"Oyé ! Oyé ! Gente Dame et Messire - Concours de Poème
5 participants
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Re: "Oyé ! Oyé ! Gente Dame et Messire - Concours de Poème
Non mon esprit est rempli d'1 autre ..
Bonne nuit -
Bonne nuit -
Invité- Invité
Re: "Oyé ! Oyé ! Gente Dame et Messire - Concours de Poème
Nombreux sont les poèmes silencieux. Pas forcément parmi ceux que l'on lit, mais vraisemblablement lorsqu'on les écrit. Aux rendez-vous des amoureux, ils n'y sont pas, eux.
Quand tout se passe bien, on n'écrit point... on vit les choses pleinement, tout simplement.
"O femme que j'ai vue passer"
"O femme qui s'en est allée"
"O femme que je voudrais désirer"
"O ciel dans lequel je ne puis pas voler"
...
Les tourments à milles yeux exposés n'ont pas fini d'être des propos de frustrés. En y pensant, on peut même les trouver dégoûtants. L'un s'épanche laborieusement, sur la feuille, l'autre s'en sert et gagne sans effort. Quel écueil!
Les vers tuent la pomme, surtout celle d'Adam, ce simple homme, tout juteux qu'ils soient pourtant. Ainsi les miens, rampant, improvisés et affluents, vous souhaitent une douce nuit au pays sans ennui.
Quand tout se passe bien, on n'écrit point... on vit les choses pleinement, tout simplement.
"O femme que j'ai vue passer"
"O femme qui s'en est allée"
"O femme que je voudrais désirer"
"O ciel dans lequel je ne puis pas voler"
...
Les tourments à milles yeux exposés n'ont pas fini d'être des propos de frustrés. En y pensant, on peut même les trouver dégoûtants. L'un s'épanche laborieusement, sur la feuille, l'autre s'en sert et gagne sans effort. Quel écueil!
Les vers tuent la pomme, surtout celle d'Adam, ce simple homme, tout juteux qu'ils soient pourtant. Ainsi les miens, rampant, improvisés et affluents, vous souhaitent une douce nuit au pays sans ennui.
Sebi- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Identité métaphysique : Empereur
Humeur : Printanière
Date d'inscription : 26/04/2009
Re: "Oyé ! Oyé ! Gente Dame et Messire - Concours de Poème
Je vois que la soirée a été longue et peut-être un peu pénible pour certains... Un petit Thiefaine avec le café ?
Re: "Oyé ! Oyé ! Gente Dame et Messire - Concours de Poème
Ce fil m'est un peu dédié ? Vraiment ? Alors j'y vais :
Certains voudraient être sages
Et pourtant ne le sont point
Ils vous envoient des messages
Poétiques, avec grand soin.
Ils jouent avec les muses
En les regardant de loin
Il ne faut pas quelles refusent
D'être un mirage lointain.
Voyons ! Qu'est-ce qu'une muse
Pour un poète confortable ?
Quelque chose qui l'amuse
Le soir quand il passe à table.
Le mâle d'orgueil gonflé
A besoin de sa servante
Il aime aussi triturer
Son coeur, pour mieux se montrer.
Poète, mais dans ses chaussons,
Il ne payera jamais
Les factures, il est trop bon
Et veut un foyer en paix.
Cela l'empêcherait-il
De versifier pour ces dames,
Qui lisent les yeux béats
Ces tourments de pacotille ?
Que non pas ! Il faut subir
Ces vers inspirés d'Amour
Jusqu'à l'envie de vomir
Ces jolis mots pleins d'atours.
Est-ce là la Poésie ?
Si bien tournés soient ces vers,
Roman photo, est-ce la vie
Ou bien juste pour se distraire ?
Amours impossibles, pour mieux
Se complaire, et en fait, se taire
Répétant à qui mieux mieux
Ces complaintes, pauvres affaires
Qui font le lit d'une certaine
Poésie, superficielle
Excuse au mieux, toujours vaine,
Lecture pour demoiselles.
Et pourtant ne le sont point
Ils vous envoient des messages
Poétiques, avec grand soin.
Ils jouent avec les muses
En les regardant de loin
Il ne faut pas quelles refusent
D'être un mirage lointain.
Voyons ! Qu'est-ce qu'une muse
Pour un poète confortable ?
Quelque chose qui l'amuse
Le soir quand il passe à table.
Le mâle d'orgueil gonflé
A besoin de sa servante
Il aime aussi triturer
Son coeur, pour mieux se montrer.
Poète, mais dans ses chaussons,
Il ne payera jamais
Les factures, il est trop bon
Et veut un foyer en paix.
Cela l'empêcherait-il
De versifier pour ces dames,
Qui lisent les yeux béats
Ces tourments de pacotille ?
Que non pas ! Il faut subir
Ces vers inspirés d'Amour
Jusqu'à l'envie de vomir
Ces jolis mots pleins d'atours.
Est-ce là la Poésie ?
Si bien tournés soient ces vers,
Roman photo, est-ce la vie
Ou bien juste pour se distraire ?
Amours impossibles, pour mieux
Se complaire, et en fait, se taire
Répétant à qui mieux mieux
Ces complaintes, pauvres affaires
Qui font le lit d'une certaine
Poésie, superficielle
Excuse au mieux, toujours vaine,
Lecture pour demoiselles.
Re: "Oyé ! Oyé ! Gente Dame et Messire - Concours de Poème
"Mais il y a des soirs
by Françoise Hardy
Pourtant, j'aime la vie
Et je crois qu'elle est belle
Je peux aimer la pluie
Autant que le soleil
Le jour comme la nuit
Rêver sous tous les ciels
Mais il y a des soirs
Où ça ne suffit pas
Et ce sont tous les soirs
Où je repense à toi
Pourtant, j'aime vraiment
Tout car tout m'est mystère
La ville et l'air du temps
Le bruit et la lumière
Les arbres, les fleurs, le vent,
L'infini et la mer
Mais il y a des soirs
Où je n'y pense pas
Et ce sont tous les soirs
Où j'ai le mal de toi
Pourtant, j'aime les gens
Autant que le désert
J'aime ce qui est changeant
Comme ce qui est de pierre
J'aime sur le moment
Des regards bleus ou verts
Mais il y a des soirs
Où je déteste tout
Et ce sont tous les soirs
Où je repense à nous
Où je voudrais pouvoir
Donner le monde entier
Pour revivre, un instant
Au moins, notre passé
Et que tu ne sois plus
Mon plus beau souvenir
Mais toujours mon présent
Toujours mon avenir
by Françoise Hardy
Pourtant, j'aime la vie
Et je crois qu'elle est belle
Je peux aimer la pluie
Autant que le soleil
Le jour comme la nuit
Rêver sous tous les ciels
Mais il y a des soirs
Où ça ne suffit pas
Et ce sont tous les soirs
Où je repense à toi
Pourtant, j'aime vraiment
Tout car tout m'est mystère
La ville et l'air du temps
Le bruit et la lumière
Les arbres, les fleurs, le vent,
L'infini et la mer
Mais il y a des soirs
Où je n'y pense pas
Et ce sont tous les soirs
Où j'ai le mal de toi
Pourtant, j'aime les gens
Autant que le désert
J'aime ce qui est changeant
Comme ce qui est de pierre
J'aime sur le moment
Des regards bleus ou verts
Mais il y a des soirs
Où je déteste tout
Et ce sont tous les soirs
Où je repense à nous
Où je voudrais pouvoir
Donner le monde entier
Pour revivre, un instant
Au moins, notre passé
Et que tu ne sois plus
Mon plus beau souvenir
Mais toujours mon présent
Toujours mon avenir
JO- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 22786
Localisation : france du sud
Identité métaphysique : ailleurs
Humeur : paisiblement réactive
Date d'inscription : 23/08/2009
Re: "Oyé ! Oyé ! Gente Dame et Messire - Concours de Poème
Babylon5 a écrit:Ce fil m'est un peu dédié ? Vraiment ? Alors j'y vais :Certains voudraient être sages
Et pourtant ne le sont point
Ils vous envoient des messages
Poétiques, avec grand soin.
Ils jouent avec les muses
En les regardant de loin
Il ne faut pas quelles refusent
D'être un mirage lointain.
Voyons ! Qu'est-ce qu'une muse
Pour un poète confortable ?
Quelque chose qui l'amuse
Le soir quand il passe à table.
Le mâle d'orgueil gonflé
A besoin de sa servante
Il aime aussi triturer
Son coeur, pour mieux se montrer.
Poète, mais dans ses chaussons,
Il ne payera jamais
Les factures, il est trop bon
Et veut un foyer en paix.
Cela l'empêcherait-il
De versifier pour ces dames,
Qui lisent les yeux béats
Ces tourments de pacotille ?
Que non pas ! Il faut subir
Ces vers inspirés d'Amour
Jusqu'à l'envie de vomir
Ces jolis mots pleins d'atours.
Est-ce là la Poésie ?
Si bien tournés soient ces vers,
Roman photo, est-ce la vie
Ou bien juste pour se distraire ?
Amours impossibles, pour mieux
Se complaire, et en fait, se taire
Répétant à qui mieux mieux
Ces complaintes, pauvres affaires
Qui font le lit d'une certaine
Poésie, superficielle
Excuse au mieux, toujours vaine,
Lecture pour demoiselles.
ou comment se déchaîner d' 1 leurre ...sourire -
T'es en forme ma mie ..
Invité- Invité
S'il existe un soleil n'éclairant qu'une fleur.
Flattant ma vanité, un trop brûlant désir
S'est adressé à moi. Amie, je me contente
De jouer avec toi, puisqu'un tel jeu nous tente;
D'aller sur cette voie nous fait tous deux frémir.
http://www.google.com/search?q=%22And+with+you+enter+on+paths+perilous%22
Si sur ta poésie j'ai voulu renchérir,
Ta réponse à ma voix est trois fois plus charmante.
Ce qui était secret devient chose flagrante,
Je ne permettrai pas qu'on vienne l'appauvrir.
Puisque mon sort dépend de ce que je te dois,
Sérieuse est ma prière, et je dis: pense à moi,
Règne sur ton poète, amie de mes pensées.
S'il existe un soleil n'éclairant qu'une fleur,
S'il existe un soleil qui sent battre son coeur,
Fais de moi un soleil allant sur sa lancée.
S'est adressé à moi. Amie, je me contente
De jouer avec toi, puisqu'un tel jeu nous tente;
D'aller sur cette voie nous fait tous deux frémir.
http://www.google.com/search?q=%22And+with+you+enter+on+paths+perilous%22
Si sur ta poésie j'ai voulu renchérir,
Ta réponse à ma voix est trois fois plus charmante.
Ce qui était secret devient chose flagrante,
Je ne permettrai pas qu'on vienne l'appauvrir.
Puisque mon sort dépend de ce que je te dois,
Sérieuse est ma prière, et je dis: pense à moi,
Règne sur ton poète, amie de mes pensées.
S'il existe un soleil n'éclairant qu'une fleur,
S'il existe un soleil qui sent battre son coeur,
Fais de moi un soleil allant sur sa lancée.
Dernière édition par Cochonfucius le Jeu 28 Jan 2010 - 16:12, édité 1 fois
Re: "Oyé ! Oyé ! Gente Dame et Messire - Concours de Poème
Il y a des matins
Où je ne voudrais pas
Me réveiller, au loin
De toi qui ne sais pas
Que j'aurais pu t'aimer
Tu ne me connais pas,
Dans un autre pays
Peut-être, où tu es né.
Où je ne voudrais pas
Me réveiller, au loin
De toi qui ne sais pas
Que j'aurais pu t'aimer
Tu ne me connais pas,
Dans un autre pays
Peut-être, où tu es né.
Re: "Oyé ! Oyé ! Gente Dame et Messire - Concours de Poème
Cochonfucius a écrit:
Ce qui était secret devient chose flagrante,
Je ne permettrai pas qu'on vienne l'appauvrir.
Ce qui de secret devient étalage s'appauvrit de lui-même.
Oh ! Hé ! C'est fini, l'époque de l'Amour Courtois !
Pour tout dire, ça peut ennuyer même.
Ces étalages nauséeux enfreignent la loi
De la pudeur la plus élémentaire
Si une romance vous voulez tisser,
Pendant que le monde autour est entrain de crever
Allez ailleurs, téléphone, Internet, hotel
Sans prendre en otage vos amis fidèles.
Re: "Oyé ! Oyé ! Gente Dame et Messire - Concours de Poème
LiLitH a écrit:Silence is a big reply ..
Some day I'll learn how silence best can speak
Which is a strength to help the desperate weak.
Re: "Oyé ! Oyé ! Gente Dame et Messire - Concours de Poème
Better seems better than best
At least in this context
Desperately might be more appropriate
Apart from that, it's really great.
But true silence is not meant
On a forum to be read... or, is it ?
At least in this context
Desperately might be more appropriate
Apart from that, it's really great.
But true silence is not meant
On a forum to be read... or, is it ?
Re: "Oyé ! Oyé ! Gente Dame et Messire - Concours de Poème
Cochonfucius a écrit:LiLitH a écrit:Silence is a big reply ..
Some day I'll learn how silence best can speak
Which is a strength to help the desperate weak.
Some day may be Pigeonfucius ... éclats de rire - pigfucius ...sorry ..
Invité- Invité
Re: "Oyé ! Oyé ! Gente Dame et Messire - Concours de Poème
I like when you are in this sort of mood.
Have a sweet evening. (Not a sweat evening)
Have a sweet evening. (Not a sweat evening)
Re: "Oyé ! Oyé ! Gente Dame et Messire - Concours de Poème
En fait, c'est un texte par participant et autant que possible pour les participantes?
- "Sweat happening. On y reviendra, c'était smart!
Sans compter qu... Tiens qui voilà? Ca farte?"
- "Farpaitement, si ce n'est qu'il doit être midi douze."
Un étranger minuscule arriva.
- "Auriez-vous vu mon âne?
On le reconnait facilement, il chante le blues
Et toujours il flâne
Avec un pied dans l'au-delà."
- "Désolé, non, à moins que ce soit lui dans les étoiles?"
- "Que nenni, un âne qui vole, c'est qu'on lui a mis des voiles.
Me verriez-vous chevaucher, enfin, aneucher un musicien volant?"
- "Sans doute pas, vous auriez effectivement moins de dents."
La pauvre poésie
naît-elle souvent de l'ennui?
- "Sweat happening. On y reviendra, c'était smart!
Sans compter qu... Tiens qui voilà? Ca farte?"
- "Farpaitement, si ce n'est qu'il doit être midi douze."
Un étranger minuscule arriva.
- "Auriez-vous vu mon âne?
On le reconnait facilement, il chante le blues
Et toujours il flâne
Avec un pied dans l'au-delà."
- "Désolé, non, à moins que ce soit lui dans les étoiles?"
- "Que nenni, un âne qui vole, c'est qu'on lui a mis des voiles.
Me verriez-vous chevaucher, enfin, aneucher un musicien volant?"
- "Sans doute pas, vous auriez effectivement moins de dents."
La pauvre poésie
naît-elle souvent de l'ennui?
Sebi- Maître du Relatif et de l'Absolu
- Nombre de messages : 1106
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Identité métaphysique : Empereur
Humeur : Printanière
Date d'inscription : 26/04/2009
Re: "Oyé ! Oyé ! Gente Dame et Messire - Concours de Poème
Stranger, so what!
says the angel, stomping his feet.
Stranger, good-bye
http://www.limsi.fr/Individu/jbb/stronkey.html
says the donkey
flying away.
says the angel, stomping his feet.
Stranger, good-bye
http://www.limsi.fr/Individu/jbb/stronkey.html
says the donkey
flying away.
Re: "Oyé ! Oyé ! Gente Dame et Messire - Concours de Poème
pourriez pas pouétiser en french, barak Allah oufik ? merci d'avance, tite biloutes
JO- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 22786
Localisation : france du sud
Identité métaphysique : ailleurs
Humeur : paisiblement réactive
Date d'inscription : 23/08/2009
Re: "Oyé ! Oyé ! Gente Dame et Messire - Concours de Poème
JO a écrit:pourriez pas pouétiser en french, barak Allah oufik ? merci d'avance, tite biloutes
OK, donkey.
Re: "Oyé ! Oyé ! Gente Dame et Messire - Concours de Poème
Quit complaining!
Sebi- Maître du Relatif et de l'Absolu
- Nombre de messages : 1106
Localisation : Bruxelles
Identité métaphysique : Empereur
Humeur : Printanière
Date d'inscription : 26/04/2009
David Humphreys (avec ma tentative de traduction)
Ere we can think of time, the moment's past;
And straight another since that thought began:
So swift each instant mingles with the last,
The flying now exists... no more for man.
Le temps d'apprendre à vivre, il est déjà trop tard;
Le temps de penser ça est du temps qui s'esquive:
Si vite va le temps qui ne va nulle part
Que les instants présents sont choses fugitives.
http://www.google.com/search?q=%22And+straight+another+since+that+thought+began%22
With consciousness suspended ev'n by sleep,
To what this phantom, life, then likest seems?
Say thou! whose doubtful being (lost in dreams)
Allows the wilder'd but to wake and weep,
Quand se perd la conscience, au moment de dormir,
Ce fantôme de vie, à quoi ressemble-t-il?
Réponds, toi qui trompé par un rêve subtil
Sortis de ton sommeil pour te mettre à gémir,
So thoughtless hurried to th'eternal deep.
'Tis like a moon-light vision's airy shade,
A bubble driving down the deep beneath
Then, ere the bubble burst, the vision fade,
Toi qui t'en vas, dormant, vers l'ombre de la mort.
C'est comme le reflet d'une clarté lunaire,
Une bulle flottant au fond de l'eau qui dort,
Puis disparaissent bulle et vision éphémère
Dissolv'd in air this evanescent breath.
Let man, not mortal, learn true life begins at death.
Ne laissant dans le vent qu'insignifiante brume.
Homme, plus que mortel, tu n'es que vie posthume.
And straight another since that thought began:
So swift each instant mingles with the last,
The flying now exists... no more for man.
Le temps d'apprendre à vivre, il est déjà trop tard;
Le temps de penser ça est du temps qui s'esquive:
Si vite va le temps qui ne va nulle part
Que les instants présents sont choses fugitives.
http://www.google.com/search?q=%22And+straight+another+since+that+thought+began%22
With consciousness suspended ev'n by sleep,
To what this phantom, life, then likest seems?
Say thou! whose doubtful being (lost in dreams)
Allows the wilder'd but to wake and weep,
Quand se perd la conscience, au moment de dormir,
Ce fantôme de vie, à quoi ressemble-t-il?
Réponds, toi qui trompé par un rêve subtil
Sortis de ton sommeil pour te mettre à gémir,
So thoughtless hurried to th'eternal deep.
'Tis like a moon-light vision's airy shade,
A bubble driving down the deep beneath
Then, ere the bubble burst, the vision fade,
Toi qui t'en vas, dormant, vers l'ombre de la mort.
C'est comme le reflet d'une clarté lunaire,
Une bulle flottant au fond de l'eau qui dort,
Puis disparaissent bulle et vision éphémère
Dissolv'd in air this evanescent breath.
Let man, not mortal, learn true life begins at death.
Ne laissant dans le vent qu'insignifiante brume.
Homme, plus que mortel, tu n'es que vie posthume.
Re: "Oyé ! Oyé ! Gente Dame et Messire - Concours de Poème
J'ai enregistré ce poème, mais je ne sais pas comment le faire passer... Un conseil, une combine ?
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