Re: La ministre du droit des femmes veut abolir la prostitution

[maya]

Que l'on soit homme ou femme, notre corps nous appartient lorsque nous sommes adultes et à partir du moment où tout acte sexuel est fait entre personnes consentantes je ne vois rien de répréhensible. Qu'une femme ou un homme le fasse conte de l'argent, un bon repas ou un bijou c'est son affaire.

La seule chose que l'on doit faire par tous les moyens, c'est se battre contre les réseaux mafieux qui exploitent de pauvres filles('ou gars) qu'ils forcent par de multiples moyens à se vendre pour alimenter leurs propres porte-feuilles, les tenant par la drogue, les coups ou les menaces contre leurs familles.

Si ma fille se prostituait, je n'en serais pas fière mais chercherais à comprendre et à l'aider à trouver une autre solution pour vivre, car n'oublions pas que l'argent est une raison pour beaucoup d'occasionnelles et pas forcément un choix.

[M'enfin]

car n'oublions pas que l'argent est une raison pour beaucoup d'occasionnelles et pas forcément un choix.

Quand on s'aperçoit qu'un acte nuit à l'ensemble de ceux qui le font, on règlemente pour qu'il nuise à moins de gens, c'est ce qui s'est passé pour la cigarette, et c'est ce qu'on essaie de faire pour la prostitution. À moins d'être sourd aux témoignages d'anciennes prostituées qui s'en sont sorti, je ne vois pas comment on peut penser qu'elles en tirent quelque profit que ce soit. Faire de la prostitution a ruiné leur vie, elles le disent toutes. Les seules qui ne le disent pas sont celles qui commencent ou celles qui, par miracle, ne prennent pas de drogue ou d'alcool pour être capables de supporter la honte et le dégoût qu'elles ressentent.

[gaston21]

M'enfin, enfin, tu racontes ce que tu as lu ou entendu des ligues féministes ou des dames qui arrivent sur le retour! Ce métier, c'est comme les autres métiers, ça use, même si on le fait surtout sur le dos! Tu ne m'écoutes pas! Va au tapin et pas nécessairement sur le matelas! Questionne-les, ces dames, et tu verras ce qu'elles te répondront! Elles ont des dents, une bouche, mais elles ne mordent pas!
Pour le reste, du moment qu'une personne est majeure, ma réponse est celle de maya, la sage.

[M'enfin]

Les statistiques sur l'espérance de vie ne mentent pas gaston, celle de ces femmes se situe bien en bas de la moyenne, autour de 40 ans parait-il en France.

[_dede 95]

Les statistiques sur l'espérance de vie ne mentent pas gaston, celle de ces femmes se situe bien en bas de la moyenne, autour de 40 ans parait-il en France.

Merci de mettre l'origine de tes références, ne cite pas des films s'il te plait!
Les parait-il....on connait!

[Zarzou]

car n'oublions pas que l'argent est une raison pour beaucoup d'occasionnelles et pas forcément un choix.

Quand on s'aperçoit qu'un acte nuit à l'ensemble de ceux qui le font, on règlemente pour qu'il nuise à moins de gens, c'est ce qui s'est passé pour la cigarette, et c'est ce qu'on essaie de faire pour la prostitution. À moins d'être sourd aux témoignages d'anciennes prostituées qui s'en sont sorti, je ne vois pas comment on peut penser qu'elles en tirent quelque profit que ce soit. Faire de la prostitution a ruiné leur vie, elles le disent toutes. Les seules qui ne le disent pas sont celles qui commencent ou celles qui, par miracle, ne prennent pas de drogue ou d'alcool pour être capables de supporter la honte et le dégoût qu'elles ressentent.

A bien y réfléchir, je ne crois pas que ce soit le fait de l'activité qui est pratiqué qui forment la honte et le dégoût mais le regard que porte la société sur cette activité. Il y a eu des époques de l'histoire où cette activité n'était pas mal vu et peut-être même faisait la part belle à une élite. Mais dans nos sociétés marquées au fer rouge par les religions, une prostituée ne se chante pas sur les toits et lorsqu'on lui demande au quotidien quelle activité elle exerce, elle passera son temps à mentir. Je crois que cette situation de devoir se cacher est une bonne raison d'en être malade. Il ne faudrait pas tout mettre  sur le dos de la dégoutante zezette...

[M'enfin]

Si on veut vraiment comprendre les choses, il ne faut pas mettre la religion en cause. La religion a beaucoup supposé, mais elle n'a jamais rien expliqué. Si le sexe est honteux, c'est qu'il y a une vraie raison, mais puisqu'il est honteux, on ne peut pas se poser les vraies questions. Oui, un tabou est un regard qu'une société porte sur un geste, mais un regard conscient que seuls les humains sont capables de porter. Sur quoi porte notre regard honteux au juste si ce n'est pas sur la dégoutante chose?

[_dede 95]

Si le sexe est honteux, c'est qu'il y a une vraie raison, mais puisqu'il est honteux, on ne peut pas se poser les vraies questions. Oui, un tabou est un regard qu'une société porte sur un geste, mais un regard conscient que seuls les humains sont capables de porter. Sur quoi porte notre regard honteux au juste si ce n'est pas sur la dégoutante chose?

Arrète d'affirmer sans preuve!
TOI tu fais du sexe un tabou, TOI tu fais du sexe une chose dégoutante!
Merci de ne pas généraliser tes "tares"!

Des preuves, des preuves!
Des références, des références!

[Zarzou]

A mon avis la vrai raison qui rend le sexe honteux c'est l'orgueil des orgueilleux qui n'aiment pas l'idée de partager les mêmes besoins que nos amis à quatre pattes... Et pourtant nous passons notre existence entre le lit, la table et les toilettes pour le chien c'est différent dans les mots seulement puisqu'il passe son temps entre le panier, la gamelle et la litière. C'est vrai on est pas des chiens quand même!

[M'enfin]

Je pense avec mon zizi, c'est pour ça que je suis bête! Une chance que mon zizi ne se trouve pas lui-même honteux!   

Des preuves, des preuves! Des références, des références!

Dédé, tu as trop de mémoire et pas assez d'imagination et moi c'est l'inverse. As-tu jamais émis une hypothèse sans l'avoir vérifiée, et tenté de la vérifier par la suite? Je te rappelle que c'est justement ce que je suis en train de faire. Contrairement à Dieu, il devrait être possible de trouver la raison pour laquelle le sexe est tabou, mais pour ça, il faudrait pouvoir en discuter librement, et on ne peut pas le faire puisque certains sujets sont tabous, et je ne dirai pas lesquels puisque je n'ai pas le droit d'en discuter librement, et je n'ai pas le droit d'en discuter parce que c'est tabou, et ça va rester tabou parce qu'on ne peut pas en discuter. Tu rejettes ce que je dis parce que tu veux garder ton plaisir Dédé, et c'est justement à cause de ça qu'il y a un tabou. S'il n'y avait pas de plaisir, il n'y aurait pas de tabou, mais il y aurait beaucoup moins de bébés, poil au nez!   

[M'enfin]

A mon avis, la vrai raison qui rend le sexe honteux, c'est l'orgueil des orgueilleux qui n'aiment pas l'idée de partager les mêmes besoins que nos amis à quatre pattes... Et pourtant nous passons notre existence entre le lit, la table et les toilettes, pour le chien c'est différent dans les mots seulement puisqu'il passe son temps entre le panier, la gamelle et la litière. C'est vrai on est pas des chiens quand même!

C'est l'orgueil de se sentir humain qui nous donnerait l'idée que le sexe est honteux? Encore là, j'y vois de la religion, car elle aimait bien nous accuser de tous les péchés du monde. À mon avis, il n'y a pas de faute à nous sentir honteux puisque c'est impossible de faire autrement.

[Zarzou]

Oui l'orgueil de se considérer supérieur dans sa chair par rapport au reste du vivant de ce monde... Les religions monothéistes en particulier ont joué un rôle crucial dans cette considération sociale. On se sent honteux si et seulement si on éprouve un sentiment de culpabilité lorsqu'il est question de désirs sexuels. Certains individus se sentent complètement opprimés par leurs sentiments.

[M'enfin]

Oui l'orgueil de se considérer supérieur dans sa chair par rapport au reste du vivant  de ce monde...

Ce n'est pas dans notre chair qu'on se sent supérieur, mais dans notre tête.

Les religions monothéistes en particulier ont joué un rôle crucial dans cette considération sociale.

À mon avis, les religions n'ont fait qu'appuyer sur le bobo.

On se sent honteux si et seulement si on éprouve un sentiment de culpabilité lorsqu'il est question de désirs sexuels.

Et on éprouve de la culpabilité si, et seulement si, les autres nous accusent. On ne peut pas se culpabiliser soi-même, quoi! Par contre, on peut continuer de se culpabiliser longtemps après que la menace ait disparue.

Certains individus se sentent complètement opprimés par leurs sentiments.

On ne peut pas se sentir opprimé par un sentiment, c'est l'inverse: le sentiment vient de ce que les autres nous font où nous disent. S'ils sont d'accord avec nous, on a un bon sentiment, sinon, il est mauvais, et il devient de plus en plus mauvais selon le nombre de personnes qui s'opposent à nous.

[Zarzou]

Bien sûr que l'on peut se culpabiliser soi-même lorsque par l'acte sexuel "on fait du mal" - le viol n'est pas un bien que je sache. Il y a des femmes dont l'activité de la prostitution pousse beaucoup d'hommes au mépris, à la violence.

[_dede 95]

J'ai trouvé cela M'Enfin, ça répondra peut-etre à tes interrogations:

Si le poids de la religion, les tabous sexuels ou les rigidités sociales sont censés avoir reculé depuis mai 68, les occasions de nous sentir en faute, elles, n’ont guère diminué. « Les effets et les formes du sentiment de culpabilité ont juste changé », affirme le psychanalyste et thérapeute familial Robert Neuburger.

A chaque époque, donc, ses coupables, nés de nouvelles normes et de nouvelles conditions de vie. Après enquête, nous avons distingué six profils de « coupables » contemporains : mère seule qui travaille et souffre de peu voir ses enfants ; père divorcé qui ne voit ses enfants que le week-end ; salarié ou chômeur en manque d’ambition professionnelle ; mangeur intempestif qui « craque » sur une nourriture diabolisée ; parents angoissés par le comportement de leur progéniture ; adulte culpabilisé de ne pas accueillir sous son toit ses parents âgés…

Très différents, ils sont pourtant tous atteints d’une forme insidieuse de conformisme. Un trop grand souci des normes qui les empêche d’agir de manière responsable. Or, si l’on en croit sociologues et psys consultés ici, c’est bien l’autonomie de pensée et le retour, pour chacun, à son histoire singulière qui permet de sortir d’une culpabilité paralysante… et inutile. http://www.psychologies.com/Moi/Se-connaitre/Estime-de-soi/Articles-et-Dossiers/Cessez-de-culpabiliser-pour-rien/Ce-qui-nous-fait-culpabiliser

Tu disais qu'on ne peut se culpabiliser soi-même ?

[M'enfin]

Ma logeuse n'arrête pas d'embellir sa maison et de dire qu'elle manque d'argent. Je n'arrête pas de lui dire de moins dépenser pour l'embellissement, mais elle dit qu'elle en a besoin pour se sentir bien. "Mais pourquoi as-tu ce besoin sinon pour que les autres voient que tu entretiens bien ta maison" lui dis-je? Et elle me répète que ce n'est pas pour les autres mais pour elle. Oui, on peut avoir cette impression mais, non, ce n'est pas la réalité. Quand on fait quelque chose c'est, soit pour faire plaisir aux autres en espérant que l'ascenseur va revenir, soit pour se faire plaisir à soi en espérant que les autres prennent l'ascenseur. Pas mal le coup de l'ascenseur, hein?    

A chaque époque, donc, ses coupables, nés de nouvelles normes et de nouvelles conditions de vie. Après enquête, nous avons distingué six profils de « coupables » contemporains : mère seule qui travaille et souffre de peu voir ses enfants ; père divorcé qui ne voit ses enfants que le week-end ; salarié ou chômeur en manque d’ambition professionnelle ; mangeur intempestif qui « craque » sur une nourriture diabolisée ; parents angoissés par le comportement de leur progéniture ; adulte culpabilisé de ne pas accueillir sous son toit ses parents âgés…

Tous ces gens se sentent coupables de ne pas pouvoir faire ce que les autres peuvent faire, ou de faire quelque chose qui leur fait mal, ils ne se culpabilisent donc pas par rapport à eux, mais par rapport aux autres. Si tous les autres faisaient comme eux, ou si ce qu'ils faisaient ne leur faisait pas mal, ils ne se sentiraient plus coupables.

[gaston21]

Les statistiques sur l'espérance de vie ne mentent pas gaston, celle de ces femmes se situe bien en bas de la moyenne, autour de 40 ans parait-il en France.

M'enfin, va chez l'ophtalmo! Où vas-tu chercher ces 40 ans?  Celle qui travaillait vers 1960 au bout du pont d'Austerlitz à Paris avait plus de 65 ans! Et c'était cent anciens francs le coup! D'accord, il fallait avoir les bourses prêtes à exploser...Tu confonds avec l'âge où pas mal décrochent. Mais, tu sais, il y a un âge où les fesses "s'affessent"... Tu parles de tabou; mais ce n'est qu'une question de conditionnement de l'esprit, rien de plus.
Et un tabou, c'est fait pour être brisé! "Une chose dégoûtante"...Les femmes t'ont créé des ennuis, je suppose; à moi aussi, mais c'est curieux, le vieux schnoque les trouve toujours attirantes! Pauvre de moi, si jeunesse savait, si vieillesse...

[Zarzou]

Hahahaha!

[M'enfin]

Tu parles de tabou;

Je parle surtout de la violence faite aux femmes par les hommes Gaston. Ça n'a pas l'air de te préoccuper beaucoup ce qui je dis à ce sujet-là! Ça t'es déjà arrivé de bousculer une femme toi?

[mirage]

il y a un âge où les fesses "s'affessent"...

Offf, a 60 ans les fesses de ces dames ont encore toute leur jeunesse ! bien lisses et fermes; une petite tape amicale de principe et le rose de la majorité apparait !   

[mirage]

Tu parles de tabou;

Je parle surtout de la violence faite aux femmes par les hommes Gaston. Ça n'a pas l'air de te préoccuper beaucoup ce qui je dis à ce sujet-là! Ça t'es déjà arrivé de bousculer une femme toi?

Ben voyons, elle renverse les épices en faisant la cuisine, comment laisser passer ca !
un regard suffit pour qu'elle comprenne que c'est une bêtise qui ne passera pas inaperçue. et comprenant que ses excuses n'y changeront rien, elle recule pendant que je la sermonne.
et tente de s’échapper pour se soustraire a la sentence qu'elle mérite de pleins droits !
je la rattrape en quelques secondes, renversant 2-3 trucs au passage, et la saisit fermement au poignet.
elle me mords maintenant ! je lâche prise mais la rattrape par la taille, tentant de la maitriser entre le canapé et la table.
et elle se débat la diablesse ! d'une main j'arrive a lui maintenir les bras, et de l'autre a enlever le superflu.
elle s’échappe encore une fois, quelle énergie !
je fatigue mais je ne laisserais pas passer l'occasion. je la recoince dans l'entrée, serre les dents quant elle se met a réutiliser les siennes, et décide que tirer d'un coup sec son pantalon sera plus rapide et efficace que de chercher a l'ouvrir.
j'y suis presque mais mes forces me lâchent. j’agrippe sa chevelure pour mettre un terme a ses envies d’escapades, mais déjà elle prend le dessus, profitant de la situation pour me plaquer au sol.
j’essaie de changer la donne mais rien n'y fait, elle est sur moi et compte bien y rester.

Et moi, j'ai le sourire qui va d'une oreille a l'autre.....
mince, je suis pas sur le bon thread !  

[Zarzou]

Hahahaha!

[maya]

Mirage...   et la suite !!!!

[gaston21]

Tu parles de tabou;

Je parle surtout de la violence faite aux femmes par les hommes Gaston. Ça n'a pas l'air de te préoccuper beaucoup ce qui je dis à ce sujet-là! Ça t'es déjà arrivé de bousculer une femme toi?

Oui, la mienne! Mais jamais l'une de ces charmantes dames! Il est vrai qu'aucune d'elles ne m'a jamais dit:" Va chercher des patates!". Au contraire, elle se précipite sur les miennes...

[M'enfin]

Si l'envie t'es venue de bousculer ta femme, tu comprends très bien ce que je veux dire par violence faite aux femmes, car l'inverse n'arrive presque jamais. Rien de plus facile pour un gars de bousculer une fille, c'est toujours lui le plus fort, et quand il s'agit du monde interlope, les gars n'ont plus aucune barrière.