Le judaïsme comme pratique de vie
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Re: Le judaïsme comme pratique de vie
Mais alors, comment savoir, avant de le faire, si ledit autre a les mêmes aspirations que toi, ou pas ?Selon moi, les deux maximes sont sages, elles sont équivalentes.
MrSonge- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Le judaïsme comme pratique de vie
Le seul moyen, c'est de le rencontrer et de tâcher de s'en rendre compte.
libremax- Aka Taulique
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Re: Le judaïsme comme pratique de vie
Jipé a écrit:Alice:Pourtant les sionistes essayent bien de faire subir par exemple aux Palestiniens, ce qu'ils ont subi avec le nazisme, non ?Ne fais pas à autrui ce que tu ne veux pas qu'on te fasse, là est toute la Torah
Quel est le rapport entre "pratiquer le judaïsme" et "opprimer le peuple palestinien qui pose des bombes dans des bus d'écoliers et dans des pizzerias où s'amassent surtout des touristes" ?
kelevra- Affranchi des Paradoxes
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Re: Le judaïsme comme pratique de vie
La pratique du judaïsme ne me dérange pas, mais les "colons" eux me gênent plus. Lorsqu'on a à faire à un peuple opprimé et envahi, il est normal qu'il y ait des résistants, c'est le prix à payer...
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Re: Le judaïsme comme pratique de vie
Jipé a écrit:La pratique du judaïsme ne me dérange pas, mais les "colons" eux me gênent plus. Lorsqu'on a à faire à un peuple opprimé et envahi, il est normal qu'il y ait des résistants, c'est le prix à payer...
Les colons ? Mais en chacun de nous il y a un colon !
Je n'ai pas vu les Indiens d'Amérique poser des bombes.
Je n'ai pas vu les Noirs d'Afrique poser des bombes.
Et pourtant, l'oppression subie par ces peuples, c'est tout de même autre chose...
Là où je ne te comprends pas, c'est quand tu rapproches judaïsme et sionisme. Ces deux concepts sont antinomiques.
kelevra- Affranchi des Paradoxes
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Re: Le judaïsme comme pratique de vie
kelevra a écrit:Quel est le rapport entre "pratiquer le judaïsme" et "opprimer le peuple palestinien qui pose des bombes dans des bus d'écoliers et dans des pizzerias où s'amassent surtout des touristes" ?
Euh... je peux comprendre que certaines phrases fassent réagir et qu'une réaction vive puisse être moins intelligente qu'une réponse plus posée, mais si TOUS les Palestiniens ("le peuple palestinien") posaient des bombes, le problème du territoire serait fini depuis longtemps... La grande conspiration palestinienne, ça n'existe pas plus que la Sainte Eglise Catholique...
Par ailleurs, le surréalisme à la belge, par exemple, est plus opposé au judaïsme et au sionisme qu'ils ne sont opposés l'un à l'autre.... Soit écrit en passant... Faire l'amalgame entre les deux est certes un raccourci facile et déplacé, mais les dire antinomiques... bof... Ils s'inspirent du même bouquin
Sebi- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: Le judaïsme comme pratique de vie
Bonsoir Gereve,
(rapidement, car le temps me manque... programme familial et professionnel chargé cette fin de semaine)
(rapidement, car le temps me manque... programme familial et professionnel chargé cette fin de semaine)
Heu... qui t'a dit cela ? Si on utilise effectivement deux vaisselles strictement séparées pour cuisiner les aliments des deux catégories (lactés et carnés), pas besoin de deux réfrigérateurs, il faut juste veiller à biens séparer les deux types d'aliments dans des parties différentes du réfrigérateur(afin d'éviter des mélanges par inadvertance... par exemple une brique de lait qui se répand sur de la viande)Mais revenons au sujet: 613 commandements à observer dont 365 interdits, je crois et 248 obligations, plus les déclinaisions qu'en ont fait les rabbins, par exemple, dans la Thora, il est écrit " Tu ne cuiras pas l'agneau dans le lait de sa mère" et les rabbins en ont fait la cacherout, avec obligation de ne pas mettre les produits laitiers et la viande dans le même réfrigérateur.
Pour sûr !
Le judaïsme comme pratique de vie est donc quelque chose de très contraignant.
Alice- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: Le judaïsme comme pratique de vie
Et le simple d'esprit que je suis qui comprenais qu'il ne fallait pas tuer l'agneau ou le veau avant qu'il ne soit sevré. J'ignorais qu'il était possible de faire cuire de la viande dans du lait! Me pardonnerez-vous mon inculture? Maintenant, je sais, d'ailleur, cette fin de semaine, je ferai cuire ma viande dans du lait plutôt que dans de l'eau.
Non mais, fallait le savoir. Ce doit être connût de tous, de la viande, ont fait cuire ça dans du lait, non mais quelle idée de la faire bouillir dans l'eau ou grillé sur le feu?
Non mais, fallait le savoir. Ce doit être connût de tous, de la viande, ont fait cuire ça dans du lait, non mais quelle idée de la faire bouillir dans l'eau ou grillé sur le feu?
JPG- Maître du Temps
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Re: Le judaïsme comme pratique de vie
JPG a écrit:Et le simple d'esprit que je suis qui comprenais qu'il ne fallait pas tuer l'agneau ou le veau avant qu'il ne soit sevré. J'ignorais qu'il était possible de faire cuire de la viande dans du lait! Me pardonnerez-vous mon inculture? Maintenant, je sais, d'ailleur, cette fin de semaine, je ferai cuire ma viande dans du lait plutôt que dans de l'eau.
Non mais, fallait le savoir. Ce doit être connût de tous, de la viande, ont fait cuire ça dans du lait, non mais quelle idée de la faire bouillir dans l'eau ou grillé sur le feu?
Tout à fait, JPG, comment ne pas y avoir pensé plus tôt?
Avec une prétention inouïe, j'avance que les rabbins n'ont rien compris à cette prescription, à mon avis elle signifie " Ne soyez pas cyniques". Qu'en penses-tu et qu'en pense Alice?
Au fait, Alice, ce sont les orthodoxes extrêmes qui ont deux réfrigérateurs. Parce que le lait, s'il se renverse, peut très bien couler sur la viande à travers les grilles des étagères. C'est pourquoi, dans un frigo, il faut mettre le lait en haut et la viande en bas.
Ouiiiii, dirai-je en me tortillant les paillottes, mais si je mets la viande en haut, elle peut très bien suinter et laisser couler du sang sur le lait.
D'où la nécessité d'avoir deux réfrigérateurs.
Tu vois le genre de conneries ( Excuse-moi, j'écris le mot en toutes lettres tellement ça me met en colère ) auxquelles mènent les croyances ? Je crois qu'en se livrant à ce genre de spéculations, on s'éloigne de Dieu, ou si tu préfères, de l'Humain.
Geveil- Akafer
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Re: Le judaïsme comme pratique de vie
Et moi, je m'en prend à ce qui énerve sans doute plus d'un, histoire que le terme "connerie" ne revienne pas une troisième fois... surtout que ce serait bête et méchant.
Et le simple d'esprit que je suis qui comprenait
d'ailleurs
Ce doit être connu (pas de "t"!!! ) de tous que de la viande, on fait cuire ça dans du lait. Non mais, quelle idée de la faire bouillir dans l'eau ou griller sur le feu.
Ca arrive à tout le monde de faire des fautes d'orthograve, mais des fautes de conjugaison pareilles, c'est inquiétant et ça peut être contagieux.
Est-ce là cuire l'agneau dans le lait de sa mère? Après tout, nous têtons tous notre langue maternelle et il arrive que certains nous mettent sur le feu en compagnie de celle-ci...
Ceci est sa chair, livrée pour vous, en rémission des péchés
Boggle dream...
Et le simple d'esprit que je suis qui comprenait
d'ailleurs
Ce doit être connu (pas de "t"!!! ) de tous que de la viande, on fait cuire ça dans du lait. Non mais, quelle idée de la faire bouillir dans l'eau ou griller sur le feu.
Ca arrive à tout le monde de faire des fautes d'orthograve, mais des fautes de conjugaison pareilles, c'est inquiétant et ça peut être contagieux.
Est-ce là cuire l'agneau dans le lait de sa mère? Après tout, nous têtons tous notre langue maternelle et il arrive que certains nous mettent sur le feu en compagnie de celle-ci...
Ceci est sa chair, livrée pour vous, en rémission des péchés
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Sebi- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Date d'inscription : 26/04/2009
Re: Le judaïsme comme pratique de vie
" La religion est l' opium du peuple " disait qui vous savez . Outre la soumission bêlante qu' elle impose, elle en arrive à tuer le simple bon sens...Nous sommes en 2010 , pourtant !
bernard1933- Aka Tpat
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Date d'inscription : 23/03/2008
Re: Le judaïsme comme pratique de vie
Si je comprends bien, il est interdit de cuire l'agneau dans le lait de sa mère. Mais il n'y a pas d'interdit de le cuire dans un autre lait ?
Ilibade- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: Le judaïsme comme pratique de vie
C'est bien observé. Ceci écrit, faire cuire l'agneau dans le lait de sa tante me semblerait carrément pervers...
Puis de toute façon, c'est vraiment une drôle de règle si elle est prise au sens littéral, comme la plupart des règles.
Puis de toute façon, c'est vraiment une drôle de règle si elle est prise au sens littéral, comme la plupart des règles.
Sebi- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Date d'inscription : 26/04/2009
Re: Le judaïsme comme pratique de vie
Quel est son sens figuré ?
libremax- Aka Taulique
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Date d'inscription : 26/03/2008
Re: Le judaïsme comme pratique de vie
Selon moi, les deux maximes sont sages, elles sont équivalentes.
Et je pense que oui, dans la mesure de ce dont je peux me rendre compte, ce que je voudrais qu'on me fasse, je dois tenter de le faire aux autres.
A moins que, pour cet autre, ce soit reçu comme une agression, un mal.
Et comme je ne voudrais pas qu'on me fasse du mal, alors, du coup, je ne ferai rien.
Libremax, vous en parlez, comme si l’autre n’était pas libre, et comme si il n'y avait, au final, pas d'autre choix que l'inaction !
Faire à l’autre ce qu’on voudrait que l’on nous fasse, sans lui laisser l’espace requis pour dire non à ce qu’on veut lui faire, ne serais qu'une projection de nos besoins ou envie sur l'autre, et lui ferait plus de mal peut-être que de bien, on est d'accord. Mais, en fait, il s'agit, tant que faire se peut (!), de faire surtout ce que l’on réclame de nous !
Si j'ai envie de boire un thé, et que je n'ai pas envie de me lever pour me le préparer, je peux penser que mon mari, qui vient de rentrer, fatigué après une journée de travail, aimerait bien un bon thé chaud sans avoir à se le préparer lui-même, néanmoins je ne le lui préparerais qu'après lui en avoir posé la question.
Le seul moyen, c'est de le rencontrer et de tâcher de s'en rendre compte.
Oui. je crois que profondément il s’agit bien de cela : le rencontrer ! Lui.
Rencontrer au plein sens du terme.
Il ne s’agit plus là de faire quelque chose, il ne faut pas tâcher de s’en rendre compte, il faut le voir LUI, l’autre, puis attendre peut-être qu’il formule clairement ce qu’il attend de nous. Être là. Pour lui. Être.
Gereve :Tu vois le genre de conneries ( Excuse-moi, j'écris le mot en toutes lettres tellement ça me met en colère ) auxquelles mènent les croyances ? Je crois qu'en se livrant à ce genre de spéculations, on s'éloigne de Dieu, ou si tu préfères, de l'Humain
J’abonde !
Bernard : La religion est l' opium du peuple " disait qui vous savez . Outre la soumission bêlante qu' elle impose, elle en arrive à tuer le simple bon sens...
Et là aussi !
Libremax :Quel est son sens figuré ?
Si le début du verset 19 parle du meilleur des prémisses du sol à apporter à Dieu, la fin du verset, ne pas cuire un chevreau dans le lait de sa mère peut avoir un sens symbolique concernant ces mêmes prémisses : le meilleur mais pas tout !
Ne rien sevrer (au risque de faire mourir) avant l’heure.
Imala
Imala- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Date d'inscription : 21/05/2008
Re: Le judaïsme comme pratique de vie
Son sens figuré? Il serait difficile de le définir... Il faudrait d'abord savoir ce que représente le lait, l'animal et la cuisson... Les mots n'ont-ils pas la réputation d'avoir perdu leur sens?
Ensuite, il est possible qu'il n'y en ait pas, de sens figuré. Ce n'est pas parce que le début de la Genèse a un sens figuré très cohérent que toute la Bible a été écrite par des génies...
Ensuite, il est possible qu'il n'y en ait pas, de sens figuré. Ce n'est pas parce que le début de la Genèse a un sens figuré très cohérent que toute la Bible a été écrite par des génies...
Sebi- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Date d'inscription : 26/04/2009
Re: Le judaïsme comme pratique de vie
Ces rites absurdes , je les assimile à ceux d' une sorcellerie dépassée .
Les poupées qu' on pique, ça ne vous rappelle rien ? Eh bien, c' est du
pareil au même !
Les poupées qu' on pique, ça ne vous rappelle rien ? Eh bien, c' est du
pareil au même !
bernard1933- Aka Tpat
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Date d'inscription : 23/03/2008
Re: Le judaïsme comme pratique de vie
Imala a écrit:
Libremax, vous en parlez, comme si l’autre n’était pas libre, et comme si il n'y avait, au final, pas d'autre choix que l'inaction !
Faire à l’autre ce qu’on voudrait que l’on nous fasse, sans lui laisser l’espace requis pour dire non à ce qu’on veut lui faire, ne serais qu'une projection de nos besoins ou envie sur l'autre, et lui ferait plus de mal peut-être que de bien, on est d'accord. Mais, en fait, il s'agit, tant que faire se peut (!), de faire surtout ce que l’on réclame de nous !
Ah bon? Qu'ai-je dit qui ne laisse d'autre choix que l'inaction?
Bien au contraire, puisque je pars du principe qu'il s'agit d'abord de tenter de faire à autrui ce que je crois être bon ?
Je ne pense pas qu'il s'agisse de faire "ce qu'on réclame de nous" en revanche. Ce n'est pas aussi simple. Car de la même manière que je peux faire quelque chose de mauvais pour autrui, de même, autrui peut très bien réclamer de moi quelque chose de tout aussi mauvais pour lui.
L'exemple typique, c'est ce que me demanderait mon enfant ; par exemple, trop de bonbons ou trop de sorties, ou bien de ne pas faire ses devoirs.
Une personne en danger, par exemple accro à la drogue, peut fort bien me demander de ne rien y faire alors qu'elle a besoin d'aide.
Une personne renfermée, déprimée, peut très bien avoir besoin de voir du monde et de sortir, tout en réclamant de la laisser tranquille.
Les choses sont parfois complexes.
Il ne s’agit plus là de faire quelque chose, il ne faut pas tâcher de s’en rendre compte, il faut le voir LUI, l’autre, puis attendre peut-être qu’il formule clairement ce qu’il attend de nous. Être là. Pour lui. Être.
Cela peut être insuffisant. Certaines personnes ne formuleront jamais leurs souhaits. Certaines n'en auront pas même conscience.
Libremax :Quel est son sens figuré ?
Si le début du verset 19 parle du meilleur des prémisses du sol à apporter à Dieu, la fin du verset, ne pas cuire un chevreau dans le lait de sa mère peut avoir un sens symbolique concernant ces mêmes prémisses : le meilleur mais pas tout !
Ne rien sevrer (au risque de faire mourir) avant l’heure.
On est alors dans la demi-mesure. Il faut savoir : Dieu réclame-t-il le meilleur de nous, oui ou non? On lui offre le meilleur, mais il faut s'en garder un petit bout? N'est-ce pas flou, voire mesquin?
Si Dieu réclame le meilleur de nous, c'est pour notre bien, là aussi. Nous avons tout à lui donner, sans restriction.
libremax- Aka Taulique
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Date d'inscription : 26/03/2008
Re: Le judaïsme comme pratique de vie
A mon avis, c'est symbolique, et en tant que tel ça se respecte.
Le lait c'est la vie, tandis que manger de la viande, c'est manger de la chair morte, c'est se nourrir de la mort.
L'homme évolué spirituellement ne devrait pas être carnivore, mais comme l'a expliqué Alice, étant donné le niveau spirituel très bas où est tombée l'humanité, Dieu a fait une concession en l'autorisant provisoirement à se nourrir de viande.
Dans cette optique, je comprends parfaitement que le mélange des deux soit symboliquement incompatible quand on adhère à cette croyance.
C'est tout simplement un rituel qui montre que l'on est conscient et respectueux de la vie, malgré le fait que l'on soit amené à tuer un animal.
Le lait c'est la vie, tandis que manger de la viande, c'est manger de la chair morte, c'est se nourrir de la mort.
L'homme évolué spirituellement ne devrait pas être carnivore, mais comme l'a expliqué Alice, étant donné le niveau spirituel très bas où est tombée l'humanité, Dieu a fait une concession en l'autorisant provisoirement à se nourrir de viande.
Dans cette optique, je comprends parfaitement que le mélange des deux soit symboliquement incompatible quand on adhère à cette croyance.
C'est tout simplement un rituel qui montre que l'on est conscient et respectueux de la vie, malgré le fait que l'on soit amené à tuer un animal.
_La plume- Seigneur de la Métaphysique
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Humeur : c'est selon avec qui
Date d'inscription : 17/07/2009
Re: Le judaïsme comme pratique de vie
Ouah !!! Bravo la Plume ! Et mes excuses à Alice dont il faut respecter les croyances.
Il y a quelques humains qui sont respectueux de la vie et n'ont pas besoin de prescriptions pour se comporter avec respect, mais une grande majorité se laisse mener par ses pulsions, d'où la nécessité des lois.
Il y a quelques humains qui sont respectueux de la vie et n'ont pas besoin de prescriptions pour se comporter avec respect, mais une grande majorité se laisse mener par ses pulsions, d'où la nécessité des lois.
Geveil- Akafer
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Date d'inscription : 18/05/2008
Re: Le judaïsme comme pratique de vie
Meuh non, Bernard, tu es trop dans la colère ! Lis le message de la Plume.bernard1933 a écrit:Ces rites absurdes , je les assimile à ceux d' une sorcellerie dépassée .
Les poupées qu' on pique, ça ne vous rappelle rien ? Eh bien, c' est du
pareil au même !
Geveil- Akafer
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Date d'inscription : 18/05/2008
Re: Le judaïsme comme pratique de vie
Libremax : Ah bon? Qu'ai-je dit qui ne laisse d'autre choix que l'inaction?
Heu… ici, non ? pour que l’autre ne reçoive pas peut-être, ce que vous voulez lui donnez, comme une agression, un mal, vous ne ferez rien :…
Selon moi, les deux maximes sont sages, elles sont équivalentes.
Et je pense que oui, dans la mesure de ce dont je peux me rendre compte, ce que je voudrais qu'on me fasse, je dois tenter de le faire aux autres.
A moins que, pour cet autre, ce soit reçu comme une agression, un mal.
Et comme je ne voudrais pas qu'on me fasse du mal, alors, du coup, je ne ferai rien.
Bien au contraire, puisque je pars du principe qu'il s'agit d'abord de tenter de faire à autrui ce que je crois être bon ?
Et c’est là où le bât blesse ! Tenter de faire à autrui ce que vous, vous croyez bon parce que vous, vous le croyez bon ! Sans rien demander.
Je suis dans la rue, je veux traverser, le rouge passe au vert, un aveugle, canne blanche au bout du bras, traverse avec moi, le vert est rapide, l’aveugle plus lent, je veux l’aider mais irrité il refuse ma main qui lui prend le coude : non seulement il ne veut pas être assisté, mais il s’indigne de ce que l’on puisse croire qu’il en a besoin… Lui demander son avis avant de lui prendre le coude voilà ce qu’il conviendrait de faire pour que ce soit un vrai bien pour lui.
Et si les voitures démarrent ?
Heu... elles freineront !
Je ne pense pas qu'il s'agisse de faire "ce qu'on réclame de nous" en revanche. Ce n'est pas aussi simple.
Je n’ai pas prétendu que c’était simple.
Car de la même manière que je peux faire quelque chose de mauvais pour autrui, de même, autrui peut très bien réclamer de moi quelque chose de tout aussi mauvais pour lui.
L'exemple typique, c'est ce que me demanderait mon enfant ; par exemple, trop de bonbons ou trop de sorties, ou bien de ne pas faire ses devoirs.
Une personne en danger, par exemple accro à la drogue, peut fort bien me demander de ne rien y faire alors qu'elle a besoin d'aide.
Une personne renfermée, déprimée, peut très bien avoir besoin de voir du monde et de sortir, tout en réclamant de la laisser tranquille.
Bien entendu. Ce qui vaut pour l’un vaut pour l’autre.
Vous proposez, il peut l’accepter ou non.
Il demande, vous pouvez refuser ou non.
Cela peut être insuffisant. Certaines personnes ne formuleront jamais leurs souhaits.Il ne s’agit plus là de faire quelque chose, il ne faut pas tâcher de s’en rendre compte, il faut le voir LUI, l’autre, puis attendre peut-être qu’il formule clairement ce qu’il attend de nous. Être là. Pour lui. Être.
On peut les y aider, mais au final je crois vraiment que c’est à eux de voir.
Certaines n'en auront pas même conscience.
Aller au-devant des souhaits des autres avant qu’ils n’en aient consciences, est un réel abus psychologique. C’est les empêcher de souhaiter vraiment ce qu’ils souhaitent, même inconsciemment, eux, en première personne. C’est faire un savoir sur eux-mêmes, qui au final, les dépossèdent d’eux-mêmes.
... D'ailleurs, tout ce qui se fait sans vous, (sans que vous n'y soyez vraiment), ne se fait pas.
Si le début du verset 19 parle du meilleur des prémisses du sol à apporter à Dieu, la fin du verset, ne pas cuire un chevreau dans le lait de sa mère peut avoir un sens symbolique concernant ces mêmes prémisses : le meilleur mais pas tout !
Ne rien sevrer (au risque de faire mourir) avant l’heure.
On est alors dans la demi-mesure. Il faut savoir : Dieu réclame-t-il le meilleur de nous, oui ou non?
Vous extrapoler. Pour les gens de l’Exode, il s’agissait de très concrètement montrer leur attachement à Dieu en donnant le meilleur des prémisses du sol, et je persiste à dire que la suite du verset précise de manière très imagée qu’il ne s’agit pas, en voulant montrer son attachement à Dieu, d’être plus royaliste que le roi. Des prémisses, oui, le meilleur des prémisses, oui, mais sans appauvrir le sol sur lequel les prémisses poussent.
On lui offre le meilleur, mais il faut s'en garder un petit bout?
De quoi parlez-vous ?
N'est-ce pas flou, voire mesquin?
Si Dieu réclame le meilleur de nous
Il n’y a pas de meilleur de nous. Il y a nous. Tel qu’on est.
c'est pour notre bien, là aussi.
Le bien de l’homme, ce n’est pas de donner à Dieu le meilleur de lui-même, ni même de se donner lui-même à Dieu, le bien de l’homme c’est Dieu qui se donne à l’homme. Le bien de l’homme, c’est Dieu lui-même, et l'homme répondra présent, ou non. Là encore, c'est à lui de voir.
Il n’y a pas de tout. Il y a nous. Ce que nous pouvons lui donner, c’est nous. Ou alors rien.Nous avons tout à lui donner, sans restriction.
Imala
Imala- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: Le judaïsme comme pratique de vie
Imala a écrit:Libremax : Ah bon? Qu'ai-je dit qui ne laisse d'autre choix que l'inaction?
Heu… ici, non ? pour que l’autre ne reçoive pas peut-être, ce que vous voulez lui donnez, comme une agression, un mal, vous ne ferez rien :…
Ah! Je voulais dire que si ce que je concevais comme bien pour autrui ne lui plaisait pas, à priori, je me retiendrais de le faire. Ce qui ne veut pas dire qu'il n'y a rien à faire pour autrui, bien sûr. Vous avez raison.
Et c’est là où le bât blesse ! Tenter de faire à autrui ce que vous, vous croyez bon parce que vous, vous le croyez bon ! Sans rien demander.Bien au contraire, puisque je pars du principe qu'il s'agit d'abord de tenter de faire à autrui ce que je crois être bon ?
Vous radicalisez ce que j'écris. C'est vrai, je n'en faisais pas mention, mais je ne voulais pas dire qu'il ne faut rien demander. Je disais "A moins que, pour cet autre, ce soit reçu comme une agression, un mal.", ce que vous avez cité, d'ailleurs : C'est en lui demandant que je peux m'en rendre compte.
On peut les y aider, mais au final je crois vraiment que c’est à eux de voir.
Aller au-devant des souhaits des autres avant qu’ils n’en aient consciences, est un réel abus psychologique. C’est les empêcher de souhaiter vraiment ce qu’ils souhaitent, même inconsciemment, eux, en première personne. C’est faire un savoir sur eux-mêmes, qui au final, les dépossèdent d’eux-mêmes.
... D'ailleurs, tout ce qui se fait sans vous, (sans que vous n'y soyez vraiment), ne se fait pas.
Ce que je veux dire, c'est qu'il y a des quantités de mamans, par exemple, qui sont bien contentes que quelqu'un vienne (enfin!) les aider à descendre leur poussette dans les escalier, de personnes au sortir de Leroy-Merlin qui n'arrivent pas à charger leur voiture qui sont bien heureuses de voir quelqu'un se proposer de les aider à aligner ses planches le long des sièges, alors qu'elles n'auraient jamais songé demander à qui que ce soit la moindre aide. Combien de personnes regrettent, sans le dire, ou bien jusqu'à ce que ça arrive enfin, que personne ne leur tende la porte ouverte dans le métro ou au travail?
Ne vous est-il jamais arrivé d'offrir votre sourire, voire de risquer une entame de conversation à un petit nouveau au travail ou ailleurs, visiblement timide, seul et un peu désemparé? Et de voir son visage s'illuminer parce qu'on lui prête enfin un peu de chaleur humaine? Alors bien sûr, on prend le risque de se faire rembarrer par quelqu'un qui préfère se démerder tout seul, mais ces personnes là sont rares, et puis, il faut savoir prendre des risques, et, bien sûr, on n'est pas tenu d'insister.
Ce dont je voulais parler, c'est aussi de ces héros annymes du quotidien qui vont sauver leurs semblables de la noyade, du feu, de l'attaque ou du viol, tout simplement. (ils ne prennent pas trop la peine de demander, ceux-là).Ils font aux autres ce qu'on voudrait qu'on leur fasse, c'est aussi naturel que ça.
Il y a un risque à aller au-devant des souhaits des autres. Mais n'est-ce pas ce qu'on fait quand on fait une surprise à quelqu'un? Ou bien un cadeau? Il y a des personnes totalement inconscientes qui se trompent, et qui se mettent dans des situations objectivement dommageables si on les laisse dans leurs illusions. Ca arrive au travail, ça arrive en amitié, en amour, en affaires.
Vous extrapoler. Pour les gens de l’Exode, il s’agissait de très concrètement montrer leur attachement à Dieu en donnant le meilleur des prémisses du sol, et je persiste à dire que la suite du verset précise de manière très imagée qu’il ne s’agit pas, en voulant montrer son attachement à Dieu, d’être plus royaliste que le roi. Des prémisses, oui, le meilleur des prémisses, oui, mais sans appauvrir le sol sur lequel les prémisses poussent.
Oui, bien sûr. Mais ce n'est pas ce que réclame un commandement qui réclame les prémices. Les prémices ne sont pas "toute la récolte". J'avoue ne pas comprendre la finalité de ce commandement sur le veau et sa mère. Mais une telle interprétation m'apparaissait étrange. Ce serait bien qu'Alice nous en dise un mot.
Alice?
Bon. Si vous voulez. Il y a nos qualités, il y a ce qu'on a fait de bien, nos vertus. C'est ce que j'appelle le "meilleur de nous".Il n’y a pas de meilleur de nous. Il y a nous. Tel qu’on est.
Le bien de l’homme, ce n’est pas de donner à Dieu le meilleur de lui-même, ni même de se donner lui-même à Dieu, le bien de l’homme c’est Dieu qui se donne à l’homme. Le bien de l’homme, c’est Dieu lui-même, et l'homme répondra présent, ou non. Là encore, c'est à lui de voir.
Je ne vous contredis pas. Je pense la même chose que vous mais j'emploie des expressions qui ne vous plaisent pas trop. Pour moi, Lui répondre présent, et Lui donner le meilleur de nous-même, finalement, c'est exactement pareil.
libremax- Aka Taulique
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Humeur : bonne, tiens!
Date d'inscription : 26/03/2008
Re: Le judaïsme comme pratique de vie
Pour aider quelqu'un, il faut être à même de l'aider et aussi que cette personne soit prête à se faire aider, ce qui implique qu'elle ait conscience qu'il y a un mal en elle qui la ronge, qu'elle l'identifie ou pas.
Pour prendre un exemple, mon ex après quelques mois avait rencontré quelqu'un alors qu'elle tenait encore à moi. Deux mois après le début de sa nouvelle relation, elle m'en a parlé et m'a fait savoir qu'il avait insisté, ceci expliquant cela. Deux mois après, elle m'a glissé "nous n'aurions pas dû habiter si vite ensemble"... tandis qu'elle emménageait avec lui (ce que j'appris par après, ayant pris la remarque pour moi). Deux mois après, elle me rappela que je n'étais pas quelqu'un de jaloux (et encore une fois, je ne compris que plus tard qu'elle ne parlait pas de moi). Nous n'avons plus eu de contacts pendant quelques mois, puis elle a contacté mes amis et les a vu sans me le faire savoir, tandis qu'elle m'écrivait : "Je suis très malheureuse, rien ne me motive dans ma vie". Je l'avais envoyée chier au vu de son attitude quelque peu déstabilisante (et car elle m'écrivait ça alors que ça faisait tout juste un an qu'elle était à nouveau casée). Je n'avais jusque-là pas été la bonne personne pour l'aider.
Quelques mois plus tard, la situation a changé et elle se dit heureuse avec lui tandis qu'elle me méprise, mais j'ai vu qu'elle est tombée dans une voie de mensonge, qu'il renforce un gros problème qu'elle a : une tendance au contrôle, vu qu'il est excessivement jaloux... Je lui ai tout dit, la perçant au jour en quelques minutes de discussion en face-à-face, avant même qu'elle "n'avoue" sa situation et reconnaisse ce travers chez lui, et nous nous sommes profondément brouillés... Car c'est à mon sens maintenant elle qui n'est plus à l'écoute, tandis que je suis sorti de ma bulle, ayant fini mon travail d'écriture.
Nous n'avons donc pas été en phase, si bien que nous nous sommes fâchés alors qu'elle ne le souhaitait pas et, que pour ma part, je voulais l'aider. Rien n'est pire que de vouloir aider quelqu'un qui ne le veut pas ou que s'adresser à quelqu'un qui n'est pas disposé à aider.
J'en veux pour preuve que quand nous étions ensemble, jamais, absolument jamais, nous ne nous sommes fâchés, ni disputés, ni même parlé avec agressivité... J'ai compris trop tard ce qu'elle me disait et elle a renoncé trop tôt à discuter pour le laisser prendre la place de dominant dans son esprit que j'occupais si bien que nous n'avons su que nous froisser de plus en plus, malgré nos volontés.
Pour prendre un exemple, mon ex après quelques mois avait rencontré quelqu'un alors qu'elle tenait encore à moi. Deux mois après le début de sa nouvelle relation, elle m'en a parlé et m'a fait savoir qu'il avait insisté, ceci expliquant cela. Deux mois après, elle m'a glissé "nous n'aurions pas dû habiter si vite ensemble"... tandis qu'elle emménageait avec lui (ce que j'appris par après, ayant pris la remarque pour moi). Deux mois après, elle me rappela que je n'étais pas quelqu'un de jaloux (et encore une fois, je ne compris que plus tard qu'elle ne parlait pas de moi). Nous n'avons plus eu de contacts pendant quelques mois, puis elle a contacté mes amis et les a vu sans me le faire savoir, tandis qu'elle m'écrivait : "Je suis très malheureuse, rien ne me motive dans ma vie". Je l'avais envoyée chier au vu de son attitude quelque peu déstabilisante (et car elle m'écrivait ça alors que ça faisait tout juste un an qu'elle était à nouveau casée). Je n'avais jusque-là pas été la bonne personne pour l'aider.
Quelques mois plus tard, la situation a changé et elle se dit heureuse avec lui tandis qu'elle me méprise, mais j'ai vu qu'elle est tombée dans une voie de mensonge, qu'il renforce un gros problème qu'elle a : une tendance au contrôle, vu qu'il est excessivement jaloux... Je lui ai tout dit, la perçant au jour en quelques minutes de discussion en face-à-face, avant même qu'elle "n'avoue" sa situation et reconnaisse ce travers chez lui, et nous nous sommes profondément brouillés... Car c'est à mon sens maintenant elle qui n'est plus à l'écoute, tandis que je suis sorti de ma bulle, ayant fini mon travail d'écriture.
Nous n'avons donc pas été en phase, si bien que nous nous sommes fâchés alors qu'elle ne le souhaitait pas et, que pour ma part, je voulais l'aider. Rien n'est pire que de vouloir aider quelqu'un qui ne le veut pas ou que s'adresser à quelqu'un qui n'est pas disposé à aider.
J'en veux pour preuve que quand nous étions ensemble, jamais, absolument jamais, nous ne nous sommes fâchés, ni disputés, ni même parlé avec agressivité... J'ai compris trop tard ce qu'elle me disait et elle a renoncé trop tôt à discuter pour le laisser prendre la place de dominant dans son esprit que j'occupais si bien que nous n'avons su que nous froisser de plus en plus, malgré nos volontés.
Sebi- Maître du Relatif et de l'Absolu
- Nombre de messages : 1106
Localisation : Bruxelles
Identité métaphysique : Empereur
Humeur : Printanière
Date d'inscription : 26/04/2009
Re: Le judaïsme comme pratique de vie
J'ai bien aimé l'interprétation de La plume:libremax a écrit:
Oui, bien sûr. Mais ce n'est pas ce que réclame un commandement qui réclame les prémices. Les prémices ne sont pas "toute la récolte". J'avoue ne pas comprendre la finalité de ce commandement sur le veau et sa mère.
A mon avis, c'est symbolique, et en tant que tel ça se respecte.
Le lait c'est la vie, tandis que manger de la viande, c'est manger de la chair morte, c'est se nourrir de la mort.
L'homme évolué spirituellement ne devrait pas être carnivore, mais comme l'a expliqué Alice, étant donné le niveau spirituel très bas où est tombée l'humanité, Dieu a fait une concession en l'autorisant provisoirement à se nourrir de viande.
Dans cette optique, je comprends parfaitement que le mélange des deux soit symboliquement incompatible quand on adhère à cette croyance.
C'est tout simplement un rituel qui montre que l'on est conscient et respectueux de la vie, malgré le fait que l'on soit amené à tuer un animal.
Geveil- Akafer
- Nombre de messages : 8776
Localisation : Auvergne
Identité métaphysique : universelle
Humeur : changeante
Date d'inscription : 18/05/2008
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