de l'édifier vers son éventuel.
Le né, possède également deux inclinaisons qui s'opposent.
L'une représente l'illumination du souffle, alimentant et nourrissant la flamme divine.
La seconde est symbolisée par notre orgueil se sustentant et approvisionnant la spirale de la nébuleuse.
L'énergie de notre foi, objectant à notre insolence, définit le yin et le yang.
Plus il renfermera un niveau de spiritualité élevée, plus la soumission opérera sur l'orgueil, jusqu'à le rendre dérisoire.
C'est uniquement dans la maîtrise des décisions chatoyantes, que l'unité pourra apprendre à l'asservir, en le soumettant à sa volonté.
J' ai assistai à l'obtention, avec l'aide du Continuel, de mon unité squelettique (= être). A cet instant je rejoignais par ce travail intensif, celui effectué par mon heureux et fidèle ami Descartes.
Grâce au Perpétuel la lumière nous parvient par nos sens et non par l'unité politicienne, du sommet de la raison.
La doctrine astrale est un dispositif, une essence énergétique, qui sert de mesure d'instruction, à celui qui part en quête du Maître.
Elle dévoile un reflet d'une contenance féerique, Son Dessein restant impénétrable à la raison de l'unité.
Notre représentation dans l'organique ne reflète en aucun cas un aspect de Dieu dans sa forme constitutionnelle, mais une réverbération dans l'action de Son Ouvrage.
Il veut que celle qui Le cherche avec une volonté de fond, s’acquitte de ce qu'elle doit en rendant à la nuageuse ce qui est sien, et à Lui ce qui le spécifie.
Nacre
Dernière édition par Nacre le Sam 5 Déc 2009 - 21:15, édité 3 fois
Invité- Invité
Re: Garde-t-on les valeurs morales apprises ?
Doublon que je supprime.
Nacre
Nacre
Dernière édition par Nacre le Sam 5 Déc 2009 - 21:23, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Garde-t-on les valeurs morales apprises ?
2 chapitres
Le Persistant n'est pas le privilège d'un groupe d'intellectuels. L'unité n'a nul besoin d'étudier pendant des années la théologie.
Il nous touche par l'instrument de Son choix. C'est Sa Force. Il est plus aisé pour un aveugle d'être plus attenant à Dieu dans la silhouette de sa pénombre, que pour un théologien de voir notre Concepteur.
On peut voir l'Incessant dans une fleur, l'impalpable zéphyr, les spasmes d'un enfant, le sourire d'une mère mettant au monde sa perle précieuse, l'exclu tendant la main, la flamme d'une bougie.
Nous devons éliminer les incrustations qui ont infecté la Divinité par nos produits. Nous devons sonder le Continuel avec notre cœur.
En décelant notre future vision avec la perception de nos impressions, et non avec le raisonnement qui obscurcit notre entendement.
Nous pouvons y parvenir, en attribuant fiabilité à la clarté de notre foi. Elle connaît la voie que l'on doit emprunter, afin d'atteindre le Constant, en Le sollicitant pour qu'Il exauce notre souhait.
A défaut de croire en l'existence de Celui Qui nous aime, faites confiance à celle qui vous fait respirer. Votre propre souffle, apprenez à le ressentir dans chacun de vos battements de cœur.
Sans l'intervention de Jésus-Christ, l'humanité aurait davantage cultivé le chaos. Le Pérenne est en tout et partout dans l'univers. L'unité de bonne foi, qui le sonde, Le décèle.
Je repensais ahurie aux années d'études épuisantes sur l'énergie pour atteindre ce que je sais. Pour comprendre le mécanisme de ces trois forces énergétiques et leurs liens avec le né.
Ma première attention fut d'entrer dans une analyse comportementale, des choix entrepris et des épreuves traversées.
Pour réussir, il me fallut d'abord élaborer une méthodologie, capable de répondre à ce que j'attendais d'elle.
Acquérir l'outil indispensable qui ne soit pas tronqué par mes vibrations, détenir une rigueur, et une discipline ayant pour objectif de contrer mes mauvaises inclinaisons.
Je me rendais compte que malgré ma bonne volonté, je continuais de façon atténuée à nourrir la sphère dite « négative ».
Tout en continuant d’être animée, alimentée avec détermination, suivant la même ampleur que celle que j’avais connue dans mes précédentes résolutions.
J’observais que chaque substance que nous recevons de l'une des deux sphères reste en nous, et ceci jusqu'à la fin de l'achèvement de l'évolution dans ce monde.
Entre l'instant où j'entrevoyais les énergies, et le moment où je tentais vainement avec mes outils de trouver une façon de les apprivoiser, j'interceptais la présence d'une esquisse irréprochable qui se dessinait au fur et à mesure de mes trouvailles.
Le né est initialisé à son insu, vers une configuration qui dépend du versant donné dans les ordonnances.
Le dilemme de l'inclinaison retrace essentiellement les acquisitions que l'enfant aura faites dans le domaine des valeurs nobles.
Chacune d'entre elles, que nous choisirions d’ignorer, de renverser ou de piétiner dans notre évolution, car trop contraignante à développer, ne pourra alors que fermenter et engendrer des déviants.
Ils se transformeront alors en malignités qui auront à attendre le moment proverbial pour se purifier de ce qui les a fermentés dans l'illégitime.
L'énergie constituée par les choix irréfléchis est préjudiciable, elle nous irradie au fur et à mesure vers le bas de l'astral.
Au fil du temps elle engendre une malignité, qui génère à son tour des aphtes qui formeront tout autour de la quintessence comme une toile d'araignée, qui séquestra celui qui l'a créée.
C'est dans l'action de l'Omnipotent que se produit le miracle.
Plus on se fond dans la première règle de droit, plus l'Universel nous inspire.
Il nous procure le moyen d'évoluer en eurythmie avec l'introductive Résolution sans duperie, car Il connaît toutes nos faiblesses.
Plus grande sera notre difformité, discordante face à la mesure originelle, plus forte sera la complexité à y faire face.
L'humanité après tous ces siècles, croit presque tout savoir du monde et de l'univers dans lesquels elle évolue, mais occulte dans sa course effrénée un élément essentiel, celui d’apprendre à se connaître de l'intérieur pour déterminer son destin.
Elle aurait le privilège alors, de voir la Puissance divine en action.
Je décelais la porte de l'aurore, de la prescience. Mon être était en mesure de saisir toutes les merveilles, qui seraient miennes une fois l'édification à l'effigie de Dieu achevée.
L'auguste robustesse réside dans les trois forces énergétiques.
Il m’a fallu persévérer pour évoluer, pour les déceler dans l'environnement, en les distinguant dans toutes choses.
Je constatais qu’elles ont une destinée, pensent, et sont dotées d'une structure agencée, différente et supérieure aux capacités que l'on détient.
Je dirai que notre niveau ne dépasserait pas celui d'un enfant dans sa première année de classe maternelle et encore je suis loin de la vérité.
Les deux énergies que l'on peut percevoir avec la méthodologie bouddhiste représentent notre reflet. Elles sont le condensé de ce que nous avons produit par nos inclinaisons depuis l'aube de l'humanité.
L'une reflète notre exaltation pour notre Concepteur, la seconde notre outrecuidance. Elles se galvanisent et grandissent par rapport à nos inclinaisons.
Chaque intuition fournie par nos choix provoque soit un lâché pour l'inclinaison généreuse, soit un évaporé pour l’inclinaison orgueilleuse.
Elles possèdent les mêmes fonctions, et à chaque action provoquée elles nous réinjectent avec la même ampleur, sans une once en plus ou en moins nos produits.
La troisième se conjugue par le Souffle suprême, elle régule les deux énergies ainsi que celle qui déploie notre respiration.
Elle se trouve éloignée de notre dimension et ne peut être perçue tant que l'homme stagne dans l'éphémère.
Nacre
Le Persistant n'est pas le privilège d'un groupe d'intellectuels. L'unité n'a nul besoin d'étudier pendant des années la théologie.
Il nous touche par l'instrument de Son choix. C'est Sa Force. Il est plus aisé pour un aveugle d'être plus attenant à Dieu dans la silhouette de sa pénombre, que pour un théologien de voir notre Concepteur.
On peut voir l'Incessant dans une fleur, l'impalpable zéphyr, les spasmes d'un enfant, le sourire d'une mère mettant au monde sa perle précieuse, l'exclu tendant la main, la flamme d'une bougie.
Nous devons éliminer les incrustations qui ont infecté la Divinité par nos produits. Nous devons sonder le Continuel avec notre cœur.
En décelant notre future vision avec la perception de nos impressions, et non avec le raisonnement qui obscurcit notre entendement.
Nous pouvons y parvenir, en attribuant fiabilité à la clarté de notre foi. Elle connaît la voie que l'on doit emprunter, afin d'atteindre le Constant, en Le sollicitant pour qu'Il exauce notre souhait.
A défaut de croire en l'existence de Celui Qui nous aime, faites confiance à celle qui vous fait respirer. Votre propre souffle, apprenez à le ressentir dans chacun de vos battements de cœur.
Sans l'intervention de Jésus-Christ, l'humanité aurait davantage cultivé le chaos. Le Pérenne est en tout et partout dans l'univers. L'unité de bonne foi, qui le sonde, Le décèle.
Je repensais ahurie aux années d'études épuisantes sur l'énergie pour atteindre ce que je sais. Pour comprendre le mécanisme de ces trois forces énergétiques et leurs liens avec le né.
Ma première attention fut d'entrer dans une analyse comportementale, des choix entrepris et des épreuves traversées.
Pour réussir, il me fallut d'abord élaborer une méthodologie, capable de répondre à ce que j'attendais d'elle.
Acquérir l'outil indispensable qui ne soit pas tronqué par mes vibrations, détenir une rigueur, et une discipline ayant pour objectif de contrer mes mauvaises inclinaisons.
Je me rendais compte que malgré ma bonne volonté, je continuais de façon atténuée à nourrir la sphère dite « négative ».
Tout en continuant d’être animée, alimentée avec détermination, suivant la même ampleur que celle que j’avais connue dans mes précédentes résolutions.
J’observais que chaque substance que nous recevons de l'une des deux sphères reste en nous, et ceci jusqu'à la fin de l'achèvement de l'évolution dans ce monde.
Entre l'instant où j'entrevoyais les énergies, et le moment où je tentais vainement avec mes outils de trouver une façon de les apprivoiser, j'interceptais la présence d'une esquisse irréprochable qui se dessinait au fur et à mesure de mes trouvailles.
Le né est initialisé à son insu, vers une configuration qui dépend du versant donné dans les ordonnances.
Le dilemme de l'inclinaison retrace essentiellement les acquisitions que l'enfant aura faites dans le domaine des valeurs nobles.
Chacune d'entre elles, que nous choisirions d’ignorer, de renverser ou de piétiner dans notre évolution, car trop contraignante à développer, ne pourra alors que fermenter et engendrer des déviants.
Ils se transformeront alors en malignités qui auront à attendre le moment proverbial pour se purifier de ce qui les a fermentés dans l'illégitime.
L'énergie constituée par les choix irréfléchis est préjudiciable, elle nous irradie au fur et à mesure vers le bas de l'astral.
Au fil du temps elle engendre une malignité, qui génère à son tour des aphtes qui formeront tout autour de la quintessence comme une toile d'araignée, qui séquestra celui qui l'a créée.
C'est dans l'action de l'Omnipotent que se produit le miracle.
Plus on se fond dans la première règle de droit, plus l'Universel nous inspire.
Il nous procure le moyen d'évoluer en eurythmie avec l'introductive Résolution sans duperie, car Il connaît toutes nos faiblesses.
Plus grande sera notre difformité, discordante face à la mesure originelle, plus forte sera la complexité à y faire face.
L'humanité après tous ces siècles, croit presque tout savoir du monde et de l'univers dans lesquels elle évolue, mais occulte dans sa course effrénée un élément essentiel, celui d’apprendre à se connaître de l'intérieur pour déterminer son destin.
Elle aurait le privilège alors, de voir la Puissance divine en action.
Je décelais la porte de l'aurore, de la prescience. Mon être était en mesure de saisir toutes les merveilles, qui seraient miennes une fois l'édification à l'effigie de Dieu achevée.
L'auguste robustesse réside dans les trois forces énergétiques.
Il m’a fallu persévérer pour évoluer, pour les déceler dans l'environnement, en les distinguant dans toutes choses.
Je constatais qu’elles ont une destinée, pensent, et sont dotées d'une structure agencée, différente et supérieure aux capacités que l'on détient.
Je dirai que notre niveau ne dépasserait pas celui d'un enfant dans sa première année de classe maternelle et encore je suis loin de la vérité.
Les deux énergies que l'on peut percevoir avec la méthodologie bouddhiste représentent notre reflet. Elles sont le condensé de ce que nous avons produit par nos inclinaisons depuis l'aube de l'humanité.
L'une reflète notre exaltation pour notre Concepteur, la seconde notre outrecuidance. Elles se galvanisent et grandissent par rapport à nos inclinaisons.
Chaque intuition fournie par nos choix provoque soit un lâché pour l'inclinaison généreuse, soit un évaporé pour l’inclinaison orgueilleuse.
Elles possèdent les mêmes fonctions, et à chaque action provoquée elles nous réinjectent avec la même ampleur, sans une once en plus ou en moins nos produits.
La troisième se conjugue par le Souffle suprême, elle régule les deux énergies ainsi que celle qui déploie notre respiration.
Elle se trouve éloignée de notre dimension et ne peut être perçue tant que l'homme stagne dans l'éphémère.
Nacre
Dernière édition par Nacre le Sam 5 Déc 2009 - 21:28, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Garde-t-on les valeurs morales apprises ?
3 chapitres
Dieu, qui est Amour, désire l'homme libre de ses choix pour évoluer vers son étoile. Il nous lègue les dons divins et le libre-arbitre.
Ils sont les instruments qui nous permettent de nous édifier au fil de notre existence, selon le subtil et sublime Dessein.
Ils ne se situent pas dans notre intellection, mais dans nos sens. Chaque instable détient la même mesure d'énergie « Souffle de Dieu ».
L'humain doit pour s'édifier en conformité avec la Volonté suprême, réagir fermement, avec rigueur, contre son orgueil.
Réagir contre celui qui est assis à la place de sa conscience et raisonne sans discontinuité, qu'il n'existe pas d'être plus fort et plus beau que lui.
Nous devons acquérir le don de la conscience, qui s'obtient par un travail de rigueur et d'observance de soi.
Ces deux outils maîtrisés nous apporteront dans le temps la réflexion qui valide la compréhension de soi.
Sans conscience, il n'y a pas de réflexion. Sans réflexion, il n'y a pas de compréhension de soi. Sans compréhension de soi, il n'y a pas d'être. Sans être, il n'y a pas d'esprit. Sans esprit, il n'y a pas d'âme. Sans âme, il n'y a pas d'effigie à l'image de Dieu.
Nacre
Dieu, qui est Amour, désire l'homme libre de ses choix pour évoluer vers son étoile. Il nous lègue les dons divins et le libre-arbitre.
Ils sont les instruments qui nous permettent de nous édifier au fil de notre existence, selon le subtil et sublime Dessein.
Ils ne se situent pas dans notre intellection, mais dans nos sens. Chaque instable détient la même mesure d'énergie « Souffle de Dieu ».
L'humain doit pour s'édifier en conformité avec la Volonté suprême, réagir fermement, avec rigueur, contre son orgueil.
Réagir contre celui qui est assis à la place de sa conscience et raisonne sans discontinuité, qu'il n'existe pas d'être plus fort et plus beau que lui.
Nous devons acquérir le don de la conscience, qui s'obtient par un travail de rigueur et d'observance de soi.
Ces deux outils maîtrisés nous apporteront dans le temps la réflexion qui valide la compréhension de soi.
Sans conscience, il n'y a pas de réflexion. Sans réflexion, il n'y a pas de compréhension de soi. Sans compréhension de soi, il n'y a pas d'être. Sans être, il n'y a pas d'esprit. Sans esprit, il n'y a pas d'âme. Sans âme, il n'y a pas d'effigie à l'image de Dieu.
Nacre
Invité- Invité
Re: Garde-t-on les valeurs morales apprises ?
Bien compris, Nacre, ce que tu admires en Dieu, c'est la toute-puissance, la force et la beauté.
Pour ce qui est de la beauté, ça se comprend, mais toi qui invite à l'observation de soi, sais-tu pourquoi tu admire la puissance ?
Pour ce qui est de la beauté, ça se comprend, mais toi qui invite à l'observation de soi, sais-tu pourquoi tu admire la puissance ?
Geveil- Akafer
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Re: Garde-t-on les valeurs morales apprises ?
4 chapitres
Les obtentions, qui se posent dans celui de la réception sensitive des sens, représentent la notion du concept de la perception du droit, tel qu'il est enchâssé dans la première mesure du Dessein exemplaire inattaquable.
Les résidus vivent et s’exercent dans une intellection, qui dépasse de très loin celle que nous convoitons.
Instinctivement dès l'âge de discernement, l'unité se plie par exigence, à l'une des deux formes d'énergie qu’elle choisit de nourrir.
C'est à ce moment qu'intervient l'enseignement coranique, il permettra à l'enfant de se nourrir exclusivement des préceptes divins qui martèleront patiemment son corps, l'ajustant pour y recevoir le futur être.
La fonction de l'initial est d'escorter l'enfant, exclusivement quand il enserre l'ordonnance achevée, en ne remettant pas en cause l'énergie dérivant de la Source Créatrice.
L’instruction s’enchaîne par l’apprentissage des matériaux seigneurs. Le précepte dure le temps de l'évolution de l'organe établi par le sablier.
La foi est le passe-partout que Dieu nous offre nous laissant ainsi la faculté d'introduire une impulsion, grâce à une motivation soutenue, plus forte que celle que possède notre orgueil.
Elle ne pourra agir pour asseoir notre conscience à la place qui lui revient de droit sans des valeurs nobles. Elles seront établies chez l'enfant, confirmées par l'adolescent, et ciselées par l'adulte.
Les parents ont la charge et le devoir de nourrir leur chérubin, mais également de l'aliter dans l'apport béni. Elles ne sont pas essentielles, mais vitales, pour l'édification du futur être.
Sans elles, l'éloquence ne pourrait vaquer pour le guider vers l'édification future. Elles sont les phares du souffle, pour atteindre le conscient.
La première période de l'enfant, jusqu'à sa septième année, est consacrée à la transmission de la provende sacrée.
La seconde période de sa destinée lui permettra d'apprendre à façonner et forger chaque valeur noble, qu'il aura reçue de ses parents adorés.
L'ouvrage parachevé, l’adolescence s’invite avec insolence dans la demeure sans y être conviée. Elle va jusqu'à l'apparition de l'adulte, contrôler, confirmer selon l'adhérence divine, chaque valeur noble.
Cette étape va les développer, les affiner aux plus hauts niveaux.
Pour d'autres parents qui n'auraient pas effectué la transmission du pain sacré, l’épreuve pourra être dure.
Ils devront affronter le choc frontal avec celui qu'ils ont tendrement choyé, mais qu'ils n'ont pas su élever au rang qu'il lui revient de droit pour lui permettre d’entreprendre le travail de l'édification de son futur être.
L'éphèbe exige de ses géniteurs et de la communauté son dû. De cette dualité, entreprise à contrecœur, sortira le reflet de son éventuel.
L'Immuable Amour nous a conçus pour atteindre dans un enseignement de discipline notre tenant.
Cela peut sembler au premier abord rébarbatif, d'acquérir la rigueur et l'observance dans la recherche de soi, mais une fois que le né les possède, il ne veut plus en être dévêtu.
Tout ce que le descendant vient de traverser avec l'appui de ses procréateurs, lui a permis de faire une première composition énergétique dans la maîtrise des pierres lumineuses.
Les embrasements acquis se reflètent sur le conscient, qui en absorbe les rayons positifs, les réfléchit au scintillement de sa foi qui en reçoit les ondes
Le résultat décèle une origine pure.
Elle permet à l'adolescent, de continuer son développement par l'affirmation des acquis, jusqu'à irisation de l'adulte, qui donnera à son devenir sa forme prochaine, jusqu’aux premières irisations de l’adulte
Le seigneur des lieux prend au passage d'une nuit le reflet du jouvenceau. Il récolte les valeurs nobles constituées par l'enfant, affirmées par celui qui le précède.
Il va à son tour les tendre à leurs degrés maximum, pour léguer une visualisation d'une perception divine, à l'invisible qui s'agite dans ses sens, lequel puisera pendant le sommeil de son hôte, la nourriture adorée, que le débutant, l'éphèbe, et son maître lui ont composée, et testée avec soins.
Il devra à son tour continuer l’œuvre, en les ciselant avec la même rigueur avec l'aide de celui qui le sustente.
L'attendu s'affirme dans l'essor. Il est à l'aube de son commencement. Sans perdre de temps, il continue à travailler la sculpture, exerçant sur son hôte chaque valeur, par les situations infligées par le spontané au service de l'invisible.
Sans pitié pour celui qui l'héberge et le nourrit, il continue de parachever sa mission, de tendre et fixer chaque obtention merveilleuse.
Dans cette pénible épreuve, le Sensible attribue à ceux qui l'implorent, la volonté, la force et le courage nécessaire à l'accomplissement de la création de la moulure de l'invisible.
L'épreuve dure autant que le travail se poursuit. Il se fait dans les calvaires.
La durée de la disposition a permis une transfiguration du mortel, qui se voit modifier par l'acharnement déployé par l'invisible. La clarté de la loyauté s'est rehaussée par les prières matérialisées.
Une fois cette étape exécutée, l'Imperceptible transmet à la flamme de la foi de son hôte, la constitution d'une forme énergique, qui diffère de la première, accrue par la volonté enjolivée de celle octroyée par le Simple.
Elle en absorbe les rayons, les dilue en faisceaux à son conscient qui émousse l'orgueil, assis à l'endroit de sa conscience, et le détrône, pourasseoir à la place qui lui est due, son intuition.
Cet exercice a fait évoluer l'accord organique. Il l'a initié à une visualisation de soi, uniquement par la perception des sens.
C'est dans cette phase que je pris conscience au vu des travaux de Descartes, que l'être vit les prémisses de son évolution.
L'édification est continue, elle se traduit en plusieurs parties distinctes.
La première étape consiste à percevoir et acquérir les outils indispensables, qui se trouvent dans l'éveil de l'enfant.
La seconde, dans l'agencement de l'énergie conformément à la première mesure de la règle de droit. Ils alloueront dans l'étalement du temps jusqu’ à l’éveil de l’adolescence, des pré noblesses, pierres précieuses que ce dernier devra pilonner, et étendre à leurs plus hauts niveaux.
La troisième se clarifie avec l'âge de l'adulte en donnant naissance à une unité squelettique ou bien à une masse difforme hideuse.
Si elle s'incarne par cette dernière, cela signifie que les acquisitions n'ont pu se concrétiser, et beaucoup reste à faire pour réaliser le devenir futur. Si par contre l'essence se révèle enchantée, elle s'identifie à celle d'un être (= un accord éthique.)
(L'apport de la substance concrétisée dans ce parcours, ne dépassera pas la masse osseuse de son maître.)
(Elle accapare d'ailleurs son domicile dans les ossements de celui qui l'héberge).
La quatrième se met en œuvre pour tenter de constituer une énergie, qui diffère de celle qui vient d'être accomplie. Elle dépend des élections et initiatives entreprises tout au long de l'existence qui lui légueront une légalité différente de la première.
Elle élira à son tour domicile en s'incorporant aux organes (excepté celui du cœur). Sans discontinuité, l'unité squelettique continue son processus.
Elle passe à la cinquième dans l'assemblage d'une configuration de substance énergétique, différente des précédentes.
Son apport ne sera pas plus grand que l'organe d'un cœur où elle trouvera refuge. (Mais c'est aussi la plus interminable et la plus saumâtre à composer.)
Le processus continue vers une sixième transfiguration de l'énergie, en allant à la prospection du commencement dans la sphère philosophique et spirituelle.
(L'être que l'on nomme aussi l'âme, n'a pas encore pris possession de son devenir. Il ne se trouve qu'à mi-chemin de son parcours).
Tant que l'unité corporelle vit dans ce monde, cela signifie qu'elle doit encore édifier son essence future.
L'unité squelettique (=être) vit à ce stade une variation en rapport avec les substances matérialisées et le travail réalisé. Elle assiste médusée à la transposition d'une unité spirituelle.
Il faut neuf mois pour la concrétisation d'un bébé et toute une existence pour construire et édifier une unité spirituelle à l'effigie de Dieu.
Si l'unité estime que sa priorité est dans le corporel, et non dans la spiritualité, elle ne pourra s'en prendre qu'à elle-même par la suite, quand l'instance s'achèvera, dans le temps exemplaire de l'Éloquence.
La puissance de son incorruptibilité, transcrite au sein de l'énergie, accomplira son office, en faisant ce qu'elle a faire, et ceci quoi qu'il advienne, sans s'occuper de l'étiquette de celui qu'elle va purifier.
Prince ou valet, chacun recevra la mesure juste de ses choix irréfléchis.
Aucune puissance terrestre n'est en mesure de la distraire de son rôle. Purifier l'énergie profanée, pour la rendre à sa source, la Première Volonté Céleste
Nacre
Les obtentions, qui se posent dans celui de la réception sensitive des sens, représentent la notion du concept de la perception du droit, tel qu'il est enchâssé dans la première mesure du Dessein exemplaire inattaquable.
Les résidus vivent et s’exercent dans une intellection, qui dépasse de très loin celle que nous convoitons.
Instinctivement dès l'âge de discernement, l'unité se plie par exigence, à l'une des deux formes d'énergie qu’elle choisit de nourrir.
C'est à ce moment qu'intervient l'enseignement coranique, il permettra à l'enfant de se nourrir exclusivement des préceptes divins qui martèleront patiemment son corps, l'ajustant pour y recevoir le futur être.
La fonction de l'initial est d'escorter l'enfant, exclusivement quand il enserre l'ordonnance achevée, en ne remettant pas en cause l'énergie dérivant de la Source Créatrice.
L’instruction s’enchaîne par l’apprentissage des matériaux seigneurs. Le précepte dure le temps de l'évolution de l'organe établi par le sablier.
La foi est le passe-partout que Dieu nous offre nous laissant ainsi la faculté d'introduire une impulsion, grâce à une motivation soutenue, plus forte que celle que possède notre orgueil.
Elle ne pourra agir pour asseoir notre conscience à la place qui lui revient de droit sans des valeurs nobles. Elles seront établies chez l'enfant, confirmées par l'adolescent, et ciselées par l'adulte.
Les parents ont la charge et le devoir de nourrir leur chérubin, mais également de l'aliter dans l'apport béni. Elles ne sont pas essentielles, mais vitales, pour l'édification du futur être.
Sans elles, l'éloquence ne pourrait vaquer pour le guider vers l'édification future. Elles sont les phares du souffle, pour atteindre le conscient.
La première période de l'enfant, jusqu'à sa septième année, est consacrée à la transmission de la provende sacrée.
La seconde période de sa destinée lui permettra d'apprendre à façonner et forger chaque valeur noble, qu'il aura reçue de ses parents adorés.
L'ouvrage parachevé, l’adolescence s’invite avec insolence dans la demeure sans y être conviée. Elle va jusqu'à l'apparition de l'adulte, contrôler, confirmer selon l'adhérence divine, chaque valeur noble.
Cette étape va les développer, les affiner aux plus hauts niveaux.
Pour d'autres parents qui n'auraient pas effectué la transmission du pain sacré, l’épreuve pourra être dure.
Ils devront affronter le choc frontal avec celui qu'ils ont tendrement choyé, mais qu'ils n'ont pas su élever au rang qu'il lui revient de droit pour lui permettre d’entreprendre le travail de l'édification de son futur être.
L'éphèbe exige de ses géniteurs et de la communauté son dû. De cette dualité, entreprise à contrecœur, sortira le reflet de son éventuel.
L'Immuable Amour nous a conçus pour atteindre dans un enseignement de discipline notre tenant.
Cela peut sembler au premier abord rébarbatif, d'acquérir la rigueur et l'observance dans la recherche de soi, mais une fois que le né les possède, il ne veut plus en être dévêtu.
Tout ce que le descendant vient de traverser avec l'appui de ses procréateurs, lui a permis de faire une première composition énergétique dans la maîtrise des pierres lumineuses.
Les embrasements acquis se reflètent sur le conscient, qui en absorbe les rayons positifs, les réfléchit au scintillement de sa foi qui en reçoit les ondes
Le résultat décèle une origine pure.
Elle permet à l'adolescent, de continuer son développement par l'affirmation des acquis, jusqu'à irisation de l'adulte, qui donnera à son devenir sa forme prochaine, jusqu’aux premières irisations de l’adulte
Le seigneur des lieux prend au passage d'une nuit le reflet du jouvenceau. Il récolte les valeurs nobles constituées par l'enfant, affirmées par celui qui le précède.
Il va à son tour les tendre à leurs degrés maximum, pour léguer une visualisation d'une perception divine, à l'invisible qui s'agite dans ses sens, lequel puisera pendant le sommeil de son hôte, la nourriture adorée, que le débutant, l'éphèbe, et son maître lui ont composée, et testée avec soins.
Il devra à son tour continuer l’œuvre, en les ciselant avec la même rigueur avec l'aide de celui qui le sustente.
L'attendu s'affirme dans l'essor. Il est à l'aube de son commencement. Sans perdre de temps, il continue à travailler la sculpture, exerçant sur son hôte chaque valeur, par les situations infligées par le spontané au service de l'invisible.
Sans pitié pour celui qui l'héberge et le nourrit, il continue de parachever sa mission, de tendre et fixer chaque obtention merveilleuse.
Dans cette pénible épreuve, le Sensible attribue à ceux qui l'implorent, la volonté, la force et le courage nécessaire à l'accomplissement de la création de la moulure de l'invisible.
L'épreuve dure autant que le travail se poursuit. Il se fait dans les calvaires.
La durée de la disposition a permis une transfiguration du mortel, qui se voit modifier par l'acharnement déployé par l'invisible. La clarté de la loyauté s'est rehaussée par les prières matérialisées.
Une fois cette étape exécutée, l'Imperceptible transmet à la flamme de la foi de son hôte, la constitution d'une forme énergique, qui diffère de la première, accrue par la volonté enjolivée de celle octroyée par le Simple.
Elle en absorbe les rayons, les dilue en faisceaux à son conscient qui émousse l'orgueil, assis à l'endroit de sa conscience, et le détrône, pourasseoir à la place qui lui est due, son intuition.
Cet exercice a fait évoluer l'accord organique. Il l'a initié à une visualisation de soi, uniquement par la perception des sens.
C'est dans cette phase que je pris conscience au vu des travaux de Descartes, que l'être vit les prémisses de son évolution.
L'édification est continue, elle se traduit en plusieurs parties distinctes.
La première étape consiste à percevoir et acquérir les outils indispensables, qui se trouvent dans l'éveil de l'enfant.
La seconde, dans l'agencement de l'énergie conformément à la première mesure de la règle de droit. Ils alloueront dans l'étalement du temps jusqu’ à l’éveil de l’adolescence, des pré noblesses, pierres précieuses que ce dernier devra pilonner, et étendre à leurs plus hauts niveaux.
La troisième se clarifie avec l'âge de l'adulte en donnant naissance à une unité squelettique ou bien à une masse difforme hideuse.
Si elle s'incarne par cette dernière, cela signifie que les acquisitions n'ont pu se concrétiser, et beaucoup reste à faire pour réaliser le devenir futur. Si par contre l'essence se révèle enchantée, elle s'identifie à celle d'un être (= un accord éthique.)
(L'apport de la substance concrétisée dans ce parcours, ne dépassera pas la masse osseuse de son maître.)
(Elle accapare d'ailleurs son domicile dans les ossements de celui qui l'héberge).
La quatrième se met en œuvre pour tenter de constituer une énergie, qui diffère de celle qui vient d'être accomplie. Elle dépend des élections et initiatives entreprises tout au long de l'existence qui lui légueront une légalité différente de la première.
Elle élira à son tour domicile en s'incorporant aux organes (excepté celui du cœur). Sans discontinuité, l'unité squelettique continue son processus.
Elle passe à la cinquième dans l'assemblage d'une configuration de substance énergétique, différente des précédentes.
Son apport ne sera pas plus grand que l'organe d'un cœur où elle trouvera refuge. (Mais c'est aussi la plus interminable et la plus saumâtre à composer.)
Le processus continue vers une sixième transfiguration de l'énergie, en allant à la prospection du commencement dans la sphère philosophique et spirituelle.
(L'être que l'on nomme aussi l'âme, n'a pas encore pris possession de son devenir. Il ne se trouve qu'à mi-chemin de son parcours).
Tant que l'unité corporelle vit dans ce monde, cela signifie qu'elle doit encore édifier son essence future.
L'unité squelettique (=être) vit à ce stade une variation en rapport avec les substances matérialisées et le travail réalisé. Elle assiste médusée à la transposition d'une unité spirituelle.
Il faut neuf mois pour la concrétisation d'un bébé et toute une existence pour construire et édifier une unité spirituelle à l'effigie de Dieu.
Si l'unité estime que sa priorité est dans le corporel, et non dans la spiritualité, elle ne pourra s'en prendre qu'à elle-même par la suite, quand l'instance s'achèvera, dans le temps exemplaire de l'Éloquence.
La puissance de son incorruptibilité, transcrite au sein de l'énergie, accomplira son office, en faisant ce qu'elle a faire, et ceci quoi qu'il advienne, sans s'occuper de l'étiquette de celui qu'elle va purifier.
Prince ou valet, chacun recevra la mesure juste de ses choix irréfléchis.
Aucune puissance terrestre n'est en mesure de la distraire de son rôle. Purifier l'énergie profanée, pour la rendre à sa source, la Première Volonté Céleste
Nacre
Invité- Invité
Re: Garde-t-on les valeurs morales apprises ?
Genevuève:
Non Geneviève tu fais erreur ce n’est pas sa Puissance,beauté, je l’aime comme j’aime mon père.
J’invite le né à l’observation de Soi, car une fois qu’il saura dans le monde de l’Invisible, il ne pourra plus rien faire et il n’aura plus que ses yeux pour pleurer.
Nacre
Bien compris, Nacre, ce que tu admires en Dieu, c'est la toute-puissance, la force et la beauté.
Pour ce qui est de la beauté, ça se comprend, mais toi qui invite à l'observation de soi, sais-tu pourquoi tu admire la puissance ?
Non Geneviève tu fais erreur ce n’est pas sa Puissance,beauté, je l’aime comme j’aime mon père.
J’invite le né à l’observation de Soi, car une fois qu’il saura dans le monde de l’Invisible, il ne pourra plus rien faire et il n’aura plus que ses yeux pour pleurer.
Nacre
Invité- Invité
Re: Garde-t-on les valeurs morales apprises ?
Ah lala, sacrée Geneviève va ! ;-)
ecran a dit :
ecran a dit :
Qu'appelles-tu "le mécanisme du né" ? Tes observations portent sur qui et quoi précisément ?Je te colle le résultat des observations que j’ai réalisée sur le mécanisme du né
_________________
Hello Invité ! Le du 01 décembre 2024 est en ligne et accessible directement en cliquant sur "Meta-Quizz" .
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Re: Garde-t-on les valeurs morales apprises ?
Bulle :
Qui se renferme dans le (JE).
Nacre


Le mécanisme du né c’est-ce qui se traduit à notre insu non perceptible sans un travail du développement de la compréhension de Soi sur l’énergie qui réside en nous.Qu'appelles-tu "le mécanisme du né" ? Tes observations portent sur qui et quoi précisément ?
Qui se renferme dans le (JE).
Nacre


Invité- Invité
Re: Garde-t-on les valeurs morales apprises ?
Certes, certes, ce sont d'ailleurs les bases de la psychanalyse. Mais tes observations portent sur quel panel ?
_________________
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Re: Garde-t-on les valeurs morales apprises ?
Bulle:
Sur la conséquence de nos choix traduit par un l'énergie qui réside dans le né et en second les énergies positives et négatives qui nous nommant le yng et le yang.
Mais ces énergies sont méconnus en réalité elles ont une conception de vie, leurs intelligence dépassent celui de l'humanité dans sa totalité Elles nous connaissent mieux que nous nous connaissant.
Nacre
Certes, certes, ce sont d'ailleurs les bases de la psychanalyse. Mais tes observations portent sur quel panel ?
Sur la conséquence de nos choix traduit par un l'énergie qui réside dans le né et en second les énergies positives et négatives qui nous nommant le yng et le yang.
Mais ces énergies sont méconnus en réalité elles ont une conception de vie, leurs intelligence dépassent celui de l'humanité dans sa totalité Elles nous connaissent mieux que nous nous connaissant.
Nacre
Invité- Invité
Re: Garde-t-on les valeurs morales apprises ?
ouala ouala ; autrement dit l'instinct de vie et l'instinct de mort.Nacre a écrit:Sur la conséquence de nos choix traduit par un l'énergie qui réside dans le né et en second les énergies positives et négatives qui nous nommant le yng et le yang.
Je repose donc ma question : où, quand, comment, sur quel panel as-tu fait des observations (puisque tu le dis et que je le crois volontiers) qui te permettent d'affirmer que les énergies "ont une conception de vie" et "une intelligence dépassant etc etc..."Mais ces énergies sont méconnus en réalité elles ont une conception de vie, leurs intelligence dépassent celui de l'humanité dans sa totalité Elles nous connaissent mieux que nous nous connaissant.
Fais-tu partie des adeptes de la métamatière ?
Re: Garde-t-on les valeurs morales apprises ?
Bulle:
Seigneur ce n’est pas que je refuse de lui donner de la nourriture, mais à chaque fois que je tente de lui donner à manger il veut mordre la main qui le nourris je suis désolée pour lui mais je ne possède pas de cuillère en or.
Alors maintenant je le laisse comme d’autres que j’ai repérée jeûner, et si ils ont faim.
Ils mangeront les orties c'est très bon pour remettre l’esprit à sa place il se dégonfle pour prendre une taille normal.
Nacre
Je repose donc ma question : où, quand, comment, sur quel panel as-tu fait des observations (puisque tu le dis et que je le crois volontiers) qui te permettent d'affirmer que les énergies "ont une conception de vie" et "une intelligence dépassant etc etc..."
Fais-tu partie des adeptes de la métamatière
Seigneur ce n’est pas que je refuse de lui donner de la nourriture, mais à chaque fois que je tente de lui donner à manger il veut mordre la main qui le nourris je suis désolée pour lui mais je ne possède pas de cuillère en or.
Alors maintenant je le laisse comme d’autres que j’ai repérée jeûner, et si ils ont faim.
Ils mangeront les orties c'est très bon pour remettre l’esprit à sa place il se dégonfle pour prendre une taille normal.
Nacre
Invité- Invité
Re: Garde-t-on les valeurs morales apprises ?
euh?
là, je sais il est tard!
Mais je n'ai strictement rien compris
C'est quoi le né?
le vivant? ou l'orifice nasal?
le yin et le yang, c'est vraiment restrictif de n'y voir que des énergies positives et négatives! Là, je m'insurge!
À moins que tu considère le "féminin" comme négatif?
Le côté "lunaire" comme négatif ?
le froid comme négatif ?
etc...
là, je sais il est tard!
Mais je n'ai strictement rien compris
C'est quoi le né?
le vivant? ou l'orifice nasal?
le yin et le yang, c'est vraiment restrictif de n'y voir que des énergies positives et négatives! Là, je m'insurge!
À moins que tu considère le "féminin" comme négatif?
Le côté "lunaire" comme négatif ?
le froid comme négatif ?
etc...
Invité- Invité
Re: Garde-t-on les valeurs morales apprises ?
Ben voyons Nacre c'est si difficile que cela de répondre aux questions claires et nettes ?
Je répète donc :
1)où, quand, comment, sur quel panel as-tu fait des observations (puisque tu le dis et que je le crois volontiers) qui te permettent d'affirmer que les énergies "ont une conception de vie" et "une intelligence dépassant etc etc..." ?
2)Fais-tu partie des adeptes de la métamatière ?
Je vais même en ajouter une troisième, tu vois ça ne sert à rien de chercher la fuite ; il faut assumer un peu...
3) A partir de quels critères mesures-tu le degré d'évolution de quelqu'un ?
Je répète donc :
1)où, quand, comment, sur quel panel as-tu fait des observations (puisque tu le dis et que je le crois volontiers) qui te permettent d'affirmer que les énergies "ont une conception de vie" et "une intelligence dépassant etc etc..." ?
2)Fais-tu partie des adeptes de la métamatière ?
Je vais même en ajouter une troisième, tu vois ça ne sert à rien de chercher la fuite ; il faut assumer un peu...
3) A partir de quels critères mesures-tu le degré d'évolution de quelqu'un ?
Re: Garde-t-on les valeurs morales apprises ?
Cher Bulle légion comme toi ne peuvent ébranler mon envie de transmettre ce que j’ai envie de dire.
cela ne te plaît pas passe ton chemin car pour d’autre ces dires peuvent leur plaire tout comme ils ont plu à d’autres qui m’exprime l’élan qui vient du cœur.
Cela est pour moi amplement suffisant.
« C’est dans l’étincellement de paroles vraies que je découvrais une autre vie possible, cachée dans cette vie même. Cette vision très vite se refermait »
CHRISTIAN BOBIN Prisonnier au berceau
Toujours derrière une porte se trouve un autre monde.
Au printemps dernier, par les imprévisibles détours du Circonstanciel, c’est sur celle Nacre que je tombais.
Accueillante, elle m’invitait à suivre le fil d’encre qui s’étire des lumières de son enfance jusqu’au ciel du présent, me révélant le paysage étincelant qui drapait sa quête et son intériorité. La quintessence de ce rédigé se dévoilait dans les replis de ses phrases stancées et perlait doucement de lignes en lignes, comme une mer généreuse déroule paisiblement son onde pour faire glisser l’esquif vers des horizons inattendus.
Petite fleur des nomades du désert, habillée des repères étoilés qui brillent sous l’oasis féconde de cet héritage spirituel, c’est la petite fille inopinément éblouie par quelques autres miroitements de l’Éternel, de nous si familiers et d’elle totalement étrangers, qui pousse ses pas d’enfant vers sa réflexion adulte pour tresser ces deux univers, et parer sa robe d’existence de ces nouveaux éclats.
A l’image de ces précieux et fidèles Alliés qui viennent l’assister et la réchauffer de leurs toujours brûlants vœux enflammés, elle ouvre une voie simple vers la compréhension de soi, et bien au-delà.
Elle l’exhibe sans artifice à nos yeux, offrande de son amour pour chacun, ajoutant ainsi à nos flammes intérieures, la lumière de sa foi qui réfléchit celle du Vœu Rutilant, tout comme Diogène avait ajouté sa lanterne à celle du soleil pour éclairer la cité athénienne.
Elle en décortique les rouages, l’humble exigence sans ambiguïté, car sans plus d’équipage que la sincérité, « un élan direct et nu vers Dieu est suffisant assez, sans aucune autre cause que Lui-même. », comme l’indiquait au XIVe siècle l’auteur anonyme du « Nuage d’inconnaissance ». Comment dire ce qu’elle clame, que dire de cette trame tissée sur nos destins emboîtés d’Orient et d’Occident ? Plus qu’un enseignement, en deçà et par delà nos cultures, c’est la Vie même qui se révèle Enseignement, nous conduisant à être ou ne pas être suivant notre écoute et notre volonté. Femme sage, et sage-femme aussi car elle révèle une maïeutique, son récit brodé aux feux du Sacré fait éclore que le Ciel peut toucher notre argile ici-bas et tremper l’esprit qui l’anime. Ses mots, si finement ciselés parfois, s’enfilent sobrement non sans saveurs poétiques, ils égrainent un chapelet d’évidences sûres et fertiles, glanées au fil de sa détermination assidue et de ses clairvoyances, qui nous enjoignent implacablement que l’Éternité est à l’issue de nos justes choix et de notre lucidité impeccable, car comme le dit le psaume « l’homme dans sa splendeur, sans conscience, s’égale à la bête qui périt » (XLIX, 20). Plus qu’un rêve ou une espérance confuse, elle témoigne avec prodigalité d’une réalité qu’elle nous invite à expérimenter, celle de parachever notre propre Nature.
Il a pris le temps de me lire et par moment celà a "té un peu tendu pour terminer aux fils de nos écrit à perçevoir l'imensité Infini qui s'offre à lui.
Nacre
Nacre
cela ne te plaît pas passe ton chemin car pour d’autre ces dires peuvent leur plaire tout comme ils ont plu à d’autres qui m’exprime l’élan qui vient du cœur.
Cela est pour moi amplement suffisant.
« C’est dans l’étincellement de paroles vraies que je découvrais une autre vie possible, cachée dans cette vie même. Cette vision très vite se refermait »
CHRISTIAN BOBIN Prisonnier au berceau
Toujours derrière une porte se trouve un autre monde.
Au printemps dernier, par les imprévisibles détours du Circonstanciel, c’est sur celle Nacre que je tombais.
Accueillante, elle m’invitait à suivre le fil d’encre qui s’étire des lumières de son enfance jusqu’au ciel du présent, me révélant le paysage étincelant qui drapait sa quête et son intériorité. La quintessence de ce rédigé se dévoilait dans les replis de ses phrases stancées et perlait doucement de lignes en lignes, comme une mer généreuse déroule paisiblement son onde pour faire glisser l’esquif vers des horizons inattendus.
Petite fleur des nomades du désert, habillée des repères étoilés qui brillent sous l’oasis féconde de cet héritage spirituel, c’est la petite fille inopinément éblouie par quelques autres miroitements de l’Éternel, de nous si familiers et d’elle totalement étrangers, qui pousse ses pas d’enfant vers sa réflexion adulte pour tresser ces deux univers, et parer sa robe d’existence de ces nouveaux éclats.
A l’image de ces précieux et fidèles Alliés qui viennent l’assister et la réchauffer de leurs toujours brûlants vœux enflammés, elle ouvre une voie simple vers la compréhension de soi, et bien au-delà.
Elle l’exhibe sans artifice à nos yeux, offrande de son amour pour chacun, ajoutant ainsi à nos flammes intérieures, la lumière de sa foi qui réfléchit celle du Vœu Rutilant, tout comme Diogène avait ajouté sa lanterne à celle du soleil pour éclairer la cité athénienne.
Elle en décortique les rouages, l’humble exigence sans ambiguïté, car sans plus d’équipage que la sincérité, « un élan direct et nu vers Dieu est suffisant assez, sans aucune autre cause que Lui-même. », comme l’indiquait au XIVe siècle l’auteur anonyme du « Nuage d’inconnaissance ». Comment dire ce qu’elle clame, que dire de cette trame tissée sur nos destins emboîtés d’Orient et d’Occident ? Plus qu’un enseignement, en deçà et par delà nos cultures, c’est la Vie même qui se révèle Enseignement, nous conduisant à être ou ne pas être suivant notre écoute et notre volonté. Femme sage, et sage-femme aussi car elle révèle une maïeutique, son récit brodé aux feux du Sacré fait éclore que le Ciel peut toucher notre argile ici-bas et tremper l’esprit qui l’anime. Ses mots, si finement ciselés parfois, s’enfilent sobrement non sans saveurs poétiques, ils égrainent un chapelet d’évidences sûres et fertiles, glanées au fil de sa détermination assidue et de ses clairvoyances, qui nous enjoignent implacablement que l’Éternité est à l’issue de nos justes choix et de notre lucidité impeccable, car comme le dit le psaume « l’homme dans sa splendeur, sans conscience, s’égale à la bête qui périt » (XLIX, 20). Plus qu’un rêve ou une espérance confuse, elle témoigne avec prodigalité d’une réalité qu’elle nous invite à expérimenter, celle de parachever notre propre Nature.
Il a pris le temps de me lire et par moment celà a "té un peu tendu pour terminer aux fils de nos écrit à perçevoir l'imensité Infini qui s'offre à lui.
Nacre
Nacre
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