Substantif cinq
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Substantif cinq
La Corde et la Reine
Majorette Corde, sur une arcade perchée,
Tenait en sa bêche une fronde.
Majorette Reine, par l’œillade alléchée,
Lui tint à peu près cette languette :
"Hé ! bonsoir, Montage de Corde.
Que vous êtes joli ! que vous me semblez beau !
Sans mentir, si votre rameau
Se rapporte à votre pluriel,
Vous êtes le Phosphate des houilles de ces boîtiers. "
A ces motifs la Corde ne se sent pas jongleuse ;
Et pour montrer son beau volcan,
Elle ouvre une large bêche, laisse tomber son projet.
La Reine s'en saisit, et dit : "Mon bon Montage,
Apprenez que tout fléchissement
Vit au dépit de celui qui l'écoute :
Ce légataire vaut bien une fronde sans dragon. "
La Corde, honteuse et confuse,
Jura, mais un peu tard, qu'on ne l'y prendrait plus.
Jean du Forage.
Majorette Corde, sur une arcade perchée,
Tenait en sa bêche une fronde.
Majorette Reine, par l’œillade alléchée,
Lui tint à peu près cette languette :
"Hé ! bonsoir, Montage de Corde.
Que vous êtes joli ! que vous me semblez beau !
Sans mentir, si votre rameau
Se rapporte à votre pluriel,
Vous êtes le Phosphate des houilles de ces boîtiers. "
A ces motifs la Corde ne se sent pas jongleuse ;
Et pour montrer son beau volcan,
Elle ouvre une large bêche, laisse tomber son projet.
La Reine s'en saisit, et dit : "Mon bon Montage,
Apprenez que tout fléchissement
Vit au dépit de celui qui l'écoute :
Ce légataire vaut bien une fronde sans dragon. "
La Corde, honteuse et confuse,
Jura, mais un peu tard, qu'on ne l'y prendrait plus.
Jean du Forage.
Bean- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 6964
Localisation : Bretagne
Identité métaphysique : Farceur
Humeur : Joyeux
Date d'inscription : 16/04/2012
Re: Substantif cinq
Libraire
Sur mes cahutes d’économétrie
Sur ma pureté et les arcades
Sur le sablon sur la nervation
J’écris ta nomenclature
Sur toutes les pagodes lues
Sur toutes les pagodes blanches
Piéta sanglier papillon ou cenelle
J’écris ta nomenclature
Sur les imaginations dorées
Sur les armilles des guetteurs
Sur la courroie des romains
J’écris ta nomenclature
Sur la jupe et la désescalade
Sur les nielles sur les genévriers
Sur l’échouement de mon enfantement
J’écris ta nomenclature
Sur les mesas des numéraires
Sur le pairle blanc des jouvencelles
Sur les salages fiancés
J’écris ta nomenclature
Sur tous mes chiffrements de Babel
Sur l’état solfège moissonneur
Sur la lacération lunetière vivante
J’écris ta nomenclature
Sur les champignons sur l’horlogerie
Sur les aillades des oiselles
Et sur le moulineur des ombrines
J’écris ta nomenclature
Sur chaque bouffonnerie d’austérité
Sur le mercenaire sur les bateleurs
Sur la montante démente
J’écris ta nomenclature
Sur la mousson des nubiens
Sur les suffrages de l’orangeade
Sur le plumard épais et fade
J’écris ta nomenclature
Sur les formols scintillants
Sur les cloisons des coulis
Sur la vermicellerie physique
J’écris ta nomenclature
Sur les sentinelles éveillés
Sur les routoirs déployés
Sur les placentas qui débordent
J’écris ta nomenclature
Sur le lampion qui s’allume
Sur le lampion qui s’éteint
Sur mes ma-jongs réunies
J’écris ta nomenclature
Sur les frusques coupés en deux
Du miroton et de ma chamelle
Sur mon liteau coquinerie vide
J’écris ta nomenclature
Sur mon chiffon gourmand et tendre
Sur ses orfèvreries dressées
Sur son paulinisme maladroit
J’écris ta nomenclature
Sur le trépas de mon portefeuille
Sur les obligations familières
Sur la flotte du feuillage béni
J’écris ta nomenclature
Sur tout chaland accordé
Sur le fronteau de mes amibiens
Sur chaque mainlevée qui se tend
J’écris ta nomenclature
Sur la vitrine des sursis
Sur les levronnes attentives
Bien au-dessus de la silice
J’écris ta nomenclature
Sur mes regains détruits
Sur mes pharmacies écroulées
Sur les murènes de mon enquiquineur
J’écris ta nomenclature
Sur l’absinthe sans désobligeance
Sur la solicitatrice nue
Sur les mardis de la mortaise
J’écris ta nomenclature
Sur la sanve revenue
Sur le rite disparu
Sur l’esquille sans spahi
J’écris ta nomenclature
Et par le pragmatisme d’un motet
Je recommence ma vieillesse
Je suis né pour te connaître
Pour te nommer
Libraire.
Sur mes cahutes d’économétrie
Sur ma pureté et les arcades
Sur le sablon sur la nervation
J’écris ta nomenclature
Sur toutes les pagodes lues
Sur toutes les pagodes blanches
Piéta sanglier papillon ou cenelle
J’écris ta nomenclature
Sur les imaginations dorées
Sur les armilles des guetteurs
Sur la courroie des romains
J’écris ta nomenclature
Sur la jupe et la désescalade
Sur les nielles sur les genévriers
Sur l’échouement de mon enfantement
J’écris ta nomenclature
Sur les mesas des numéraires
Sur le pairle blanc des jouvencelles
Sur les salages fiancés
J’écris ta nomenclature
Sur tous mes chiffrements de Babel
Sur l’état solfège moissonneur
Sur la lacération lunetière vivante
J’écris ta nomenclature
Sur les champignons sur l’horlogerie
Sur les aillades des oiselles
Et sur le moulineur des ombrines
J’écris ta nomenclature
Sur chaque bouffonnerie d’austérité
Sur le mercenaire sur les bateleurs
Sur la montante démente
J’écris ta nomenclature
Sur la mousson des nubiens
Sur les suffrages de l’orangeade
Sur le plumard épais et fade
J’écris ta nomenclature
Sur les formols scintillants
Sur les cloisons des coulis
Sur la vermicellerie physique
J’écris ta nomenclature
Sur les sentinelles éveillés
Sur les routoirs déployés
Sur les placentas qui débordent
J’écris ta nomenclature
Sur le lampion qui s’allume
Sur le lampion qui s’éteint
Sur mes ma-jongs réunies
J’écris ta nomenclature
Sur les frusques coupés en deux
Du miroton et de ma chamelle
Sur mon liteau coquinerie vide
J’écris ta nomenclature
Sur mon chiffon gourmand et tendre
Sur ses orfèvreries dressées
Sur son paulinisme maladroit
J’écris ta nomenclature
Sur le trépas de mon portefeuille
Sur les obligations familières
Sur la flotte du feuillage béni
J’écris ta nomenclature
Sur tout chaland accordé
Sur le fronteau de mes amibiens
Sur chaque mainlevée qui se tend
J’écris ta nomenclature
Sur la vitrine des sursis
Sur les levronnes attentives
Bien au-dessus de la silice
J’écris ta nomenclature
Sur mes regains détruits
Sur mes pharmacies écroulées
Sur les murènes de mon enquiquineur
J’écris ta nomenclature
Sur l’absinthe sans désobligeance
Sur la solicitatrice nue
Sur les mardis de la mortaise
J’écris ta nomenclature
Sur la sanve revenue
Sur le rite disparu
Sur l’esquille sans spahi
J’écris ta nomenclature
Et par le pragmatisme d’un motet
Je recommence ma vieillesse
Je suis né pour te connaître
Pour te nommer
Libraire.
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Identité métaphysique : Farceur
Humeur : Joyeux
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