Parodie (sarcastique)
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Parodie (sarcastique)
Parodie
Ma mie, c'est le Printemps : allons sur le gazon
De la courée. Nous cueillerons des pâquerettes,
En nous promenant tout près des murs de béton.
Viens donc t'asseoir sans craindre les petites bêtes.
Les chiens y font leur besoins et quelques voisins
Nous lorgnent bêtement penchés à la fenêtre ;
Peu importe ma mie, si ce sont des malsains :
C'est pur amour qui monte du fond de mon être.
Ma mie, entends-tu ronronner les mobylettes,
Le pigeon roucouler au balcon d'à-côté ?
Tes cheveux sentent la rose et la violette
Sous l'aimable ramure des marronniers.
Mois de Mai - sur les bancs de soleil éclaboussés,
Les dealers du quartier ferment l'oeil d'un air tendre.
L'usine est loin, c'est une belle matinée :
Un temps si parfait que je voudrais me pendre
Ma mie, c'est le Printemps : allons sur le gazon
De la courée. Nous cueillerons des pâquerettes,
En nous promenant tout près des murs de béton.
Viens donc t'asseoir sans craindre les petites bêtes.
Les chiens y font leur besoins et quelques voisins
Nous lorgnent bêtement penchés à la fenêtre ;
Peu importe ma mie, si ce sont des malsains :
C'est pur amour qui monte du fond de mon être.
Ma mie, entends-tu ronronner les mobylettes,
Le pigeon roucouler au balcon d'à-côté ?
Tes cheveux sentent la rose et la violette
Sous l'aimable ramure des marronniers.
Mois de Mai - sur les bancs de soleil éclaboussés,
Les dealers du quartier ferment l'oeil d'un air tendre.
L'usine est loin, c'est une belle matinée :
Un temps si parfait que je voudrais me pendre
Re: Parodie (sarcastique)
Pour qui, veut s'accrocher,
Pourquoi pas un peut décrocher,
Pourquoi pas un peut retraiter,
Pour qui, veut encore, un peut se promener.
Pourquoi pas un peut décrocher,
Pourquoi pas un peut retraiter,
Pour qui, veut encore, un peut se promener.
JPG- Maître du Temps
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Identité métaphysique : Pas de ce monde!
Humeur : La mienne
Date d'inscription : 10/05/2008
Qui va pieds nus n'est pas client du cordonnier
Si l'estomac pouvait se nourrir de gazon,
Nous ferions nos desserts des fines pâquerettes.
Si l'on s'alimentait de miettes de béton,
Nous aurions nos repas gratuits, comme les bêtes.
Sans la langue on pourrait ignorer les voisins,
Sans maisons nul n'irait se mettre à la fenêtre,
Sans morale il n'y aurait jamais rien de malsain,
Sans contrainte on serait toujours conforme à l'Etre.
Sans longs trajets, aucun besoin de mobylette,
Sans travail, tout le temps d'admirer les violettes,
Ou de se prélasser dessous un marronnier.
Ne sachant faire un noeud, on ne peut pas se pendre,
N'ayant aucun malheur, on ne peut qu'être tendre,
Qui va pieds nus n'est pas client du cordonnier.
Nous ferions nos desserts des fines pâquerettes.
Si l'on s'alimentait de miettes de béton,
Nous aurions nos repas gratuits, comme les bêtes.
Sans la langue on pourrait ignorer les voisins,
Sans maisons nul n'irait se mettre à la fenêtre,
Sans morale il n'y aurait jamais rien de malsain,
Sans contrainte on serait toujours conforme à l'Etre.
Sans longs trajets, aucun besoin de mobylette,
Sans travail, tout le temps d'admirer les violettes,
Ou de se prélasser dessous un marronnier.
Ne sachant faire un noeud, on ne peut pas se pendre,
N'ayant aucun malheur, on ne peut qu'être tendre,
Qui va pieds nus n'est pas client du cordonnier.
Re: Parodie (sarcastique)
Les temps sont durs : les chiens pissent sur le gazon
Les gens désœuvrés piétinent les pâquerettes
Les enfants boivent dans les caves de béton,
Dans leurs jeux de mort ils sont pires que des bêtes.
Ils ont par la peur coupé la langue des voisins :
Les pauvres n'osent plus entrouvrir leurs fenêtres.
Il n'y a plus de morale et tout est malsain
Dans ces lieux perdus où l'on n'a pas le droit d'être.
C'est pour les rodéos qu'on a des mobylettes :
Il n'y a pas de travail, et les violettes
Ne valent pas un bon fix sous un marronnier.
On ne sait rien faire mais on sait bien se pendre
On est trop enragé, on ne peut être tendre,
Tennis bon marché ne vont pas au cordonnier.
Les gens désœuvrés piétinent les pâquerettes
Les enfants boivent dans les caves de béton,
Dans leurs jeux de mort ils sont pires que des bêtes.
Ils ont par la peur coupé la langue des voisins :
Les pauvres n'osent plus entrouvrir leurs fenêtres.
Il n'y a plus de morale et tout est malsain
Dans ces lieux perdus où l'on n'a pas le droit d'être.
C'est pour les rodéos qu'on a des mobylettes :
Il n'y a pas de travail, et les violettes
Ne valent pas un bon fix sous un marronnier.
On ne sait rien faire mais on sait bien se pendre
On est trop enragé, on ne peut être tendre,
Tennis bon marché ne vont pas au cordonnier.
Re: Parodie (sarcastique)
JPG a écrit:Pour qui, veut s'accrocher,
Pourquoi pas un peut décrocher,
Pourquoi pas un peut retraiter,
Pour qui, veut encore, un peut se promener.
Tiens, JPG traine ses guêtres au rayon poésie... Es-tu le JPG du forum "Top Chrétien" ? Sinon : j'ai pas trop compris à ton poème par rapport au mien, mais c'est sympa.
Re: Parodie (sarcastique)
Non, pas de "Top Chrétien",
"Top Chrétien" je ne fréquente point,
Néanmoins, inspiré par le tient,
d'un trait, je l'ai écris devant le point.
Les mots clés; pendre, promener, fixe, sortir, environnement. Je trouve curieux cette façon de s'exprimer. Comme j'ai eu une inspiration, je me suis exécuté en ces quatre lignes.
"Top Chrétien" je ne fréquente point,
Néanmoins, inspiré par le tient,
d'un trait, je l'ai écris devant le point.
Les mots clés; pendre, promener, fixe, sortir, environnement. Je trouve curieux cette façon de s'exprimer. Comme j'ai eu une inspiration, je me suis exécuté en ces quatre lignes.
JPG- Maître du Temps
- Nombre de messages : 762
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Identité métaphysique : Pas de ce monde!
Humeur : La mienne
Date d'inscription : 10/05/2008
Re: Parodie (sarcastique)
Euh... cher JPG, aucun des mots que tu cites (à part promener et pendre) ne sont dans le premier texte... Il y a bien le mot "fix" (et non point "fixe", mais dans le deuxième (réponse à Cochonfucius).JPG a écrit:
Les mots clés; pendre, promener, fixe, sortir, environnement. Je trouve curieux cette façon de s'exprimer. Comme j'ai eu une inspiration, je me suis exécuté en ces quatre lignes.
Les seuls éléments vraiment curieux (même pour moi), sont le "décalage" entre un vocabulaire romantique et des éléments prosaïques, voire même sordides : ces éléments sordides amènent le dernier vers avec la chute "je voudrais me pendre". Ben oui, pas de Printemps dans ce quartier de banlieue sordide, pas de nature sinon une nature bétonnée et souillée. Pas d'espoir pour le narrateur.
En tout cas je suis contente que ça t'aie inspiré.
Re: Parodie (sarcastique)
La ramure abîmée d'un vieil arbre étouffé,
La mort, la poisse encor, le béton, la grisaille,
La marche à pas forcé sous l'ombre des murailles,
L'air vicié, l'inconfort, le morne périph' et
La vision sarcastique de ces empaffés
Vivant du ciel de plomb, cette orde valetaille,
Pauvres êtres perdus, bons pour quelque mitraille,
Accros de shit, de planque, en paraître surfaits,
Le milieu bien borné de ces interactions
Qui laissent rarement place à l'innovation,
Si ce n'est dans l'approche entêtée d'un prophète
OEuvrant hors prophéties, la simple ritournelle
D'une cité sordide oh oui, mais de laquelle
Je dis dès aujourd'hui qu'elle vivra la Fête.
La mort, la poisse encor, le béton, la grisaille,
La marche à pas forcé sous l'ombre des murailles,
L'air vicié, l'inconfort, le morne périph' et
La vision sarcastique de ces empaffés
Vivant du ciel de plomb, cette orde valetaille,
Pauvres êtres perdus, bons pour quelque mitraille,
Accros de shit, de planque, en paraître surfaits,
Le milieu bien borné de ces interactions
Qui laissent rarement place à l'innovation,
Si ce n'est dans l'approche entêtée d'un prophète
OEuvrant hors prophéties, la simple ritournelle
D'une cité sordide oh oui, mais de laquelle
Je dis dès aujourd'hui qu'elle vivra la Fête.
Invité- Invité
Re: Parodie (sarcastique)
Escape a écrit:La ramure abîmée d'un vieil arbre étouffé,
La mort, la poisse encor, le béton, la grisaille,
La marche à pas forcé sous l'ombre des murailles,
L'air vicié, l'inconfort, le morne périph' et
La vision sarcastique de ces empaffés
Vivant du ciel de plomb, cette orde valetaille,
Pauvres êtres perdus, bons pour quelque mitraille,
Accros de shit, de planque, en paraître surfaits,
Le milieu bien borné de ces interactions
Qui laissent rarement place à l'innovation,
Si ce n'est dans l'approche entêtée d'un prophète
OEuvrant hors prophéties, la simple ritournelle
D'une cité sordide oh oui, mais de laquelle
Je dis dès aujourd'hui qu'elle vivra la Fête.
J'aime ! Surtout le dernier vers !
Re: Parodie (sarcastique)
à moi aussi ça me parle.
à cette foule stupéfaite
fut annoncée la grande fête
par l'imprécation d'un prophète...
à cette foule stupéfaite
fut annoncée la grande fête
par l'imprécation d'un prophète...
Re: Parodie (sarcastique)
Je voudrais savoir, Escape, qu'entends-tu par "la Fête" ? Quelle genre de Fête ? Pour moi, ça n'évoque peut-être pas la même chose... Pour moi, la Fête, c'est l'idée qu'un jour le peuple (les pauvres gens) se mettraient à foutre un grand bordel monstre. Ce serait un peu comme ce qui c'est passé dans les premiers temps de la Commune de Paris, ou en Mai 68. Les gens descendant dans la rue et se sentant tout à coup libres de ne plus dépendre d'un patron ou des politiciens, libres de prendre la parole, etc...
Re: Parodie (sarcastique)
Le train qui brinqueballe alors que dans ma hâte
J'ai préparé mon dire à l'attention de ceux
Qui viendront décorer le dessous de ces cieux,
Une terre ébaubie de se voir disparate...
Un frisson qui s'empare activement, qui tâte
Nos coeurs endimanchés du sabbat très-chanceux
Humainement vibrant, décoré des aveux
De vivants éclairés et d'amants qui s'ébattent...
Une libération inouïe de talent
Dans l'orbe consentante aux éclats bien terrestres...
Ces élans surhumains qui font de l'orbe agreste
Le champ de tous les possibles, qui, sans relent
De bassesse servile aboliront l'atroce
Fausse bonne conscience, en nous, roulant sa bosse...
J'ai préparé mon dire à l'attention de ceux
Qui viendront décorer le dessous de ces cieux,
Une terre ébaubie de se voir disparate...
Un frisson qui s'empare activement, qui tâte
Nos coeurs endimanchés du sabbat très-chanceux
Humainement vibrant, décoré des aveux
De vivants éclairés et d'amants qui s'ébattent...
Une libération inouïe de talent
Dans l'orbe consentante aux éclats bien terrestres...
Ces élans surhumains qui font de l'orbe agreste
Le champ de tous les possibles, qui, sans relent
De bassesse servile aboliront l'atroce
Fausse bonne conscience, en nous, roulant sa bosse...
Invité- Invité
Père indigne
Le Créateur du monde a montré trop de hâte.
Il est trop bricoleur, il fait partie de ceux
Qui vont improviser le contenu des cieux:
Comètes, galaxies, un foutoir disparate.
Ayant bâclé ce monde, il le sonde, il le tâte,
Il dit "Ça tient debout? Je suis donc bien chanceux.
Je l'aurais jamais cru, je vous en fais l'aveu."
Ensuite il crée des gens qui au jardin s'ébattent.
Il boit un peu de vin pour fêter son talent
Et lance un interdit à ses enfants agrestes
Qui ne l'écoutent pas, pris par des jeux fort lestes.
Il parle d'une voix alourdie des relents
Du godet de pinard. Il inflige une atroce
Punition au délit de conscience précoce.
Il est trop bricoleur, il fait partie de ceux
Qui vont improviser le contenu des cieux:
Comètes, galaxies, un foutoir disparate.
Ayant bâclé ce monde, il le sonde, il le tâte,
Il dit "Ça tient debout? Je suis donc bien chanceux.
Je l'aurais jamais cru, je vous en fais l'aveu."
Ensuite il crée des gens qui au jardin s'ébattent.
Il boit un peu de vin pour fêter son talent
Et lance un interdit à ses enfants agrestes
Qui ne l'écoutent pas, pris par des jeux fort lestes.
Il parle d'une voix alourdie des relents
Du godet de pinard. Il inflige une atroce
Punition au délit de conscience précoce.
Re: Parodie (sarcastique)
La fête
Un rêve (ou un cauchemard ?)
Ce seraient des Bacchanales.
Les pavés y danseraient.
Les bobos à l'air banal
Loin des villes s'enfuiraient
De peur de voir ces voyoux,
Ces basanés bien dressés
Oser s'en prendre à leur sous
En laissant-là leurs mosquées.
Le talent se répandrait
Comme poudre dans les têtes
Et les quidams se mettraient
A parler en vrais prophètes.
Le désordre se dit ordre :
Mes les yeux s'éclaireraient
Alors dans un grand désordre
Les gens se rassembleraient.
Et dans ces bacchanales,
Ce serait pour les esprits
Une ivresse peu banale :
Vin, liqueurs et poésie.
Il y aurait de grands rires,
De la violence aussi
Quand dans les rues en délire
On retrouverait sa vie.
Il y aurait des chansons
Qui jailliraient des poitrines,
Résonnant sur le béton
En éclatant les vitrines.
Et aussi des chant de guerre
Traverseraient les quartiers,
Rebondiraient sur la Terre
Qui serait toute étonnée.
Un rêve (ou un cauchemard ?)
Ce seraient des Bacchanales.
Les pavés y danseraient.
Les bobos à l'air banal
Loin des villes s'enfuiraient
De peur de voir ces voyoux,
Ces basanés bien dressés
Oser s'en prendre à leur sous
En laissant-là leurs mosquées.
Le talent se répandrait
Comme poudre dans les têtes
Et les quidams se mettraient
A parler en vrais prophètes.
Le désordre se dit ordre :
Mes les yeux s'éclaireraient
Alors dans un grand désordre
Les gens se rassembleraient.
Et dans ces bacchanales,
Ce serait pour les esprits
Une ivresse peu banale :
Vin, liqueurs et poésie.
Il y aurait de grands rires,
De la violence aussi
Quand dans les rues en délire
On retrouverait sa vie.
Il y aurait des chansons
Qui jailliraient des poitrines,
Résonnant sur le béton
En éclatant les vitrines.
Et aussi des chant de guerre
Traverseraient les quartiers,
Rebondiraient sur la Terre
Qui serait toute étonnée.
Re: Parodie (sarcastique)
Dans mon esprit ils s'y trouvaient, je voulu simplement vous laissez un peu les chercher. "pusher", fixe; "...allons nous promener...", sortir; description du paysage, environnement. Cela c'est formé comme en un instant en mon esprit, et j'ai écris.Babylon5 a écrit:Euh... cher JPG, aucun des mots que tu cites (à part promener et pendre) ne sont dans le premier texte... Il y a bien le mot "fix" (et non point "fixe", mais dans le deuxième (réponse à Cochonfucius).JPG a écrit:
Les mots clés; pendre, promener, fixe, sortir, environnement. Je trouve curieux cette façon de s'exprimer. Comme j'ai eu une inspiration, je me suis exécuté en ces quatre lignes.
Les seuls éléments vraiment curieux (même pour moi), sont le "décalage" entre un vocabulaire romantique et des éléments prosaïques, voire même sordides : ces éléments sordides amènent le dernier vers avec la chute "je voudrais me pendre". Ben oui, pas de Printemps dans ce quartier de banlieue sordide, pas de nature sinon une nature bétonnée et souillée. Pas d'espoir pour le narrateur.
En tout cas je suis contente que ça t'aie inspiré.
Mais dites-moi, je croyais comprendre, qu'une certaine liberté devait être laissé au lecteur afin que naisse en lui sa propre nature et non que s'imprime en lui la nature de l'auteur? Je ne connais rien à la poésie, c'est pourquoi je vous pose cette question. Je crois, pour ma part, que tout écrit doit être ainsi cueilli, car la part qui vous est utile ne le sera pas nécessairement pour autrui. N'est-il pas? Et si l'auteur détail trop son écrit, il oriente alors le lecteur à voir les choses comme lui-même les regardes, privant le lecteur de la liberté de ces propres découvertes.
C'est un questionnement, Babilone5, vous n'êtes pas forcé d'y répondre si vous y voyez là trop de complication de ma part.
Merci!
JP
JPG- Maître du Temps
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Identité métaphysique : Pas de ce monde!
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Re: Parodie (sarcastique)
Bonjour JP,
Mon non plus je ne connais pas grand-chose à la poésie. J'écris sous cette forme parce qu'en ce moment ça me convient.
Pour ta question, c'est juste une question d'exactitude qui n'a pas vraiment à voir avec la poésie en soit mais avec tout texte écrit. J'ai fais des études littéraires et ensuite de langue (anglais) et je me suis tapée des recherches de "mots clés" à travers divers textes. Les mots clés, ^par définition, sont ceux qui reviennent le plus dans un texte, donc qu'y s'y trouvent écrits, en général il couvrent un ou deux, voire plusieurs champs sémantiques. Ce sont les "mots clés" de l'auteur.
Ensuite, le lecteur peut, par association d'idées, élargir à d'autres mots clés qui sont suscités dans son esprit particulier. Cela relève de l'interprétation personnelle et de la subjectivité, ce n'est donc pas "la manière d'écrire de l'auteur", mais plutôt "la manière de lire du lecteur".
Tu as parlé de ta manière de lire. (Excuse le tutoiement, je trouce ça plus simple). C'est sûr que chaque manière de lire est personnelle et aucun auteur, ce me semble, ne peut priver les lecteurs de cette liberté, donc on est d'accord, n'est-ce pas ?
PS : je suis une femme.
PS2 : c'est moi qui te dis merci !
Mon non plus je ne connais pas grand-chose à la poésie. J'écris sous cette forme parce qu'en ce moment ça me convient.
Pour ta question, c'est juste une question d'exactitude qui n'a pas vraiment à voir avec la poésie en soit mais avec tout texte écrit. J'ai fais des études littéraires et ensuite de langue (anglais) et je me suis tapée des recherches de "mots clés" à travers divers textes. Les mots clés, ^par définition, sont ceux qui reviennent le plus dans un texte, donc qu'y s'y trouvent écrits, en général il couvrent un ou deux, voire plusieurs champs sémantiques. Ce sont les "mots clés" de l'auteur.
Ensuite, le lecteur peut, par association d'idées, élargir à d'autres mots clés qui sont suscités dans son esprit particulier. Cela relève de l'interprétation personnelle et de la subjectivité, ce n'est donc pas "la manière d'écrire de l'auteur", mais plutôt "la manière de lire du lecteur".
Tu as parlé de ta manière de lire. (Excuse le tutoiement, je trouce ça plus simple). C'est sûr que chaque manière de lire est personnelle et aucun auteur, ce me semble, ne peut priver les lecteurs de cette liberté, donc on est d'accord, n'est-ce pas ?
PS : je suis une femme.
PS2 : c'est moi qui te dis merci !
Re: Parodie (sarcastique)
Techniquement, nous avons bien un accord.
Juste pour une confirmation.
Avez-vous (pardonnez le vouvoiement, c'est une question d'absence de proximité sur un forum) compris que ma réponse de mots clés voulais vous orienter vers une piste de liaison entre ma réponse et votre texte; puisque vous exprimiez ne pas trop voir de liens?
Pour le PS1, si vous le dites. J'ai tendance à croire jusqu'à preuve du contraire. Mais j'ai le soupçon facile.
Pour le PS2, pas d'accord! C'est moi qui vous dit
P.S. : Mais ne passons pas trois mois sur ce désaccord, nous entendons-nous pour un remerciement mutuel? Vous êtes satisfaite, vous dites merci; je suis satisfais, je dis merci. D'ac!
Merci.
JP
Juste pour une confirmation.
Avez-vous (pardonnez le vouvoiement, c'est une question d'absence de proximité sur un forum) compris que ma réponse de mots clés voulais vous orienter vers une piste de liaison entre ma réponse et votre texte; puisque vous exprimiez ne pas trop voir de liens?
Pour le PS1, si vous le dites. J'ai tendance à croire jusqu'à preuve du contraire. Mais j'ai le soupçon facile.
Pour le PS2, pas d'accord! C'est moi qui vous dit
P.S. : Mais ne passons pas trois mois sur ce désaccord, nous entendons-nous pour un remerciement mutuel? Vous êtes satisfaite, vous dites merci; je suis satisfais, je dis merci. D'ac!
Merci.
JP
JPG- Maître du Temps
- Nombre de messages : 762
Localisation : QC
Identité métaphysique : Pas de ce monde!
Humeur : La mienne
Date d'inscription : 10/05/2008
Re: Parodie (sarcastique)
Trinquons à l'harmonie retrouvée .
Ce monde, il est comme nous l'avons fait.
Pas de quoi, dès lors , s'en plaindre .
Quand Dieu n'est pas content, il efface tout
et recommence: combien d'extinctions massive , avant d'inventer l'homme ? Et encore, il n'est pas fini, visiblement .
Si on prenait le relais
Au lieu de râler ?
Il se fait vieux
Dieu
Ce monde, il est comme nous l'avons fait.
Pas de quoi, dès lors , s'en plaindre .
Quand Dieu n'est pas content, il efface tout
et recommence: combien d'extinctions massive , avant d'inventer l'homme ? Et encore, il n'est pas fini, visiblement .
Si on prenait le relais
Au lieu de râler ?
Il se fait vieux
Dieu
JO- Seigneur de la Métaphysique
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Identité métaphysique : ailleurs
Humeur : paisiblement réactive
Date d'inscription : 23/08/2009
Re: Parodie (sarcastique)
Oui, je pense y comprendre une inspiration poétique invitation à "décrocher", "se promener", "retraiter"... encore faut-il définir le sens de retraiter.... est-ce que cela veut dire "arrêter d'écrire" ou "se poser quelque part en retrait" ? (Cela me tenterait assez)JPG a écrit:
Juste pour une confirmation.
Avez-vous (pardonnez le vouvoiement, c'est une question d'absence de proximité sur un forum) compris que ma réponse de mots clés voulais vous orienter vers une piste de liaison entre ma réponse et votre texte; puisque vous exprimiez ne pas trop voir de liens?
Je suis bien une femme, qu'est-ce qui vous fait croire le contraire ? Peut-être mon style "asexué" ? Désolée, mais ma poésie ne dégage pas de phéromones.Pour le PS1, si vous le dites. J'ai tendance à croire jusqu'à preuve du contraire. Mais j'ai le soupçon facile.
OK pour la fin de votre post. (Je vous vouvoie puisque vous semblez y tenir)
Re: Parodie (sarcastique)
Babylone5,
Qu'est-ce qui peut bien vous poussez à comprendre que je crois que vous êtes un homme qui se fait passé pour une femme? Ma réaction première à votre PS1, fût, "pourquoi précise-t-elle qu'elle est une femme? Je le sais, son profil l'indique". Sans chercher plus loin. Quand à ma remarque, je ne vois pas ce qui vous fait comprendre une incrédulité au sujet de vos dire.
J'ai révisé mes réponses pour voir où je vous donne l'impression que je crois que vous êtes un homme. J'ai peut être un indice, mais n'en suis pas sure. Voulez-vous me dire?
Je ne tiens aucunement à être vouvoyé, j'ai simplement donnés les raisons pour lesquelles j'utilise le vouvoiement puisque vous aviez pris la peine de préciser votre raison de tutoyer.
JO qui est déjà partie faire la fête à notre commune entente!
Merci!
JP
Qu'est-ce qui peut bien vous poussez à comprendre que je crois que vous êtes un homme qui se fait passé pour une femme? Ma réaction première à votre PS1, fût, "pourquoi précise-t-elle qu'elle est une femme? Je le sais, son profil l'indique". Sans chercher plus loin. Quand à ma remarque, je ne vois pas ce qui vous fait comprendre une incrédulité au sujet de vos dire.
J'ai révisé mes réponses pour voir où je vous donne l'impression que je crois que vous êtes un homme. J'ai peut être un indice, mais n'en suis pas sure. Voulez-vous me dire?
Je ne tiens aucunement à être vouvoyé, j'ai simplement donnés les raisons pour lesquelles j'utilise le vouvoiement puisque vous aviez pris la peine de préciser votre raison de tutoyer.
JO qui est déjà partie faire la fête à notre commune entente!
Merci!
JP
JPG- Maître du Temps
- Nombre de messages : 762
Localisation : QC
Identité métaphysique : Pas de ce monde!
Humeur : La mienne
Date d'inscription : 10/05/2008
Re: Parodie (sarcastique)
Tu es un homme d'après ton profil, mais vous avez des problèmes avec les accords. Il y a un post ou tu a accordé au masculin en parlant de moi, c'est pas plus compliqué que ça. Bon, on va pas en faire tout un fromage?JPG a écrit:
mais n'en suis pas sure.
Sinon, bonne soirée.
JPG- Maître du Temps
- Nombre de messages : 762
Localisation : QC
Identité métaphysique : Pas de ce monde!
Humeur : La mienne
Date d'inscription : 10/05/2008
Re: Parodie (sarcastique)
Pas bien compris, pas grave... juste peut-être que tu t'es emmêlé dans les accords, ce qui m'arrive souvent aussi. "é" / "ée"; des fois nous piègent.
Amitiés
Babylon5
Amitiés
Babylon5
Re: Parodie (sarcastique)
Juste une rime,
Pour la frime!
Vers solitaire...
Pour la frime!
Vers solitaire...
Sebi- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Localisation : Bruxelles
Identité métaphysique : Empereur
Humeur : Printanière
Date d'inscription : 26/04/2009
Re: Parodie (sarcastique)
Mais non Sebi,
Votre train déraille, l'ami,
JO est partie faire la fête pour ce qui nous uni,
Nous avons compris que la désunion causé par mon in-souci,
Évita, par les enquête, un troisième conflit,
L'échange des ressentis,
Refait les amis.
Aussi,
Nous allons vers l'union,
Pas vers lesolitaire,
L'ami.
JP
Votre train déraille, l'ami,
JO est partie faire la fête pour ce qui nous uni,
Nous avons compris que la désunion causé par mon in-souci,
Évita, par les enquête, un troisième conflit,
L'échange des ressentis,
Refait les amis.
Aussi,
Nous allons vers l'union,
Pas vers lesolitaire,
L'ami.
JP
JPG- Maître du Temps
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