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Voir et se nourrir...
par Imala Lun 24 Nov 2008 - 15:01
Mat. 21 :18-19
18. Le matin, il revient en ville, il a faim.
19. Il voit un seul figuier près de la route. Il vient vers lui et n’y trouve que des feuilles seulement, il lui dit : De toi, il ne viendra plus jamais de fruit, en pérennité ! Et soudain le figuier se dessécha.
20. Les adeptes voient, s’étonnent et disent : Comment le figuier s’est-il desséché soudain ?
21. Iéshoua répond et dit : Amén je vous dis : si vous adhériez et ne doutiez pas, non seulement vous feriez comme au figuier, mais même si vous disiez à cette montagne : lève-toi et jette-toi dans la mer, cela se réaliserait.
22. Tout ce que vous demanderez dans la prière en adhérant, vous le recevrez.
Marc 11 :12-14 ; 20-24
12. Et c’est le lendemain: ils sortent de Béit-Hananyah. Il a faim.
13. Il voit de loin un figuier avec des feuilles.
Il vient; là, peut-être trouvera-t-il ?
Il vient vers lui et n’y trouve que des feuilles: ce n’était pas le temps des figues.
14. Il répond et lui dit:
« Jamais en pérennité, de toi, nul ne mangera de fruit. »
Ses adeptes l’entendent.
20. En passant là, le matin, ils voient le figuier desséché depuis ses racines.
21. Petros se remémore et lui dit:
« Rabbi ! Vois ! Le figuier que tu as maudit est desséché. »
22. Iéshoua‘ répond et leur dit: « Adhérez à Elohîms.
23. Amén, je vous dis:
qui dit à cette montagne: ‹ Lève-toi et jette-toi dans la mer ›,
sans avoir de doute au coeur, mais en adhérant,
s’il croit que ce qu’il dit va se réaliser, cela sera pour lui.
12. Et c’est le lendemain: ils sortent de Béit-Hananyah. Il a faim
Béit-Hananyah :
Béthanie : signifie : maison du gué.
Il a faim
Il en est de certains gués, de certaines vigilances comme de certaines grandes marches : elle creuse la faim !...
19. Il voit un seul figuier près de la route (Matthieu)
Il arrive très souvent que, guettant le changement, ne se présentent finalement que très peu d’occasions de s’en nourrir vraiment…
13. Il voit de loin un figuier avec des feuilles. (Marc)
… et dès lors, mais pas encore, voyant de loin ce qui est susceptible d’assouvir la faim.
Il vient; là, peut-être trouvera-t-il ?
Peut-être trouvera-t-il… quoi ?
Que sommes-nous sensés trouver lorsque nous cherchons sans mentionner, par devers nous, ou face à l'autre, ce que nous cherchons ?
En ce qui concerne la narration du texte, nous sommes tous tentés de répondre : - des figues ! Et c’est logique ! Mais le texte ne le précise pas, et c’est heureux, tant il est vrai que certaines faims n’ont pas de mots pour se dire.
N’est-il pas dit : l’homme ne vivra pas de pain seulement ?
Manger c’est vivre !
Encore faut-il trouver une nourriture qui donne à vivre.
Il vient vers lui et n’y trouve que des feuilles : ce n’était pas le temps des figues
Il arrive que les apparences soient mensongères, et que croyant pouvoir compter sur quelque chose, ou quelqu’un pour aller plus loin, on soit trompé.
De loin, certaines circonstances au sein desquelles nous vivons, sont comme cet arbre : elles n’ont que l’apparence de la vie ! Elles paraissent avoir la capacité à passer le témoin, or ce n’est pas le cas. La vie en elles s’est arrêtée à l’apparence, elles prennent et ne donnent rien, ne font que des promesses vaines. Ce qu’elles prétendent maturer ne nourrit pas l’autre, le passant qui vit en leur sein ou qui s’en approche… mais la bonne nouvelle, c’est que : ce n’était pas le temps des figues ! Il y a donc vraiment un temps pour tout !
De toi, il ne viendra plus jamais de fruit, en pérennité ! (Matthieu)
Jamais en pérennité, de toi, nul ne mangera de fruit ! (Marc)
Cela résonne comme une malédiction, ce n’est qu’une constatation.
Il en est de la vie comme de cette constatation : au sein des apparences, ne se trouve aucun savoir en terme de force vive, pour maturer un fruit qui soit valable et qui serve à la vie
Et soudain le figuier se dessécha.
Les apparences révèlent en un instant toute leur vanité lorsque, trompés par elles, il nous arrive de leur demander ce qu’elles ne peuvent donner.
De toi, il ne viendra plus jamais de fruit, en pérennité !
Qui est ce "toi" ici ? Et quel est ce fruit ?
"Toi" : les circonstances, mais aussi celui/celle qui entretient des illusions !
Les siennes comme celles des autres, et ainsi conçoit et mature, pour lui et ceux qui le suivent —un leurre plutôt qu’un fruit.
Le fruit que le simulacre de la vie apparentée au vent du leurre, laisse à vide, et avides ceux qui en "mangent" !
…il ne viendra plus jamais de fruit, en pérennité !
Plus jamais / en pérennité renvoyé dos à dos : il n’y a jamais eu de fruit, et il ne peut y en avoir jamais, là ou la vie n’est que simulacre…
Certains domaines de la vie de l’homme sont comme cet arbre : ils ne peuvent plus cacher qu’en réalité ils sont comme déjà mort et en passe de sécher, bien que semblant être vivants et verdoyants.
Devant le Principe de la Vie, Jésus dans l’Evangile, l’arbre "avoue" sa stérilité.
Tout ce qui donne à la vie d’être la vie et de se déployer, débusque forcément ce qui a la prétention de l’imiter, et finit par révéler la mort comme en ce qui est aussi déjà là, mais caché aux regards non-avertis.
« Jamais en pérennité, de toi, nul ne mangera de fruit ».
Ses adeptes l’entendent.
20. En passant là, le matin, ils voient le figuier desséché depuis ses racines.
21. Petros se remémore et lui dit:
« Rabbi ! Vois ! Le figuier que tu as maudit est desséché. »
Avant de faire l’expérience de la vérité qui est dite, il faut pouvoir l’entendre, et s’en remémorer.
A certains, cela est donné immédiatement : ...les adeptes voient, s’étonnent et disent : Comment le figuier s’est-il desséché soudain ? (Matthieu) Et pour d’autres, ils entendent sans entendre.
Il y faut un chemin de temps : [i]...en passant là, le matin, ils voient le figuier desséché depuis ses racines. (Marc)[/i]
Chemin de temps qui aura permis à la vérité de se creuser encore : ils voient le figuier desséché depuis ses racines. Ils voient la vérité dans ce qu’elle a de radical, par rapport au mensonge qui, lui, ne pouvait être connu vraiment dès lors qu’on ne s’approchait pas suffisamment de la vérité de sa faim...
Le geste/parole du Christ n’a donc pas la gratuité de l’apparent caprice d’un maître réagissant par frustration, mais bien celui de la Vérité devant le mensonge.
… si vous adhériez et ne doutiez pas, non seulement vous feriez comme au figuier, mais même si vous disiez à cette montagne : lève-toi et jette-toi dans la mer, cela se réaliserait.
Paraphrase :
si vous colliez à la Vie, il vous serait possible de démasquer tout ce qui n’est pas la vie, mais encore de vous opposer à tout ce qui se met en travers de votre route empêchant que la vie que vous vivez soit vraiment la vie.
Vous ne permettriez pas à ce qui se travestit d’entretenir vos illusions ; vous ne donneriez pas à ce qui n’a que l’apparence de la vie, le pouvoir de vous faire croire que là, est LA Vie, mais vous verriez les mensonges et les illusions dont vous vous bercez pour endormir votre faim, et vous les verriez pour ce qu’ils sont : une nourriture mortifère, et vous n’en voudriez pas/plus.
… vous feriez comme au figuier
Vous sauriez confondre les prétentions mensongères que vous laissez verdoyer dans le jardin de votre vie !
… cette montagne…
Tout ce qui bouche l’horizon de l’au-delà d’un homme !
Tout ce qui attire les regards et prétend à la priorité, ou supériorité dans la vie d’un homme par leur masse même, sans que cela ne permette réellement à la vie de se faire.
Tout ce qui ne permet pas d’aller au-delà des apparences tellement elles ont d’emprises, et de puissances dans la vie d’un homme.
Toute la puissance du réel visible, empêchant l’homme de voir le Réel Invisible !
Adhérez à Elohîms !
Ne "piler" pas sur ce que vous voyez dans l’immédiat, ici, maintenant, comme ça, mais fixer vos regards sur ce que vous ne pouvez voir qu’avec le cœur !
… Lève-toi
Ne reste pas là : en lieu et place de l’horizon de ma vie.
et jette-toi dans la mer !
Ote-toi de mon chemin ! Laisse-moi voir ce que tu caches, laisse-moi voir ce qu’il y a au-delà de toi, au-delà de tes revendications mensongères.
Cesse de me boucher la vue par l’apparente magnificence/grandeur/hauteur de tes prétentions, cesse de projeter ton ombre de malheur au pied de laquelle tu as l'ambition de me voir vivre.
Jette-toi dans les grandes marées de la mort, et qui va t’avaler, t’engloutir, te diluer sans jamais rien restituer de toi.
Epilogue :
Même si tu dois rester sur ta faim : nourrit la Mort de ta mort avec ta mort.
Article de foi :
Pour moi, Jésus-Christ est l’Arbre de la Vie, le fruit qu’Il a porté et dont Il me nourrit me conduit dans la Vie Eternelle, comme à un donné de l'existence, plutôt qu'à un futur conditionnel. Jésus-Christ a les moyens de Ses prétentions, je ne suis pas trompée par Lui.
Imala
18. Le matin, il revient en ville, il a faim.
19. Il voit un seul figuier près de la route. Il vient vers lui et n’y trouve que des feuilles seulement, il lui dit : De toi, il ne viendra plus jamais de fruit, en pérennité ! Et soudain le figuier se dessécha.
20. Les adeptes voient, s’étonnent et disent : Comment le figuier s’est-il desséché soudain ?
21. Iéshoua répond et dit : Amén je vous dis : si vous adhériez et ne doutiez pas, non seulement vous feriez comme au figuier, mais même si vous disiez à cette montagne : lève-toi et jette-toi dans la mer, cela se réaliserait.
22. Tout ce que vous demanderez dans la prière en adhérant, vous le recevrez.
Marc 11 :12-14 ; 20-24
12. Et c’est le lendemain: ils sortent de Béit-Hananyah. Il a faim.
13. Il voit de loin un figuier avec des feuilles.
Il vient; là, peut-être trouvera-t-il ?
Il vient vers lui et n’y trouve que des feuilles: ce n’était pas le temps des figues.
14. Il répond et lui dit:
« Jamais en pérennité, de toi, nul ne mangera de fruit. »
Ses adeptes l’entendent.
20. En passant là, le matin, ils voient le figuier desséché depuis ses racines.
21. Petros se remémore et lui dit:
« Rabbi ! Vois ! Le figuier que tu as maudit est desséché. »
22. Iéshoua‘ répond et leur dit: « Adhérez à Elohîms.
23. Amén, je vous dis:
qui dit à cette montagne: ‹ Lève-toi et jette-toi dans la mer ›,
sans avoir de doute au coeur, mais en adhérant,
s’il croit que ce qu’il dit va se réaliser, cela sera pour lui.
12. Et c’est le lendemain: ils sortent de Béit-Hananyah. Il a faim
Béit-Hananyah :
Béthanie : signifie : maison du gué.
Il a faim
Il en est de certains gués, de certaines vigilances comme de certaines grandes marches : elle creuse la faim !...
19. Il voit un seul figuier près de la route (Matthieu)
Il arrive très souvent que, guettant le changement, ne se présentent finalement que très peu d’occasions de s’en nourrir vraiment…
13. Il voit de loin un figuier avec des feuilles. (Marc)
… et dès lors, mais pas encore, voyant de loin ce qui est susceptible d’assouvir la faim.
Il vient; là, peut-être trouvera-t-il ?
Peut-être trouvera-t-il… quoi ?
Que sommes-nous sensés trouver lorsque nous cherchons sans mentionner, par devers nous, ou face à l'autre, ce que nous cherchons ?
En ce qui concerne la narration du texte, nous sommes tous tentés de répondre : - des figues ! Et c’est logique ! Mais le texte ne le précise pas, et c’est heureux, tant il est vrai que certaines faims n’ont pas de mots pour se dire.
N’est-il pas dit : l’homme ne vivra pas de pain seulement ?
Manger c’est vivre !
Encore faut-il trouver une nourriture qui donne à vivre.
Il vient vers lui et n’y trouve que des feuilles : ce n’était pas le temps des figues
Il arrive que les apparences soient mensongères, et que croyant pouvoir compter sur quelque chose, ou quelqu’un pour aller plus loin, on soit trompé.
De loin, certaines circonstances au sein desquelles nous vivons, sont comme cet arbre : elles n’ont que l’apparence de la vie ! Elles paraissent avoir la capacité à passer le témoin, or ce n’est pas le cas. La vie en elles s’est arrêtée à l’apparence, elles prennent et ne donnent rien, ne font que des promesses vaines. Ce qu’elles prétendent maturer ne nourrit pas l’autre, le passant qui vit en leur sein ou qui s’en approche… mais la bonne nouvelle, c’est que : ce n’était pas le temps des figues ! Il y a donc vraiment un temps pour tout !
De toi, il ne viendra plus jamais de fruit, en pérennité ! (Matthieu)
Jamais en pérennité, de toi, nul ne mangera de fruit ! (Marc)
Cela résonne comme une malédiction, ce n’est qu’une constatation.
Il en est de la vie comme de cette constatation : au sein des apparences, ne se trouve aucun savoir en terme de force vive, pour maturer un fruit qui soit valable et qui serve à la vie
Et soudain le figuier se dessécha.
Les apparences révèlent en un instant toute leur vanité lorsque, trompés par elles, il nous arrive de leur demander ce qu’elles ne peuvent donner.
De toi, il ne viendra plus jamais de fruit, en pérennité !
Qui est ce "toi" ici ? Et quel est ce fruit ?
"Toi" : les circonstances, mais aussi celui/celle qui entretient des illusions !
Les siennes comme celles des autres, et ainsi conçoit et mature, pour lui et ceux qui le suivent —un leurre plutôt qu’un fruit.
Le fruit que le simulacre de la vie apparentée au vent du leurre, laisse à vide, et avides ceux qui en "mangent" !
…il ne viendra plus jamais de fruit, en pérennité !
Plus jamais / en pérennité renvoyé dos à dos : il n’y a jamais eu de fruit, et il ne peut y en avoir jamais, là ou la vie n’est que simulacre…
Certains domaines de la vie de l’homme sont comme cet arbre : ils ne peuvent plus cacher qu’en réalité ils sont comme déjà mort et en passe de sécher, bien que semblant être vivants et verdoyants.
Devant le Principe de la Vie, Jésus dans l’Evangile, l’arbre "avoue" sa stérilité.
Tout ce qui donne à la vie d’être la vie et de se déployer, débusque forcément ce qui a la prétention de l’imiter, et finit par révéler la mort comme en ce qui est aussi déjà là, mais caché aux regards non-avertis.
« Jamais en pérennité, de toi, nul ne mangera de fruit ».
Ses adeptes l’entendent.
20. En passant là, le matin, ils voient le figuier desséché depuis ses racines.
21. Petros se remémore et lui dit:
« Rabbi ! Vois ! Le figuier que tu as maudit est desséché. »
Avant de faire l’expérience de la vérité qui est dite, il faut pouvoir l’entendre, et s’en remémorer.
A certains, cela est donné immédiatement : ...les adeptes voient, s’étonnent et disent : Comment le figuier s’est-il desséché soudain ? (Matthieu) Et pour d’autres, ils entendent sans entendre.
Il y faut un chemin de temps : [i]...en passant là, le matin, ils voient le figuier desséché depuis ses racines. (Marc)[/i]
Chemin de temps qui aura permis à la vérité de se creuser encore : ils voient le figuier desséché depuis ses racines. Ils voient la vérité dans ce qu’elle a de radical, par rapport au mensonge qui, lui, ne pouvait être connu vraiment dès lors qu’on ne s’approchait pas suffisamment de la vérité de sa faim...
Le geste/parole du Christ n’a donc pas la gratuité de l’apparent caprice d’un maître réagissant par frustration, mais bien celui de la Vérité devant le mensonge.
… si vous adhériez et ne doutiez pas, non seulement vous feriez comme au figuier, mais même si vous disiez à cette montagne : lève-toi et jette-toi dans la mer, cela se réaliserait.
Paraphrase :
si vous colliez à la Vie, il vous serait possible de démasquer tout ce qui n’est pas la vie, mais encore de vous opposer à tout ce qui se met en travers de votre route empêchant que la vie que vous vivez soit vraiment la vie.
Vous ne permettriez pas à ce qui se travestit d’entretenir vos illusions ; vous ne donneriez pas à ce qui n’a que l’apparence de la vie, le pouvoir de vous faire croire que là, est LA Vie, mais vous verriez les mensonges et les illusions dont vous vous bercez pour endormir votre faim, et vous les verriez pour ce qu’ils sont : une nourriture mortifère, et vous n’en voudriez pas/plus.
… vous feriez comme au figuier
Vous sauriez confondre les prétentions mensongères que vous laissez verdoyer dans le jardin de votre vie !
… cette montagne…
Tout ce qui bouche l’horizon de l’au-delà d’un homme !
Tout ce qui attire les regards et prétend à la priorité, ou supériorité dans la vie d’un homme par leur masse même, sans que cela ne permette réellement à la vie de se faire.
Tout ce qui ne permet pas d’aller au-delà des apparences tellement elles ont d’emprises, et de puissances dans la vie d’un homme.
Toute la puissance du réel visible, empêchant l’homme de voir le Réel Invisible !
Adhérez à Elohîms !
Ne "piler" pas sur ce que vous voyez dans l’immédiat, ici, maintenant, comme ça, mais fixer vos regards sur ce que vous ne pouvez voir qu’avec le cœur !
… Lève-toi
Ne reste pas là : en lieu et place de l’horizon de ma vie.
et jette-toi dans la mer !
Ote-toi de mon chemin ! Laisse-moi voir ce que tu caches, laisse-moi voir ce qu’il y a au-delà de toi, au-delà de tes revendications mensongères.
Cesse de me boucher la vue par l’apparente magnificence/grandeur/hauteur de tes prétentions, cesse de projeter ton ombre de malheur au pied de laquelle tu as l'ambition de me voir vivre.
Jette-toi dans les grandes marées de la mort, et qui va t’avaler, t’engloutir, te diluer sans jamais rien restituer de toi.
Epilogue :
Même si tu dois rester sur ta faim : nourrit la Mort de ta mort avec ta mort.
Article de foi :
Pour moi, Jésus-Christ est l’Arbre de la Vie, le fruit qu’Il a porté et dont Il me nourrit me conduit dans la Vie Eternelle, comme à un donné de l'existence, plutôt qu'à un futur conditionnel. Jésus-Christ a les moyens de Ses prétentions, je ne suis pas trompée par Lui.
Imala
Imala- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: Voir et se nourrir...
par Imala Mar 25 Nov 2008 - 16:51
caladine a écrit:et amen !
:sri: Merci Caladine
Imala- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: Voir et se nourrir...
par Fabule Mar 25 Nov 2008 - 17:05
Interprétation très interréssante !
Joli travail !
En fait cela m'a fait penser au fameux dicton :
Joli travail !
En fait cela m'a fait penser au fameux dicton :
Fabule- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Identité métaphysique : syncrétique concordiste
Humeur : Oui bien sûr, plusieurs et en plus tout le temps !
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Re: Voir et se nourrir...
par SEPTOUR Mar 25 Nov 2008 - 19:32
AINSI DIEU AURAIT créé des choses parfaites, mais pas les hommes.
Ces derniers devant faire le choix entre bien et mal.
Mais pq ne pas avoir inclus au moment de la création cette distinction. Pq vouloir faire cet ''écremage'' entre ceux qui feraient la difference et ceux qui echoueraient? c'est IDIOT et laisse entendre que DIEU aurait fait des ames pour la CASSE et d'autres pour les LAURIERS. Car DIEU ne peut ignorer qui est qui et qui fera quoi. Y avez vous pensé?
Ces derniers devant faire le choix entre bien et mal.
Mais pq ne pas avoir inclus au moment de la création cette distinction. Pq vouloir faire cet ''écremage'' entre ceux qui feraient la difference et ceux qui echoueraient? c'est IDIOT et laisse entendre que DIEU aurait fait des ames pour la CASSE et d'autres pour les LAURIERS. Car DIEU ne peut ignorer qui est qui et qui fera quoi. Y avez vous pensé?
SEPTOUR- Maître du Relatif et de l'Absolu
- Nombre de messages : 1851
Date d'inscription : 23/03/2008
Re: Voir et se nourrir...
par Invité Mar 25 Nov 2008 - 20:34
oui on y a pensée enfin j'y ai pensée .
Dieu créa Adam et Ève parfait c'est juste qu'il leur a laissez le choix et nous nous l'avons toujours de choisir le bien ou le mal cela nous tombe pas dessus un beau matin !
c'est nos choix de tout les instants qui font ce qu'on es.Si il y a des poseurs de bombes Dieu n'y es pour rien,les poseur de bombes on fait leur choix et puis il ne faut pas oublier Satan qui n'est pas la pour mettre la paix !
Dieu créa Adam et Ève parfait c'est juste qu'il leur a laissez le choix et nous nous l'avons toujours de choisir le bien ou le mal cela nous tombe pas dessus un beau matin !
c'est nos choix de tout les instants qui font ce qu'on es.Si il y a des poseurs de bombes Dieu n'y es pour rien,les poseur de bombes on fait leur choix et puis il ne faut pas oublier Satan qui n'est pas la pour mettre la paix !
Invité- Invité
Re: Voir et se nourrir...
par idrom Mar 25 Nov 2008 - 23:18
Merci Imala, je n'avais jamais reussi a comprendre ce passage.
idrom- Affranchi des Paradoxes
- Nombre de messages : 417
Localisation : France
Identité métaphysique : aucune, rien, a pu
Humeur : sais pas
Date d'inscription : 04/04/2008
Re: Voir et se nourrir...
par Ronsard Mer 26 Nov 2008 - 0:04
Imala tu as une belle âme, l’émotion vraie nous transporte au réel. La Poésie, avec une majuscule, est au-dessus de la philosophie comme Jésus-Christ est au-dessus des religions.
Ronsard.
Ronsard.
Ronsard- Affranchi des Paradoxes
- Nombre de messages : 430
Identité métaphysique : toutes
Humeur : toujours plus ou moins bonne
Date d'inscription : 24/06/2008
Re: Voir et se nourrir...
par Imala Jeu 27 Nov 2008 - 21:45
AINSI DIEU AURAIT créé des choses parfaites, mais pas les hommes.
Ces derniers devant faire le choix entre bien et mal.
Mais pq ne pas avoir inclus au moment de la création cette distinction. Pq vouloir faire cet ''écremage'' entre ceux qui feraient la difference et ceux qui echoueraient? c'est IDIOT et laisse entendre que DIEU aurait fait des ames pour la CASSE et d'autres pour les LAURIERS. Car DIEU ne peut ignorer qui est qui et qui fera quoi. Y avez vous pensé?
Mon Dieu Septour ! Le bien, le mal, la mort... ces sujets sont certainement ce qui a fait le plus couler d'encre... Alors oui, on y a pensé, mais jusqu'à ce jour, personne ne peut répondre de manière exhaustive, car nul n'en sait rien de manière définitive...
Pq vouloir faire cet ''écremage'' entre ceux qui feraient la difference et ceux qui echoueraient? c'est IDIOT et laisse entendre que DIEU aurait fait des ames pour la CASSE et d'autres pour les LAURIERS.
D'une part, je ne crois pas en ce genre de dieu, d'autre part, il n'y a pas d'écrémage. Il y a seulement des domaines dans la vie des hommes que les hommes n'habitent pas de vie, le problème et qu'ils font comme si : ils jouent au théâtre de la vie le rôle qu'ils pensent devoir y jouer, mais n'habite pas leur personnage... et Dieu n'a rien à y voir.
Imala
Imala- Maître du Relatif et de l'Absolu
- Nombre de messages : 1239
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Identité métaphysique : Gnostique
Humeur : Tranquille
Date d'inscription : 21/05/2008
Re: Voir et se nourrir...
par Imala Jeu 27 Nov 2008 - 21:51
Heureuse t'avoir pu t'être utile Idrom. :flower:
Imala
Imala
Imala- Maître du Relatif et de l'Absolu
- Nombre de messages : 1239
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Identité métaphysique : Gnostique
Humeur : Tranquille
Date d'inscription : 21/05/2008
Re: Voir et se nourrir...
par Imala Jeu 27 Nov 2008 - 21:52
Ronsard a écrit:Imala tu as une belle âme, l’émotion vraie nous transporte au réel. La Poésie, avec une majuscule, est au-dessus de la philosophie comme Jésus-Christ est au-dessus des religions.
Ronsard.
Merci Ronsard le Moine Griffon :sri: . Ton compliment me touche plus que je ne saurais le dire.
Imala.
Imala- Maître du Relatif et de l'Absolu
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