Une fleur en hiver
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Une fleur en hiver
1
Quand tu t'approches, mon cœur bat,
Et quand tu t'en vas, il débat :
Doit-il cesser d'être de roche
Alors que mon cerveau décroche ?
Flèche que Cupidon décoche
Et pourtant je ne souffre pas ;
Au bord du gouffre, pas à pas,
Je marche les mains dans les poches.
2
Rouage emporté par les orbes mécaniques,
Un caillou dévalant le flanc de la montagne :
J'ai si peu le choix que mes châteaux en Espagne
Ont le teint vaporeux des palais oniriques.
Charmé par le bon vin, tes lèvres, la musique,
Je me laisse emporter au pays de cocagne.
Je me réveille avec la neige et la campagne
Au-dessus des cendres d'une étreinte extatique.
Que me dira demain, quel bonheur ou quel piège ?
Je ne sais, je m'en fous, je marche sans frémir ;
Ton corps est partition (j'en apprends le solfège),
Dont le chant sème en moi de bien doux souvenirs.
Je laisse le destin décider de mon âme :
Calme dans le tourment, serein parmi les flammes.
3
Dans tes yeux verts je vois le soleil et la mer,
Étincelles dorées scintillant sur l'écume,
Songe venu du nord, enveloppé de brume,
Vagues de tes cheveux loin du rivage amer.
Est-ce ton souffle chaud sur le froid de la pierre ?
Une fleur en hiver qui brûle et se consume ?
Je vois la ville immense aux cheminées qui fument,
La caresse et la joie (je suis loin de leur guerre).
Je veux entendre au soir ton rire désarmant,
Rester pour une nuit dans cet abri charmant
Et, puisque nous savons si peu de l'avenir,
Je veux que nous dansions tous les deux sous la lune,
Tenir entre mes mains ton joli corps de brune,
Te murmurer ce chant qui ne veut pas finir.
4
Dans tes cheveux je plonge et je perds la mémoire,
Je retrouve le goût du miel et de la terre.
Cascade odorante où ma soif de toi peut boire
L'amer et la douceur, l'obscur et la lumière.
Dans le secret d'éther où conspirent les Moires,
J'ai découvert la clef de la pensée solaire :
S'abandonner à toi dans le bleu des nuits noires,
S'élever vers un ciel ombreux que l'astre éclaire.
La douceur fuira-t-elle ainsi qu'une fleur fane ?
Je ne sais, le sentier se perd à la lisière.
Je chuchote à tes doigts cette chanson profane,
Puis je vais méditer au bord de la rivière,
Du destin sur ma vue le sempiternel voile
Avec, au bord des miens, de tes yeux les étoiles.
Quand tu t'approches, mon cœur bat,
Et quand tu t'en vas, il débat :
Doit-il cesser d'être de roche
Alors que mon cerveau décroche ?
Flèche que Cupidon décoche
Et pourtant je ne souffre pas ;
Au bord du gouffre, pas à pas,
Je marche les mains dans les poches.
2
Rouage emporté par les orbes mécaniques,
Un caillou dévalant le flanc de la montagne :
J'ai si peu le choix que mes châteaux en Espagne
Ont le teint vaporeux des palais oniriques.
Charmé par le bon vin, tes lèvres, la musique,
Je me laisse emporter au pays de cocagne.
Je me réveille avec la neige et la campagne
Au-dessus des cendres d'une étreinte extatique.
Que me dira demain, quel bonheur ou quel piège ?
Je ne sais, je m'en fous, je marche sans frémir ;
Ton corps est partition (j'en apprends le solfège),
Dont le chant sème en moi de bien doux souvenirs.
Je laisse le destin décider de mon âme :
Calme dans le tourment, serein parmi les flammes.
3
Dans tes yeux verts je vois le soleil et la mer,
Étincelles dorées scintillant sur l'écume,
Songe venu du nord, enveloppé de brume,
Vagues de tes cheveux loin du rivage amer.
Est-ce ton souffle chaud sur le froid de la pierre ?
Une fleur en hiver qui brûle et se consume ?
Je vois la ville immense aux cheminées qui fument,
La caresse et la joie (je suis loin de leur guerre).
Je veux entendre au soir ton rire désarmant,
Rester pour une nuit dans cet abri charmant
Et, puisque nous savons si peu de l'avenir,
Je veux que nous dansions tous les deux sous la lune,
Tenir entre mes mains ton joli corps de brune,
Te murmurer ce chant qui ne veut pas finir.
4
Dans tes cheveux je plonge et je perds la mémoire,
Je retrouve le goût du miel et de la terre.
Cascade odorante où ma soif de toi peut boire
L'amer et la douceur, l'obscur et la lumière.
Dans le secret d'éther où conspirent les Moires,
J'ai découvert la clef de la pensée solaire :
S'abandonner à toi dans le bleu des nuits noires,
S'élever vers un ciel ombreux que l'astre éclaire.
La douceur fuira-t-elle ainsi qu'une fleur fane ?
Je ne sais, le sentier se perd à la lisière.
Je chuchote à tes doigts cette chanson profane,
Puis je vais méditer au bord de la rivière,
Du destin sur ma vue le sempiternel voile
Avec, au bord des miens, de tes yeux les étoiles.
Dari- Affranchi des Paradoxes
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Humeur : la nuit sera calme
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Re: Une fleur en hiver
Savouré particulièrement joli...Dari a écrit:Charmé par le bon vin, tes lèvres, la musique,
Je me laisse emporter au pays de cocagne.
Je me réveille avec la neige et la campagne
Au-dessus des cendres d'une étreinte extatique.
[...]
Tenir entre mes mains ton joli corps de brune
[...]
Dans tes cheveux je plonge et je perds la mémoire,
...
Cascade odorante où ma soif de toi peut boire
ronron- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 6672
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Identité métaphysique : agnostique ascendant ouvert
Humeur : ciel bleu
Date d'inscription : 07/03/2011
Re: Une fleur en hiver
Je regarde à nouveau cette élégante image,
New York, et toi, gracieuse au-dessus du rivage ;
Tes yeux font la lumière au chevet de mes songes
– Aux fenêtres des dieux, ce monde est un village.
Je vais ici et là, dans le décor tout change,
Mais en tout lieu je sens ton souffle, ce prodige
Me tient lieu de chanson, je te le dis, mon ange,
En tremblant que ces mots n'en perdent leur solfège.
Pourquoi ne pas céder à un peu d'insouciance ?
L'univers est si vaste, et la nuit si secrète.
Je voudrais t'embrasser, comme un oiseau s'élance,
Ta voix qui me rend doux, calme, attentif, esthète,
Guide ma plume éprise aux symphonies vibrantes ;
– À tes yeux amusés, des étoiles filantes...
New York, et toi, gracieuse au-dessus du rivage ;
Tes yeux font la lumière au chevet de mes songes
– Aux fenêtres des dieux, ce monde est un village.
Je vais ici et là, dans le décor tout change,
Mais en tout lieu je sens ton souffle, ce prodige
Me tient lieu de chanson, je te le dis, mon ange,
En tremblant que ces mots n'en perdent leur solfège.
Pourquoi ne pas céder à un peu d'insouciance ?
L'univers est si vaste, et la nuit si secrète.
Je voudrais t'embrasser, comme un oiseau s'élance,
Ta voix qui me rend doux, calme, attentif, esthète,
Guide ma plume éprise aux symphonies vibrantes ;
– À tes yeux amusés, des étoiles filantes...
Dari- Affranchi des Paradoxes
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Humeur : la nuit sera calme
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Re: Une fleur en hiver
Tes mots, une chorégraphie de beauté...
ronron- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Une fleur en hiver
Vois-tu ce drapeau blanc qui sait toutes les teintes ?
- La forêt, les hiboux, le mystère et l'étoile -
Nuits bleues que tous les deux au mur nous avons peintes,
Ta voix, vent de velours, ô mouvement des voiles.
Puisque ma peau tannée de ta présence est ceinte,
Je veux bien m'en aller, sans un chant, sans un leurre.
Donne-moi simplement l'or d'une ultime étreinte,
Et je serai en paix, sans remords et sans peur.
De tout son cinéma, mon cœur carbonisé
Rit et pleure aux reflets chatoyants irisés
D'un arc-en-ciel en feu surplombant la tempête ;
Qu'importe de mourir et qu'importe l'oubli,
Pour moi ni châtiments, ni faveurs de houri,
Juste une fleur d'hiver accrochée sur ma tête.
- La forêt, les hiboux, le mystère et l'étoile -
Nuits bleues que tous les deux au mur nous avons peintes,
Ta voix, vent de velours, ô mouvement des voiles.
Puisque ma peau tannée de ta présence est ceinte,
Je veux bien m'en aller, sans un chant, sans un leurre.
Donne-moi simplement l'or d'une ultime étreinte,
Et je serai en paix, sans remords et sans peur.
De tout son cinéma, mon cœur carbonisé
Rit et pleure aux reflets chatoyants irisés
D'un arc-en-ciel en feu surplombant la tempête ;
Qu'importe de mourir et qu'importe l'oubli,
Pour moi ni châtiments, ni faveurs de houri,
Juste une fleur d'hiver accrochée sur ma tête.
Dari- Affranchi des Paradoxes
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Re: Une fleur en hiver
Notant des bouts d'émoi que je sèche au soleil,
Pour nourrir les oiseaux, pour amuser les sages,
Je vois passer au fond du ciel d'un soir vermeil
Des migrations dorées au-milieu des nuages.
Quand les roseaux tressés se couvrent de lichen.
Près de toi, belle enfant, je suis loin du rivage ;
Chantant des refrains doux en buvant du chouchen,
Sur une barque d'or, nous voguons vers l'orage.
Si la nuit est profonde, alors garde ma main
Serrée fort dans la tienne, au moins jusqu'à demain,
Demain, nous verrons bien si la tempête est forte ;
Ce soir, je m'abandonne au satin des caresses,
Je murmure et fredonne, ô toi ma calme ivresse
- D'aller à tes côtés sous le vent froid me porte.
Pour nourrir les oiseaux, pour amuser les sages,
Je vois passer au fond du ciel d'un soir vermeil
Des migrations dorées au-milieu des nuages.
Quand les roseaux tressés se couvrent de lichen.
Près de toi, belle enfant, je suis loin du rivage ;
Chantant des refrains doux en buvant du chouchen,
Sur une barque d'or, nous voguons vers l'orage.
Si la nuit est profonde, alors garde ma main
Serrée fort dans la tienne, au moins jusqu'à demain,
Demain, nous verrons bien si la tempête est forte ;
Ce soir, je m'abandonne au satin des caresses,
Je murmure et fredonne, ô toi ma calme ivresse
- D'aller à tes côtés sous le vent froid me porte.
Dari- Affranchi des Paradoxes
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Re: Une fleur en hiver
Au sel de l'infini, toi ma fleur océane,
Voguant sur le tableau de ce rêve éveillé ;
Je perçois ton aura sensuelle et diaphane,
Vanille à tes baisers, ma lèvre émerveillée.
Sois libre, va, deviens, ne retiens pas tes ailes
- Au-dessus des mers bleues, des tempêtes, des îles -
Je serai ton escale, ô ma tendre hirondelle,
Et nous serons parfois paisibles cinéphiles.
Mi amor, vis, vis, vis, œuvre, rêve et découvre,
Dans ce monde étonnant, dans la magie d'un livre ;
Je me sens inspiré près de ta joie de vivre,
Un passage s'échancre, une fenêtre s'ouvre :
Toi, voltige, ô ma muse, ô ma douce princesse,
Je pense à toi, le soir, t'embrasse avec tendresse.
Voguant sur le tableau de ce rêve éveillé ;
Je perçois ton aura sensuelle et diaphane,
Vanille à tes baisers, ma lèvre émerveillée.
Sois libre, va, deviens, ne retiens pas tes ailes
- Au-dessus des mers bleues, des tempêtes, des îles -
Je serai ton escale, ô ma tendre hirondelle,
Et nous serons parfois paisibles cinéphiles.
Mi amor, vis, vis, vis, œuvre, rêve et découvre,
Dans ce monde étonnant, dans la magie d'un livre ;
Je me sens inspiré près de ta joie de vivre,
Un passage s'échancre, une fenêtre s'ouvre :
Toi, voltige, ô ma muse, ô ma douce princesse,
Je pense à toi, le soir, t'embrasse avec tendresse.
Dari- Affranchi des Paradoxes
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Re: Une fleur en hiver
Même si l'amoureux a moins de temps pour lire, à la magie d'un texte il peut rester sensible.
Re: Une fleur en hiver
Sous le soleil du nord, près de l'embarcadère,
Frissonnent les vaisseaux s'apprêtant à partir ;
Un ami s'est pendu, cet encombrant martyr
Dort avec les noyés (il était comme un frère).
Moi doucement givré, toi fleur de cet hiver,
Nous nous réchauffons aux flammèches du plaisir.
Suis-je fou de chagrin ou bien fou de désir ?
Ta présence adoucit mes versets lapidaires.
Nous verrons bien après si mon cœur s'en relève,
Si nous pouvons danser tous les deux sur la grève,
Près de l'étoile et loin de la douleur du deuil ;
Toi, ma tendre égérie, princesse au chant nomade,
M'enlaçant dans la nuit noire aux cristaux de jade,
Un peu de ta douceur scintillant sur la feuille.
Frissonnent les vaisseaux s'apprêtant à partir ;
Un ami s'est pendu, cet encombrant martyr
Dort avec les noyés (il était comme un frère).
Moi doucement givré, toi fleur de cet hiver,
Nous nous réchauffons aux flammèches du plaisir.
Suis-je fou de chagrin ou bien fou de désir ?
Ta présence adoucit mes versets lapidaires.
Nous verrons bien après si mon cœur s'en relève,
Si nous pouvons danser tous les deux sur la grève,
Près de l'étoile et loin de la douleur du deuil ;
Toi, ma tendre égérie, princesse au chant nomade,
M'enlaçant dans la nuit noire aux cristaux de jade,
Un peu de ta douceur scintillant sur la feuille.
Dari- Affranchi des Paradoxes
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Humeur : la nuit sera calme
Date d'inscription : 13/04/2012
Re: Une fleur en hiver
Surtout dans l'hémisphère sud.
Bean- Seigneur de la Métaphysique
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Localisation : Bretagne
Identité métaphysique : Farceur
Humeur : Joyeux
Date d'inscription : 16/04/2012
Re: Une fleur en hiver
1
Princesse aux yeux saphirs, ô si ce chant barbare
Traverse le brouillard et grimpe à ta fenêtre :
Que tu souries souvent, et que parfois peut-être
Puissent te plaire un peu les quatrains que je narre.
Immodeste trouvère - humble face au pouvoir
De l'étoile, éclairant la route et les embûches -
Mes vers imitant la chorégraphie des ruches
Forment un essaim qui veut vivre et se mouvoir.
Toi, douce dame en noir, aux yeux vert et noisette,
Tu es un soleil d'août au-dessus des tempêtes ;
Voguant sur un nuage irisé de lumière,
Je nous verrai danser, aux cerisiers en fleurs,
Inventer tendrement de merveilleux ailleurs ;
- Puis, hors de cet écrin, nager dans la rivière.
2
Au sommet de la ville ou dans les catacombes,
Dans le palais d'un prince, au fond d'une prison
- Cellule sans lumière, ou vue sur l'horizon -
Partout, je pense à toi, mon ange, ma colombe.
Au détour d'un sentier ou sur la voie rapide,
Dans la nature ou dans la jungle de ciment :
Au ciel inconnu qui scintille, infiniment,
L'idée de te revoir m'émerveille, ô sylphide.
Ô princesse qui fait chanter mon âme ardente,
Allons flâner ensemble aux cités fascinantes,
Tandis que je dirai pour toi ma ritournelle ;
Rien ne me fait trembler, quand dans les froids matins,
Allant aux rues glacées, tu me tiens par la main :
Tu me souries soudain, et je me sens des ailes.
Princesse aux yeux saphirs, ô si ce chant barbare
Traverse le brouillard et grimpe à ta fenêtre :
Que tu souries souvent, et que parfois peut-être
Puissent te plaire un peu les quatrains que je narre.
Immodeste trouvère - humble face au pouvoir
De l'étoile, éclairant la route et les embûches -
Mes vers imitant la chorégraphie des ruches
Forment un essaim qui veut vivre et se mouvoir.
Toi, douce dame en noir, aux yeux vert et noisette,
Tu es un soleil d'août au-dessus des tempêtes ;
Voguant sur un nuage irisé de lumière,
Je nous verrai danser, aux cerisiers en fleurs,
Inventer tendrement de merveilleux ailleurs ;
- Puis, hors de cet écrin, nager dans la rivière.
2
Au sommet de la ville ou dans les catacombes,
Dans le palais d'un prince, au fond d'une prison
- Cellule sans lumière, ou vue sur l'horizon -
Partout, je pense à toi, mon ange, ma colombe.
Au détour d'un sentier ou sur la voie rapide,
Dans la nature ou dans la jungle de ciment :
Au ciel inconnu qui scintille, infiniment,
L'idée de te revoir m'émerveille, ô sylphide.
Ô princesse qui fait chanter mon âme ardente,
Allons flâner ensemble aux cités fascinantes,
Tandis que je dirai pour toi ma ritournelle ;
Rien ne me fait trembler, quand dans les froids matins,
Allant aux rues glacées, tu me tiens par la main :
Tu me souries soudain, et je me sens des ailes.
Dari- Affranchi des Paradoxes
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Humeur : la nuit sera calme
Date d'inscription : 13/04/2012
Re: Une fleur en hiver
Dari a écrit:
1
Je nous verrai danser, aux cerisiers en fleurs,
Inventer tendrement de merveilleux ailleurs ;
[...]
2
Tu me souries soudain, et je me sens des ailes.
J'aime particulièrement...
ronron- Seigneur de la Métaphysique
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Date d'inscription : 07/03/2011
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