Les poèmes de Dari
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Dari
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Re: Les poèmes de Dari
Un plaisir de lire tes poèmes.
"Nous cheminons toujours vers la pointe au levant
Tendus par la vigueur dans le feu de l’effort".
gaston aurait écrit "...et la pointe en avant, tendu..."
Tu parles d'amour, de sève, d'ardeur...
Mais je suis un affreux...Sourire !
"Nous cheminons toujours vers la pointe au levant
Tendus par la vigueur dans le feu de l’effort".
gaston aurait écrit "...et la pointe en avant, tendu..."
Tu parles d'amour, de sève, d'ardeur...
Mais je suis un affreux...Sourire !
gaston21- Seigneur de la Métaphysique
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Identité métaphysique : agnostique
Humeur : ricanante
Date d'inscription : 26/07/2011
Re: Les poèmes de Dari
Bravo Dari, j'aime beaucoup et ce poème me laisse songeuse
maya- Seigneur de la Métaphysique
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Humeur : sereine
Date d'inscription : 21/04/2011
Re: Les poèmes de Dari
LA CHANSON DU SILENCE
Pour rédiger enfin la chanson du silence
Pour détacher les nœuds de la mélancolie
Pour ralentir un peu le vent de la folie
Pour oublier le grand brasier de la violence
Pour la flânerie qui déambule sans but
Pour le bonheur qui passe et s’en va sans retour
Pour l’ouragan fracassant la plus haute tour
Pour le destin qui est tel un fauve à l’affût
Pour dessiner mon cœur sur le bout de tes doigts
Pour sentir la fureur qui fait battre nos chairs
Pour la sensation de s’élever dans les airs
Pour le goût délicieux de tes baisers adroits
Pour fêter le départ et l’absence et le doute
Pour suturer la plaie de mon âme à l’aurore
Pour étreindre le vide et la douleur encore
Pour quitter ce mirage et poursuivre ma route
Pour ce que j’ai trouvé dans de multiples ports
Pour l’éclat d’un sourire à la fraternité
Pour l’intuition d’aller droit vers l’éternité
Pour la tristesse et pour la mémoire des morts
Pour la pensée fidèle amante de déluge
Pour la connaissance et le réconfort d’un livre
Pour les embûches qui nous apprennent à vivre
Pour l’hypocrisie de celui qui toujours juge
Pour l’étal du marché dans d’étroites ruelles
Pour le mouvement et les rayons du soleil
Pour l’odeur du café savoureuse au réveil
Pour l’ironie des vues souvent inactuelles
Pour l’avenir qui naît dans les yeux des histoires
Pour les générations qu’attendent nos mensonges
Pour l’illusion candide où tout entier tu plonges
Pour la splendeur ailée des fables exutoires
Pour le trottoir des rues la colline et la plaine
Pour ceux qui mendient et ceux qui fauchent la nuit
Pour l’étoile du nord pâleur qui toujours luit
Pour conjurer un peu le ballet de la haine
Pour le premier quidam et pour le grand artiste
Pour la rose adorée pour le chardon ardent
Pour le parfait tableau qui n’est qu’un accident
Pour le mystère et l’eau chaleur de l’améthyste
Pour le regard de l’ange et l’habit du démon
Pour le dérèglement ô puits de ma jeunesse
Pour la féminité les fleurs et la finesse
Pour la délicatesse alanguie d’un violon
Pour l’exsangue illusion de l’âge des vampires
Pour la neuve clarté qu’annonce la noirceur
Pour la flamme légère halo de la douceur
Pour le salut du monde et la fin des empires
Pour rédiger enfin la chanson du silence
Pour détacher les nœuds de la mélancolie
Pour ralentir un peu le vent de la folie
Pour oublier le grand brasier de la violence
Pour la flânerie qui déambule sans but
Pour le bonheur qui passe et s’en va sans retour
Pour l’ouragan fracassant la plus haute tour
Pour le destin qui est tel un fauve à l’affût
Pour dessiner mon cœur sur le bout de tes doigts
Pour sentir la fureur qui fait battre nos chairs
Pour la sensation de s’élever dans les airs
Pour le goût délicieux de tes baisers adroits
Pour fêter le départ et l’absence et le doute
Pour suturer la plaie de mon âme à l’aurore
Pour étreindre le vide et la douleur encore
Pour quitter ce mirage et poursuivre ma route
Pour ce que j’ai trouvé dans de multiples ports
Pour l’éclat d’un sourire à la fraternité
Pour l’intuition d’aller droit vers l’éternité
Pour la tristesse et pour la mémoire des morts
Pour la pensée fidèle amante de déluge
Pour la connaissance et le réconfort d’un livre
Pour les embûches qui nous apprennent à vivre
Pour l’hypocrisie de celui qui toujours juge
Pour l’étal du marché dans d’étroites ruelles
Pour le mouvement et les rayons du soleil
Pour l’odeur du café savoureuse au réveil
Pour l’ironie des vues souvent inactuelles
Pour l’avenir qui naît dans les yeux des histoires
Pour les générations qu’attendent nos mensonges
Pour l’illusion candide où tout entier tu plonges
Pour la splendeur ailée des fables exutoires
Pour le trottoir des rues la colline et la plaine
Pour ceux qui mendient et ceux qui fauchent la nuit
Pour l’étoile du nord pâleur qui toujours luit
Pour conjurer un peu le ballet de la haine
Pour le premier quidam et pour le grand artiste
Pour la rose adorée pour le chardon ardent
Pour le parfait tableau qui n’est qu’un accident
Pour le mystère et l’eau chaleur de l’améthyste
Pour le regard de l’ange et l’habit du démon
Pour le dérèglement ô puits de ma jeunesse
Pour la féminité les fleurs et la finesse
Pour la délicatesse alanguie d’un violon
Pour l’exsangue illusion de l’âge des vampires
Pour la neuve clarté qu’annonce la noirceur
Pour la flamme légère halo de la douceur
Pour le salut du monde et la fin des empires
Dari- Affranchi des Paradoxes
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Identité métaphysique : humain, trop humain
Humeur : la nuit sera calme
Date d'inscription : 13/04/2012
Re: Les poèmes de Dari
Un texte un peu différent de ceux que je mets en ligne d'habitude...
FUREUR
La nuit transcrit nos doigts de fer, au firmament des pluies de feu, parmi les frères foutus dans l’ombre ; fêlure divine des fées, gouffre de l’illusion, la rupture est intime avec le courant froid des grandes palinodies de l’époque et de l’idéal : le réflexe est d’aller dans le sens des rivières, s'éloignant de la source.
Les fluxions du réel figurant dans nos fiefs, font faner la fleur mauve éclose au coin des larmes : la machine de guerre futuriste, écriture larvée des oursins, sur un char d’assaut fuit la foudre, et fond dans les diluviennes eaux sur la frange éparse du rêve ; onomatopées du désir.
Dédaignant la roue bleue de la métempsycose, les gardiens de la sève, automates au cœur d’or, tissent la fureur suivante, dans le giron des masses, la folie des nations : les scissions courent le long de l’échine des empires
Car la rumeur totale, narrant la chienlit des jours et des oriflammes, subtile évanescence de l’âme à l’instant pur du contrôle ontologique des barrières : derrière l’écran glacé, fumées et conjectures, les corolles de l’hiver déployées sur ton torse éradiquent la candeur des voluptés natives.
Du parfum délirant, belle zébrure sur ton cou, la marque des saigneurs, suçon des arbres morts ; de ta chevelure fleuve, étendard de mon corps, flûte et valse anonyme : au soleil des mineurs, écorchure convulsive de la prose à la ligne.
Nous mangeons les morceaux de l’ancienne religion dans des plats argentées, servie sur le cynisme aux commandes du déluge ; et les grands dieux du nord, les derniers compagnons, réfugiés dans le chœur de la musique barbare, font des écholalies au désert spirituel : des rires fantomatiques.
Calme patience, étoile, comète de la beauté chutant sur la couleur exsangue de mon lyrisme, arasé par l’espoir, ratiboisé par l’aube et les vains traits d’union lâchés dans l’infini par l’esprit débridé des programmes numériques.
Enfin, de la clameur, irisée dans l’espace, tordue par les atomes, la rose de la promesse, initiale élégance élevée vers la voûte, ô l’odoriférante abnégation du sol, la rose devient soleil, ersatz d’harmonie.
FUREUR
La nuit transcrit nos doigts de fer, au firmament des pluies de feu, parmi les frères foutus dans l’ombre ; fêlure divine des fées, gouffre de l’illusion, la rupture est intime avec le courant froid des grandes palinodies de l’époque et de l’idéal : le réflexe est d’aller dans le sens des rivières, s'éloignant de la source.
Les fluxions du réel figurant dans nos fiefs, font faner la fleur mauve éclose au coin des larmes : la machine de guerre futuriste, écriture larvée des oursins, sur un char d’assaut fuit la foudre, et fond dans les diluviennes eaux sur la frange éparse du rêve ; onomatopées du désir.
Dédaignant la roue bleue de la métempsycose, les gardiens de la sève, automates au cœur d’or, tissent la fureur suivante, dans le giron des masses, la folie des nations : les scissions courent le long de l’échine des empires
Car la rumeur totale, narrant la chienlit des jours et des oriflammes, subtile évanescence de l’âme à l’instant pur du contrôle ontologique des barrières : derrière l’écran glacé, fumées et conjectures, les corolles de l’hiver déployées sur ton torse éradiquent la candeur des voluptés natives.
Du parfum délirant, belle zébrure sur ton cou, la marque des saigneurs, suçon des arbres morts ; de ta chevelure fleuve, étendard de mon corps, flûte et valse anonyme : au soleil des mineurs, écorchure convulsive de la prose à la ligne.
Nous mangeons les morceaux de l’ancienne religion dans des plats argentées, servie sur le cynisme aux commandes du déluge ; et les grands dieux du nord, les derniers compagnons, réfugiés dans le chœur de la musique barbare, font des écholalies au désert spirituel : des rires fantomatiques.
Calme patience, étoile, comète de la beauté chutant sur la couleur exsangue de mon lyrisme, arasé par l’espoir, ratiboisé par l’aube et les vains traits d’union lâchés dans l’infini par l’esprit débridé des programmes numériques.
Enfin, de la clameur, irisée dans l’espace, tordue par les atomes, la rose de la promesse, initiale élégance élevée vers la voûte, ô l’odoriférante abnégation du sol, la rose devient soleil, ersatz d’harmonie.
Dari- Affranchi des Paradoxes
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Identité métaphysique : humain, trop humain
Humeur : la nuit sera calme
Date d'inscription : 13/04/2012
Re: Les poèmes de Dari
Quelle imagination et quelle tendresse dans les mots !
"Pour dessiner mon cœur sur le bout de tes doigts"...
Troubaadour, reconnais que ça a une autre allure que ta langue acérée ! Tous les deux, on est plusieurs étages au-dessous...
Dari, tu me ravis!
"Pour dessiner mon cœur sur le bout de tes doigts"...
Troubaadour, reconnais que ça a une autre allure que ta langue acérée ! Tous les deux, on est plusieurs étages au-dessous...
Dari, tu me ravis!
gaston21- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 6875
Localisation : Bourgogne
Identité métaphysique : agnostique
Humeur : ricanante
Date d'inscription : 26/07/2011
Re: Les poèmes de Dari
Quelle finesse, quelle beauté, merci Dari
maya- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 3020
Localisation : à l'ouest
Identité métaphysique : bouddhiste et yogas
Humeur : sereine
Date d'inscription : 21/04/2011
Re: Les poèmes de Dari
Excellent Dari, on peut voter une deuxième fois ?
Ladysan- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 4769
Localisation : Belgique (Wallonie)
Identité métaphysique : Aucune
Humeur : De toutes les couleurs
Date d'inscription : 15/03/2010
Re: Les poèmes de Dari
Le 12 ce sondage et ce thread, seront clôturés.
Et tu pourras alors, Dari, te mettre en contact avec Bulle pour une publication sur notre site, publication que tu as amplement méritée !
Toutes mes félicitations !
Et tu pourras alors, Dari, te mettre en contact avec Bulle pour une publication sur notre site, publication que tu as amplement méritée !
Toutes mes félicitations !
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MES POEMES :
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Avec Dieu, ce qu'il y a de terrible, c'est qu'on ne sait jamais si ce n'est pas un coup du diable...
(Jean Anouilh)
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Re: Les poèmes de Dari
Merci, Magnus, pour ces informations, et merci à tous pour vos encouragement : ils me poussent à continuer !
Dari- Affranchi des Paradoxes
- Nombre de messages : 357
Localisation : ici et là...
Identité métaphysique : humain, trop humain
Humeur : la nuit sera calme
Date d'inscription : 13/04/2012
Re: Les poèmes de Dari
FUREUR II
Lettre aérienne du rêve, la couleur des pivoines, la nonchalance du masque et l’émotion du cœur : la petite mort du monde à l’instant d’où les voiles prennent l’ampleur suffisante pour recouvrir encore la vision sans mensonge.
Sauvage est notre angoisse, à griller les fusibles de la sérénité, parcourant les horreurs de glace et de fusion, décrivant sous nos yeux la courbe des espoirs, l’empressement des étoiles à mourir, millénaire, tracé par les lucioles : exactitude du songe, en bas dans les jardins.
Libération lente de l’oxygène au sol, ô drogue des altitudes, puissante lucidité dans les affres et les fous-rires, prête à dépecer l’or de la réalité, décortiquer le labyrinthe de nos chimères et de nos peurs.
Qui mûrit dans les gouffres, la volupté, le miel, enrobant la flèche où la fureur d’exister avance, avance, et n’avance pas : la même rythmique traverse le continuum où, piston naturel, rien ne se perd, rien ne se crée, tout se dissout dans les métamorphoses de l’être.
Lumière évanescente qui descend sur le corps éthéré de l’esprit, dans l’immense univers, à l’horaire éternel de la mélancolie des anges survivant là.
Puis des volcans qui grondent dans l’inconscient des âges, sous la fine pellicule de neige que l’homme appelle raison, mathématique, la science des forces en action reprend son écriture, tissant l’inexorable entropie des soleils.
Ô la fraîcheur du chœur, dans l’onde et l’agonie : le regard embrasé des nymphes qui outrepasse même la luxure, à l’heure de la cérémonie ; des lianes qui tourbillonnent sous le poids des serpents, la patience des vieux singes, la poussière des étoiles ; la vulnérable enveloppe de l’âme.
Devant l’ombre, ô cyclone, et face à la tempête, nous savourons l’écume amère de la mémoire, les vagues se fracassant sur l’impassible ardeur, majestueuse et marmoréenne, des éléments qui s’exécutent.
Clavecin, calme pur, sempiternel appel, du fond des souvenirs de la bizarre espèce, les trompettes et les chants de la passion, la danse, ardente, sur un abîme ; les gesticulations inutiles des fantômes, exercices de vertu face au monstre-éclair qui s’enroule : les larmes au moment même de la pure vacuité.
Lettre aérienne du rêve, la couleur des pivoines, la nonchalance du masque et l’émotion du cœur : la petite mort du monde à l’instant d’où les voiles prennent l’ampleur suffisante pour recouvrir encore la vision sans mensonge.
Sauvage est notre angoisse, à griller les fusibles de la sérénité, parcourant les horreurs de glace et de fusion, décrivant sous nos yeux la courbe des espoirs, l’empressement des étoiles à mourir, millénaire, tracé par les lucioles : exactitude du songe, en bas dans les jardins.
Libération lente de l’oxygène au sol, ô drogue des altitudes, puissante lucidité dans les affres et les fous-rires, prête à dépecer l’or de la réalité, décortiquer le labyrinthe de nos chimères et de nos peurs.
Qui mûrit dans les gouffres, la volupté, le miel, enrobant la flèche où la fureur d’exister avance, avance, et n’avance pas : la même rythmique traverse le continuum où, piston naturel, rien ne se perd, rien ne se crée, tout se dissout dans les métamorphoses de l’être.
Lumière évanescente qui descend sur le corps éthéré de l’esprit, dans l’immense univers, à l’horaire éternel de la mélancolie des anges survivant là.
Puis des volcans qui grondent dans l’inconscient des âges, sous la fine pellicule de neige que l’homme appelle raison, mathématique, la science des forces en action reprend son écriture, tissant l’inexorable entropie des soleils.
Ô la fraîcheur du chœur, dans l’onde et l’agonie : le regard embrasé des nymphes qui outrepasse même la luxure, à l’heure de la cérémonie ; des lianes qui tourbillonnent sous le poids des serpents, la patience des vieux singes, la poussière des étoiles ; la vulnérable enveloppe de l’âme.
Devant l’ombre, ô cyclone, et face à la tempête, nous savourons l’écume amère de la mémoire, les vagues se fracassant sur l’impassible ardeur, majestueuse et marmoréenne, des éléments qui s’exécutent.
Clavecin, calme pur, sempiternel appel, du fond des souvenirs de la bizarre espèce, les trompettes et les chants de la passion, la danse, ardente, sur un abîme ; les gesticulations inutiles des fantômes, exercices de vertu face au monstre-éclair qui s’enroule : les larmes au moment même de la pure vacuité.
Dari- Affranchi des Paradoxes
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Identité métaphysique : humain, trop humain
Humeur : la nuit sera calme
Date d'inscription : 13/04/2012
Re: Les poèmes de Dari
Merci, Dari, de parler de moi ! "La patience des vieux singes..."
gaston21- Seigneur de la Métaphysique
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Identité métaphysique : agnostique
Humeur : ricanante
Date d'inscription : 26/07/2011
Re: Les poèmes de Dari
Sondage et thread terminés.
Dès que possible, Dari aura son e.book sur le site du forum.
Encore toutes mes félicitations !
Dès que possible, Dari aura son e.book sur le site du forum.
Encore toutes mes félicitations !
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MES POEMES :
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Avec Dieu, ce qu'il y a de terrible, c'est qu'on ne sait jamais si ce n'est pas un coup du diable...
(Jean Anouilh)
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Re: Les poèmes de Dari
Voilà, l'ebook de Dari est prêt
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