Les musulmans non arabes
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Les musulmans non arabes
Les musulmans non arabes
Par Mumin Salih
Qu’est-ce qui pousse les non Arabes à embrasser une religion entièrement basée sur une langue qu’ils ne parlent ni ne comprennent et est de parti pris pour les Arabes ?
Il y de nombreuses intéressantes ironies associées à l’Islam ; celle qui attirait le plus mon regard était que les femmes, qui sont méprisées en Islam, tendent à être plus dévotes que les hommes musulmans. Toutefois, l’ironie que je trouve maintenant la plus piquante est qu’en général les non arabes tendent à être des musulmans plus dévots que les Arabes.
Les Arabes ont coutume de dire : Aazzana Allahu bil Islam, ce qui signifie que Allah nous a rendus (les Arabes) importants à cause de l’Islam. Le point de vue des Arabes est clair : ils n’étaient que d’insignifiantes tribus arabes du désert d’Arabie qui se sont ensuite retrouvées à la tête d’un immense empire islamique. Je ne pense pas qu’il y ait beaucoup d’arabes qui remettent en cause la pertinence de cette affirmation ; et des Arabes athées tendent aussi à abonder dans ce sens même s’ils considèrent que Mahomet était un menteur et un chef de bande sanguinaire. Cependant, le fait que les Arabes se porteraient bien mieux sans l’Islam n’est pas l’objet de cet article. Mais la question qui me vient à l’esprit chaque fois que je lis cet adage arabe est : existe-t-il une autre nation musulmane qui puisse affirmer qu’Allah l’a rendue importante à cause de l’Islam? Les Indiens ou les Iraniens, qui avaient un formidable empire au septième siècle, pourraient-ils faire une telle assertion ?
L’Islam, une religion basée sur un langage
L’Islam est la seule religion au monde qui soit complètement basée sur un langage. L’Islam ne peut survivre que dans un environnement linguistique arabe, si la langue arabe disparaît l’Islam disparaît aussi. Apprendre l’arabe est une obligation pour tous les musulmans pour pouvoir réciter le Coran et pratiquer les rites islamiques.
De nos jours, presque tous les musulmans affirment que leur dévotion à l’Islam provient de ce qu’ils sont convaincus de son authenticité et ils écartent le fait qu’ils l’ont hérité de leurs parents par le hasard de la naissance. Ces affirmations des musulmans suggèrent qu’ils ont étudié leur religion en profondeur et l’ont trouvée sans défaut. Etudier l’Islam implique de lire attentivement le Coran en arabe et d’en conclure qu’il est trop parfait pour être l’œuvre d’êtres humains et qu’il est donc d’origine divine. Pourtant, curieusement, si vous demandez à l’un de ces musulmans “convaincus” une explication sur l’une ou l’autre des contradictions et absurdités du Coran il vous renverra immédiatement aux oulémas musulmans.
J’ai expliqué dans de précédents articles que quand les Arabes avaient encore la liberté de choix ils n’aimaient pas le Coran. Quatorze siècles plus tard, nous n’avons toujours pas obtenu d’explications convaincantes à la moindre des centaines d’erreurs dont le Coran est truffé. En plus de ces erreurs, le Coran contient également de sérieuses faiblesses de style qui seraient inacceptables chez tout auteur qui se respecte. Peu importe à quel point certains versets peuvent être beaux, le lecteur impartial ne pourra jamais être convaincu par le Coran quand il y est confronté à une erreur.
Il parfaitement possible pour une personne ordinaire qui parle un peu voire même pas du tout l’arabe, de lire le Coran et d’identifier ses contradictions ou erreurs. Ce genre de lecture critique est à la portée de quiconque lit le Coran avec une impartiale objectivité. Cependant il n’est pas possible pour cette même personne de lire quelques versets et de prétendre qu’ils sont merveilleusement rédigés et doivent être d’origine divine. Une conclusion aussi catégorique dépend des goûts personnels et nécessite une connaissance approfondie de la langue arabe et de sa littérature que la plupart des non arabes n’ont pas. J’ai bien peur que les allégations des musulmans non arabes sur le fait qu’ils se sont convaincus eux-mêmes de l’Islam soient des outrances qui masquent l’inconfortable réalité qu’ils croient en l’Islam parce qu’ils croient les Arabes sur parole.
La question linguistique et le Coran
Le Coran fut révélé, ou plutôt produit dans le langage Quraysh, qui était l’arabe parlé par les Arabes de La Mecque, y compris Mahomet. Tant que Mahomet restait à La Mecque il n’y eut pas de question linguistique du tout puisque Mahomet n’avait de contact qu’avec son propre clan qui parlait son propre langage dialectal. La question des dialectes ne se posa qu’après que Mahomet ait pris le pouvoir à Yathrib et ait commencé à traiter avec des tribus arabes de régions distantes de l’Arabie. Même si l’on parlait l’arabe dans toute l’Arabie, chaque région avait son propre dialecte, ce qui est tout naturel dans un pays aussi étendu. La fierté tribale des Arabes ne s’accommodait pas de se voir demander de parler le dialecte d’une autre tribu quand il s’agissait de réciter le Coran. Mahomet ne voulait pas que cela empêche des Arabes de se joindre à lui, aussi autorisa-t-il les tribus à réciter le Coran à leur guise dans leurs propres dialectes. Comme pour tout le reste, ce fut Allah qui murmura à l’oreille de Mahomet de faire preuve de souplesse et de donner sa permission aux tribus. Ce geste divin fonctionna bien et préserva l’identité nationale de chaque tribu arabe.
Toutefois, ce geste, cette flexibilité divine, ne s’étendit pas aux autres nations, c’était un privilège réservé aux Arabes. Les autres peuples devaient apprendre l’Arabe pour réciter le Coran et pratiquer l’Islam. A ce stade, il faut absolument relever qu’alors que les anciens Arabes se sentaient offensés si on leur demandait de s’exprimer dans un autre dialecte que le leur, les musulmans contemporains sont heureux de réciter le Coran, non pas dans un dialecte différent, mais dans une langue qui leur est totalement étrangère et ce sans en prendre ombrage ! Les musulmans non arabes considèrent comme toute naturelle cette flagrante discrimination en faveur des Arabes.
Cette association entre la langue arabe et l’Islam fut une divine aubaine pour les Arabes; ils sont automatiquement devenus les dirigeants du monde de l’Islam juste parce qu’ils savent parler leur propre langue! Même si d’autres nations musulmanes peuvent produire de très bons oulémas, si ces oulémas ne maîtrisent pas la langue arabe à la perfection ils n’obtiendront pas un grand crédit dans le monde islamique.
Des signes d’égoïsme, de tribalisme et de racisme dans le comportement de Mahomet
Si l’on en juge par le nombre de privilèges personnels que Mahomet s’octroya, il fut probablement le chef le plus égoïste de l’Histoire. Voici juste un petit échantillon de ses privilèges :
• Mahomet, via le Coran, s’accorda le droit d’épouser autant de femmes qu’il le voudrait mais imposa aux autres musulmans de n’avoir que quatre épouses. En plus Mahomet s’autorisa à avoir des relations sexuelles avec toutes les femmes qui viendraient s’offrir à lui.
• Mahomet s’adjugea le droit d’épouser les veuves des autres musulmans mais déclara, via le Coran, que pour les autres musulmans ce serait un péché d’épouser ses femmes (après sa mort).
• Mahomet déclara que sa part du butin serait de 20%, les 80% restant devant être partagés entre le reste des Musulmans.
• Mahomet se considérait comme le premier parmi les êtres humains y compris les précédents prophètes. Selon lui, seul Allah lui était supérieur. En réalité, il n’y avait pas grande différence entre l’Islam et les autres religions qui étaient déjà pratiquées en Arabie sauf que Mahomet a accolé son nom à celui d’Allah.
• L’égocentrisme de Mahomet s’étendait à sa famille proche, appelée aal Muhammad, pour qui les Musulmans sont invités à prier lors de chaque prière islamique.
Le tribalisme de Mahomet
Même si ceux de la propre tribu de Mahomet, Quraysh, le méprisaient, lui firent la guerre et ne firent rien pour promouvoir l’Islam, le fait est que Mahomet les préférait au reste des Arabes. Mahomet préférait même la tribu de Quraysh aux tribus de Yathrib qui l’avaient pourtant soutenu, s’étaient converties à l’Islam et avaient combattu à ses côtés. Mahomet s’est servi des Arabes de Yarhrib, soit les tribus Aws et Khazraj, pour atteindre son but mais ni lui ni ses compagnons ne les respectaient. Les musulmans prétendent souvent qu’il y avait des motifs sociopolitiques derrière certains des mariages de Mahomet, que c’était pour lui un moyen de renforcer ses liens avec les différentes tribus. De ce point de vue, il est alors particulièrement remarquable que Mahomet ne se soit pas soucié d’épouser qui que ce soit des tribus Aws ou Khazraj. Mahomet préférait Quraysh, tout comme ses influents compagnons, qui étaient tous de Quraysh. Il est frappant qu’alors que les Aws et les Khazraj disparurent complètement de la face de l’Histoire, les Arabes Quraysh dirigèrent l’Empire islamique (khilafa) jusqu’en 1258 et ont continué à diriger certains états jusque de nos jours. Mahomet considérait que les Aws et les Khazraj étaient politiquement trop naïf et trop faibles pour qu’on leur confie le pouvoir. L'attitude de Mahomet envers les Aws et les Khazraj me rappelle une interview que j’avais vue il y a une dizaine d’années sur Aljazeera et dans laquelle on demandait au théologien islamique AbuHamza : pourquoi vivez-vous en Occident si vous le méprisez à ce point ? Sa réponse dut : “Nous autres Musulmans considérons l’Occident comme les toilettes, nous les visitons parce que nous en avons besoin mais dès que nous en avons fini, nous les quittons.”
Durant la bataille “du fossé” la tribu Quraysh fut à deux doigts de vaincre Mahomet dans sa propre forteresse, Yathrib, quelle assiégeait. Après la fin du siège, Mahomet se mit en tête qu’il y avait eu un complot entre les Bani Quraiza juifs et les Quraysh et il répliqua en massacrant tous les hommes bani Quraiza et en réduisant en esclavage les femmes et les enfants. Comparez cet abject génocide à la façon dont Mahomet traita Quraysh après qu’ils lui aient offert la capitulation de la ville de La Mecque. Alors que les Quraysh avaient pourtant non seulement conspiré mais fait la guerre à Mahomet, il les laissa aller librement. Mahomet demanda aux Arabes de Quraysh: “O Quraysh! Que croyez-vous que je vais vous faire ?” à quoi ils répondirent : “Rien, après tout tu es l’un des nôtres” alors Muhammad dit: “Vous pouvez tous aller en paix”
Qu’est que cela implique de devenir un musulman ?
Les non Arabes qui se convertissent à l’Islam subissent un changement complet de la personnalité qui affecte tout les aspects de leur vie. Ils prennent de nouveaux noms islamiques, qui sont en fait des noms arabes, commencent à apprendre l’arabe et se mettent à employer des mots arabes dans leur vie quotidienne. Non seulement ils s’habillent comme des Arabes mais ils commencent à penser comme des Arabes. Ils se mettent à aimer ce que les Arabes aiment et à détester ce que les Arabes détestent. Ils adoptent automatiquement le point de vue politique des Arabes sur des questions comme la Palestine et l’Irak, qui deviennent leur principaux centres d’intérêt tandis que les propres intérêts de leur pays deviennent des mesquineries.
Choisir de se convertir à l’Islam est une grave décision pour n’importe qui, mais les graves décisions ne sont pas nécessairement les bonnes. Tous les jours, il y a des milliers de personnes qui prennent la grave décision de se suicider ou de prendre la vie d’autres personnes. Il y a pourtant une chose certaine derrière chaque conversion à l’Islam et c’est qu’aucun des convertis ne comprend vraiment le Coran ou l'Islam.
Par Mumin Salih
Qu’est-ce qui pousse les non Arabes à embrasser une religion entièrement basée sur une langue qu’ils ne parlent ni ne comprennent et est de parti pris pour les Arabes ?
Il y de nombreuses intéressantes ironies associées à l’Islam ; celle qui attirait le plus mon regard était que les femmes, qui sont méprisées en Islam, tendent à être plus dévotes que les hommes musulmans. Toutefois, l’ironie que je trouve maintenant la plus piquante est qu’en général les non arabes tendent à être des musulmans plus dévots que les Arabes.
Les Arabes ont coutume de dire : Aazzana Allahu bil Islam, ce qui signifie que Allah nous a rendus (les Arabes) importants à cause de l’Islam. Le point de vue des Arabes est clair : ils n’étaient que d’insignifiantes tribus arabes du désert d’Arabie qui se sont ensuite retrouvées à la tête d’un immense empire islamique. Je ne pense pas qu’il y ait beaucoup d’arabes qui remettent en cause la pertinence de cette affirmation ; et des Arabes athées tendent aussi à abonder dans ce sens même s’ils considèrent que Mahomet était un menteur et un chef de bande sanguinaire. Cependant, le fait que les Arabes se porteraient bien mieux sans l’Islam n’est pas l’objet de cet article. Mais la question qui me vient à l’esprit chaque fois que je lis cet adage arabe est : existe-t-il une autre nation musulmane qui puisse affirmer qu’Allah l’a rendue importante à cause de l’Islam? Les Indiens ou les Iraniens, qui avaient un formidable empire au septième siècle, pourraient-ils faire une telle assertion ?
L’Islam, une religion basée sur un langage
L’Islam est la seule religion au monde qui soit complètement basée sur un langage. L’Islam ne peut survivre que dans un environnement linguistique arabe, si la langue arabe disparaît l’Islam disparaît aussi. Apprendre l’arabe est une obligation pour tous les musulmans pour pouvoir réciter le Coran et pratiquer les rites islamiques.
De nos jours, presque tous les musulmans affirment que leur dévotion à l’Islam provient de ce qu’ils sont convaincus de son authenticité et ils écartent le fait qu’ils l’ont hérité de leurs parents par le hasard de la naissance. Ces affirmations des musulmans suggèrent qu’ils ont étudié leur religion en profondeur et l’ont trouvée sans défaut. Etudier l’Islam implique de lire attentivement le Coran en arabe et d’en conclure qu’il est trop parfait pour être l’œuvre d’êtres humains et qu’il est donc d’origine divine. Pourtant, curieusement, si vous demandez à l’un de ces musulmans “convaincus” une explication sur l’une ou l’autre des contradictions et absurdités du Coran il vous renverra immédiatement aux oulémas musulmans.
J’ai expliqué dans de précédents articles que quand les Arabes avaient encore la liberté de choix ils n’aimaient pas le Coran. Quatorze siècles plus tard, nous n’avons toujours pas obtenu d’explications convaincantes à la moindre des centaines d’erreurs dont le Coran est truffé. En plus de ces erreurs, le Coran contient également de sérieuses faiblesses de style qui seraient inacceptables chez tout auteur qui se respecte. Peu importe à quel point certains versets peuvent être beaux, le lecteur impartial ne pourra jamais être convaincu par le Coran quand il y est confronté à une erreur.
Il parfaitement possible pour une personne ordinaire qui parle un peu voire même pas du tout l’arabe, de lire le Coran et d’identifier ses contradictions ou erreurs. Ce genre de lecture critique est à la portée de quiconque lit le Coran avec une impartiale objectivité. Cependant il n’est pas possible pour cette même personne de lire quelques versets et de prétendre qu’ils sont merveilleusement rédigés et doivent être d’origine divine. Une conclusion aussi catégorique dépend des goûts personnels et nécessite une connaissance approfondie de la langue arabe et de sa littérature que la plupart des non arabes n’ont pas. J’ai bien peur que les allégations des musulmans non arabes sur le fait qu’ils se sont convaincus eux-mêmes de l’Islam soient des outrances qui masquent l’inconfortable réalité qu’ils croient en l’Islam parce qu’ils croient les Arabes sur parole.
La question linguistique et le Coran
Le Coran fut révélé, ou plutôt produit dans le langage Quraysh, qui était l’arabe parlé par les Arabes de La Mecque, y compris Mahomet. Tant que Mahomet restait à La Mecque il n’y eut pas de question linguistique du tout puisque Mahomet n’avait de contact qu’avec son propre clan qui parlait son propre langage dialectal. La question des dialectes ne se posa qu’après que Mahomet ait pris le pouvoir à Yathrib et ait commencé à traiter avec des tribus arabes de régions distantes de l’Arabie. Même si l’on parlait l’arabe dans toute l’Arabie, chaque région avait son propre dialecte, ce qui est tout naturel dans un pays aussi étendu. La fierté tribale des Arabes ne s’accommodait pas de se voir demander de parler le dialecte d’une autre tribu quand il s’agissait de réciter le Coran. Mahomet ne voulait pas que cela empêche des Arabes de se joindre à lui, aussi autorisa-t-il les tribus à réciter le Coran à leur guise dans leurs propres dialectes. Comme pour tout le reste, ce fut Allah qui murmura à l’oreille de Mahomet de faire preuve de souplesse et de donner sa permission aux tribus. Ce geste divin fonctionna bien et préserva l’identité nationale de chaque tribu arabe.
Toutefois, ce geste, cette flexibilité divine, ne s’étendit pas aux autres nations, c’était un privilège réservé aux Arabes. Les autres peuples devaient apprendre l’Arabe pour réciter le Coran et pratiquer l’Islam. A ce stade, il faut absolument relever qu’alors que les anciens Arabes se sentaient offensés si on leur demandait de s’exprimer dans un autre dialecte que le leur, les musulmans contemporains sont heureux de réciter le Coran, non pas dans un dialecte différent, mais dans une langue qui leur est totalement étrangère et ce sans en prendre ombrage ! Les musulmans non arabes considèrent comme toute naturelle cette flagrante discrimination en faveur des Arabes.
Cette association entre la langue arabe et l’Islam fut une divine aubaine pour les Arabes; ils sont automatiquement devenus les dirigeants du monde de l’Islam juste parce qu’ils savent parler leur propre langue! Même si d’autres nations musulmanes peuvent produire de très bons oulémas, si ces oulémas ne maîtrisent pas la langue arabe à la perfection ils n’obtiendront pas un grand crédit dans le monde islamique.
Des signes d’égoïsme, de tribalisme et de racisme dans le comportement de Mahomet
Si l’on en juge par le nombre de privilèges personnels que Mahomet s’octroya, il fut probablement le chef le plus égoïste de l’Histoire. Voici juste un petit échantillon de ses privilèges :
• Mahomet, via le Coran, s’accorda le droit d’épouser autant de femmes qu’il le voudrait mais imposa aux autres musulmans de n’avoir que quatre épouses. En plus Mahomet s’autorisa à avoir des relations sexuelles avec toutes les femmes qui viendraient s’offrir à lui.
• Mahomet s’adjugea le droit d’épouser les veuves des autres musulmans mais déclara, via le Coran, que pour les autres musulmans ce serait un péché d’épouser ses femmes (après sa mort).
• Mahomet déclara que sa part du butin serait de 20%, les 80% restant devant être partagés entre le reste des Musulmans.
• Mahomet se considérait comme le premier parmi les êtres humains y compris les précédents prophètes. Selon lui, seul Allah lui était supérieur. En réalité, il n’y avait pas grande différence entre l’Islam et les autres religions qui étaient déjà pratiquées en Arabie sauf que Mahomet a accolé son nom à celui d’Allah.
• L’égocentrisme de Mahomet s’étendait à sa famille proche, appelée aal Muhammad, pour qui les Musulmans sont invités à prier lors de chaque prière islamique.
Le tribalisme de Mahomet
Même si ceux de la propre tribu de Mahomet, Quraysh, le méprisaient, lui firent la guerre et ne firent rien pour promouvoir l’Islam, le fait est que Mahomet les préférait au reste des Arabes. Mahomet préférait même la tribu de Quraysh aux tribus de Yathrib qui l’avaient pourtant soutenu, s’étaient converties à l’Islam et avaient combattu à ses côtés. Mahomet s’est servi des Arabes de Yarhrib, soit les tribus Aws et Khazraj, pour atteindre son but mais ni lui ni ses compagnons ne les respectaient. Les musulmans prétendent souvent qu’il y avait des motifs sociopolitiques derrière certains des mariages de Mahomet, que c’était pour lui un moyen de renforcer ses liens avec les différentes tribus. De ce point de vue, il est alors particulièrement remarquable que Mahomet ne se soit pas soucié d’épouser qui que ce soit des tribus Aws ou Khazraj. Mahomet préférait Quraysh, tout comme ses influents compagnons, qui étaient tous de Quraysh. Il est frappant qu’alors que les Aws et les Khazraj disparurent complètement de la face de l’Histoire, les Arabes Quraysh dirigèrent l’Empire islamique (khilafa) jusqu’en 1258 et ont continué à diriger certains états jusque de nos jours. Mahomet considérait que les Aws et les Khazraj étaient politiquement trop naïf et trop faibles pour qu’on leur confie le pouvoir. L'attitude de Mahomet envers les Aws et les Khazraj me rappelle une interview que j’avais vue il y a une dizaine d’années sur Aljazeera et dans laquelle on demandait au théologien islamique AbuHamza : pourquoi vivez-vous en Occident si vous le méprisez à ce point ? Sa réponse dut : “Nous autres Musulmans considérons l’Occident comme les toilettes, nous les visitons parce que nous en avons besoin mais dès que nous en avons fini, nous les quittons.”
Durant la bataille “du fossé” la tribu Quraysh fut à deux doigts de vaincre Mahomet dans sa propre forteresse, Yathrib, quelle assiégeait. Après la fin du siège, Mahomet se mit en tête qu’il y avait eu un complot entre les Bani Quraiza juifs et les Quraysh et il répliqua en massacrant tous les hommes bani Quraiza et en réduisant en esclavage les femmes et les enfants. Comparez cet abject génocide à la façon dont Mahomet traita Quraysh après qu’ils lui aient offert la capitulation de la ville de La Mecque. Alors que les Quraysh avaient pourtant non seulement conspiré mais fait la guerre à Mahomet, il les laissa aller librement. Mahomet demanda aux Arabes de Quraysh: “O Quraysh! Que croyez-vous que je vais vous faire ?” à quoi ils répondirent : “Rien, après tout tu es l’un des nôtres” alors Muhammad dit: “Vous pouvez tous aller en paix”
Qu’est que cela implique de devenir un musulman ?
Les non Arabes qui se convertissent à l’Islam subissent un changement complet de la personnalité qui affecte tout les aspects de leur vie. Ils prennent de nouveaux noms islamiques, qui sont en fait des noms arabes, commencent à apprendre l’arabe et se mettent à employer des mots arabes dans leur vie quotidienne. Non seulement ils s’habillent comme des Arabes mais ils commencent à penser comme des Arabes. Ils se mettent à aimer ce que les Arabes aiment et à détester ce que les Arabes détestent. Ils adoptent automatiquement le point de vue politique des Arabes sur des questions comme la Palestine et l’Irak, qui deviennent leur principaux centres d’intérêt tandis que les propres intérêts de leur pays deviennent des mesquineries.
Choisir de se convertir à l’Islam est une grave décision pour n’importe qui, mais les graves décisions ne sont pas nécessairement les bonnes. Tous les jours, il y a des milliers de personnes qui prennent la grave décision de se suicider ou de prendre la vie d’autres personnes. Il y a pourtant une chose certaine derrière chaque conversion à l’Islam et c’est qu’aucun des convertis ne comprend vraiment le Coran ou l'Islam.
Dernière édition par caius le Mer 24 Déc 2008 - 12:11, édité 1 fois
caius- Affranchi des Paradoxes
- Nombre de messages : 190
Identité métaphysique : aucune
Humeur : bonne
Date d'inscription : 28/04/2008
Re: Les musulmans non arabes
Les seuls vrais musulmans
Au bout de treize années de prédication de l’Islam à La Mecque, seule une poignée d’adeptes s’étaient joints à Mahomet, c’étaient tous des amis et des parents à lui. Ces Arabes sont les seuls musulmans qui acceptèrent librement l’Islam sans y être forcés. L’objet de cet article n’est pas d’examiner les raisons pour lesquelles Mahomet réussit à recruter cette poignée d’adeptes, mais, dans toute cité de même taille, le moindre chef de gang est à même de recruter un nombre d’acolytes similaire voire supérieur. Il est plus que probable que ces gens étaient mus par la personnalité et le bagout de Mahomet, le facteur Coran était insignifiant considérant que seuls quelques versets à peine avaient déjà été produits. Tous ceux qu’il convertit par la suite à l’Islam le firent pour obtenir des avantages personnels ou politiques ou simplement par peur.
Les suivants à se joindre à Mahomet furent les délégués de la cité de Yathrib qui firent la connaissance de Mahomet durant leur hajj pré-islamique à La Mecque. Les délégués représentaient les tribus Aws et Khazraj qui pâtissaient de puis des années de virulentes rivalités tribales et de continuelles querelles politiques. Mahomet convainquit les délégués qu’il était persécuté à La Mecque et qu’il avait de vastes projets pour l’Islam. Les Arabes de Yathrib furent probablement tentés par la perspective de transformer leur cité en un centre religieux et tombèrent d’accord pour autoriser Mahomet à s’installer dans leur ville avec l’espoir que cela puisse donner un nouveau départ à Yathrib. Après l’arrivée de Mahomet à Yathrib, toute la population arabe de la ville se convertit en une nuit à l’Islam ! Ce qui c’était passé à Yathrib n’était qu’une conversion de masse pour des motifs politiques car la plupart des habitants ordinaires de la cité n’avaient même pas entendu parler du Coran.
Dix ans plus tard, Mahomet conquerrait La Mecque, la cité qui l’avait rejeté et s’était opposée à l’Islam pendant vingt-trois années. Là aussi, la population tout entière de la ville conquise se convertit à l’Islam dans les heures qui suivirent. Il est naïf de croire que les Arabes de La Mecque, qui avaient vomi le Coran pendant deux décennies, auraient subitement réalisé que c’était un livre si bon qu’il devait être d’origine divine. Cette conversion ne fut obtenue que sous la menace des armes ; Mahomet lança notoirement aux Arabes de La Mecque : aslim taslam, ce qui signifie « devenez musulmans et vous serez sauf. »
Ce scénario se répéta dans tous les autres pays conquis par les armées musulmanes. Les nations occupées avaient trois options: se convertir, devenir des dhimmis et payer de lourdes taxes (appelée jizia) ou se battre (souvent une bataille perdue d’avance). Se convertir à l’Islam était généralement le moindre mal, mais personne ne peut appeler cela un choix libre, après tout, aucun de ces peuples ne parlait l’arabe et ils n’avaient que de vagues connaissances du Coran ou de l’Islam.
Je reçois souvent des courriels de musulmans qui n’aiment pas mes articles sur le Coran. Jusqu’à présent, tout les courriels que j’ai reçu provenaient de musulmans non arabes qui défendaient le Coran en employant la stratégie islamique habituelle. Ils prétendent que le Coran est clair, logique et plein de sagesse ; le problème n’est jamais dans le Coran mais dans mon incompréhension. Ce que je trouve piquant, c’est qu’un certain nombre de ces gens y expriment ouvertement leur haine des Arabes, les accusant de malhonnêteté. Je ne me suis jamais abaissé à m’engager dans des controverses racistes mais j’attends toujours que l’un d’eux m’explique pourquoi, dès qu’il est question du Coran, ils s’en remettent à ces Arabes si malhonnêtes. Il serait aussi très intéressant de savoir ce qui rend si attirant pour les non Arabes une religion qui réserve les premières places aux Arabes.
L’Islam est une religion arabe créée par un Arabe pour les Arabes. Elle est basée sur un livre en arabe que même les Arabes n’aimaient pas. La dévotion envers l’Islam des musulmans non arabes défie la logique, non seulement parce que l’Islam les défavorise, mais aussi parce qu’ils croient en une religion qui repose entièrement sur une langue étrangère qu’ils ne parlent ni ne comprennent.
Au bout de treize années de prédication de l’Islam à La Mecque, seule une poignée d’adeptes s’étaient joints à Mahomet, c’étaient tous des amis et des parents à lui. Ces Arabes sont les seuls musulmans qui acceptèrent librement l’Islam sans y être forcés. L’objet de cet article n’est pas d’examiner les raisons pour lesquelles Mahomet réussit à recruter cette poignée d’adeptes, mais, dans toute cité de même taille, le moindre chef de gang est à même de recruter un nombre d’acolytes similaire voire supérieur. Il est plus que probable que ces gens étaient mus par la personnalité et le bagout de Mahomet, le facteur Coran était insignifiant considérant que seuls quelques versets à peine avaient déjà été produits. Tous ceux qu’il convertit par la suite à l’Islam le firent pour obtenir des avantages personnels ou politiques ou simplement par peur.
Les suivants à se joindre à Mahomet furent les délégués de la cité de Yathrib qui firent la connaissance de Mahomet durant leur hajj pré-islamique à La Mecque. Les délégués représentaient les tribus Aws et Khazraj qui pâtissaient de puis des années de virulentes rivalités tribales et de continuelles querelles politiques. Mahomet convainquit les délégués qu’il était persécuté à La Mecque et qu’il avait de vastes projets pour l’Islam. Les Arabes de Yathrib furent probablement tentés par la perspective de transformer leur cité en un centre religieux et tombèrent d’accord pour autoriser Mahomet à s’installer dans leur ville avec l’espoir que cela puisse donner un nouveau départ à Yathrib. Après l’arrivée de Mahomet à Yathrib, toute la population arabe de la ville se convertit en une nuit à l’Islam ! Ce qui c’était passé à Yathrib n’était qu’une conversion de masse pour des motifs politiques car la plupart des habitants ordinaires de la cité n’avaient même pas entendu parler du Coran.
Dix ans plus tard, Mahomet conquerrait La Mecque, la cité qui l’avait rejeté et s’était opposée à l’Islam pendant vingt-trois années. Là aussi, la population tout entière de la ville conquise se convertit à l’Islam dans les heures qui suivirent. Il est naïf de croire que les Arabes de La Mecque, qui avaient vomi le Coran pendant deux décennies, auraient subitement réalisé que c’était un livre si bon qu’il devait être d’origine divine. Cette conversion ne fut obtenue que sous la menace des armes ; Mahomet lança notoirement aux Arabes de La Mecque : aslim taslam, ce qui signifie « devenez musulmans et vous serez sauf. »
Ce scénario se répéta dans tous les autres pays conquis par les armées musulmanes. Les nations occupées avaient trois options: se convertir, devenir des dhimmis et payer de lourdes taxes (appelée jizia) ou se battre (souvent une bataille perdue d’avance). Se convertir à l’Islam était généralement le moindre mal, mais personne ne peut appeler cela un choix libre, après tout, aucun de ces peuples ne parlait l’arabe et ils n’avaient que de vagues connaissances du Coran ou de l’Islam.
Je reçois souvent des courriels de musulmans qui n’aiment pas mes articles sur le Coran. Jusqu’à présent, tout les courriels que j’ai reçu provenaient de musulmans non arabes qui défendaient le Coran en employant la stratégie islamique habituelle. Ils prétendent que le Coran est clair, logique et plein de sagesse ; le problème n’est jamais dans le Coran mais dans mon incompréhension. Ce que je trouve piquant, c’est qu’un certain nombre de ces gens y expriment ouvertement leur haine des Arabes, les accusant de malhonnêteté. Je ne me suis jamais abaissé à m’engager dans des controverses racistes mais j’attends toujours que l’un d’eux m’explique pourquoi, dès qu’il est question du Coran, ils s’en remettent à ces Arabes si malhonnêtes. Il serait aussi très intéressant de savoir ce qui rend si attirant pour les non Arabes une religion qui réserve les premières places aux Arabes.
L’Islam est une religion arabe créée par un Arabe pour les Arabes. Elle est basée sur un livre en arabe que même les Arabes n’aimaient pas. La dévotion envers l’Islam des musulmans non arabes défie la logique, non seulement parce que l’Islam les défavorise, mais aussi parce qu’ils croient en une religion qui repose entièrement sur une langue étrangère qu’ils ne parlent ni ne comprennent.
caius- Affranchi des Paradoxes
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Humeur : bonne
Date d'inscription : 28/04/2008
Re: Les musulmans non arabes
Qu’est-ce qui pousse les non Arabes à embrasser une religion entièrement basée sur une langue qu’ils ne parlent ni ne comprennent et est de parti pris pour les Arabes ?
tu n'as qu'à leur poser la question.
tu sais prkoi?parce que les convertis s'interessent a la religion, l'etudient et la prennent au serieux(sinn prkoi se convertire?) alors que les musulmans arabes ils heritent de la religion et ont tendance a suivre leur parent ds la pratique en pensant que c'est suffisant.l’ironie que je trouve maintenant la plus piquante est qu’en général les non arabes tendent à être des musulmans plus dévots que les Arabes.
honêtement j'ai pas la force de tt lire c'est trop long,
c'est une bonne question prquoi des nn arabes se convertissent a l'islam, malgré tt ce qui se dit sur l'islam, malgré l'image qu'o en donne, malgré la diabolisation de l'islam?
Invité- Invité
Re: Les musulmans non arabes
Salam,
Juste noter que le mot arabe ne veut forcement pas dire musulman..
Juste noter que le mot arabe ne veut forcement pas dire musulman..
Humble avis- Maître du Temps
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Re: Les musulmans non arabes
caius a écrit:Les musulmans non arabes
Par Mumin Salih
Qu’est-ce qui pousse les non Arabes à embrasser une religion entièrement basée sur une langue qu’ils ne parlent ni ne comprennent et est de parti pris pour les Arabes ?
.
C'est le pouvoir fascinant de l'Islam qui a toujours fait grande impression même sur ceux qui n'en ont entendu parler que de très loin, n'a jamais laissé personne indifférent. Tous ces non-arabes qui se réfugient dans l’Islam y trouvent une spiritualité et une éthique de vie à la dimension de l’homme, qu’ils n’ont pas trouvées ailleurs. Les non-arabes qui se convertissent à l’islam ne sont pas seulement africains et asiatiques. Certains pays d’Europe, comme les Pays-Bas, sont déjà à majorité musulmane. Cette tendance, soutenue par la croissance démographique, l’immigration et les conversions de plus en plus nombreuses, est telle que dans deux décennies au plus tard les autres religions feront figure de sectes locales. Ce n'est pas en décortiquant un verset en y cherchant une logique mathématique qu'on peut juger d'une religion ou découvrir sa grandeur et son authenticité. On n'analyse pas le Coran comme on le ferait d'un texte de Balzac.
_bradou- EXCLU DU FORUM
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Re: Les musulmans non arabes
Les chrétiens font pareil...Les algériens christianisés prennent souvent des noms "chrétiens " aussi.J'ai un Jean algérien dans mes contacts.
Nelson mandela a reçut le prénom chrétien "Nelson" après la conversion de sa mère...
Si il raconte qu'on ne peut pas comprendre le coran comme lui peut il le comprendre ? Il est arabisant lui même ?Si les francophones ne peuvent pas faire confiance aux Arabophones musulmans pourquoi lui pourrait faire confiance aux arabisant athées qu'il lit ?
Déjà ce qu'il dit est ridicule vu que je doute personnellement que l'arabophone moderne puisse lire l'arabe coranique.Humble avis tu lis le coran dans le texte ?Ils n'accepteraient jamais les erreurs de traduction ridicule que je vois...
On ne pas dire grand chose du discours d'un d'athée qui explique qu'il n'y a rien à comprendre à un truc qu'il ne comprend pas !
Est ce que lui sait si les évangiles sont bien traduite ?C'est en grecque ancien ... Et ça rapporte la parole d'un homme qui parlait araméen...
Bref bref bref
Maintenant c'est vrai que l'islam a un aspect ethnique quand on se convertit tout comme le christianisme, le judaïsme et le shintoïsme si on s'y convertit..
Nelson mandela a reçut le prénom chrétien "Nelson" après la conversion de sa mère...
Si il raconte qu'on ne peut pas comprendre le coran comme lui peut il le comprendre ? Il est arabisant lui même ?Si les francophones ne peuvent pas faire confiance aux Arabophones musulmans pourquoi lui pourrait faire confiance aux arabisant athées qu'il lit ?
Déjà ce qu'il dit est ridicule vu que je doute personnellement que l'arabophone moderne puisse lire l'arabe coranique.Humble avis tu lis le coran dans le texte ?Ils n'accepteraient jamais les erreurs de traduction ridicule que je vois...
On ne pas dire grand chose du discours d'un d'athée qui explique qu'il n'y a rien à comprendre à un truc qu'il ne comprend pas !
Est ce que lui sait si les évangiles sont bien traduite ?C'est en grecque ancien ... Et ça rapporte la parole d'un homme qui parlait araméen...
Bref bref bref
Maintenant c'est vrai que l'islam a un aspect ethnique quand on se convertit tout comme le christianisme, le judaïsme et le shintoïsme si on s'y convertit..
Dernière édition par Qwatybaal le Sam 27 Déc 2008 - 17:50, édité 2 fois
Invité- Invité
Re: Les musulmans non arabes
qd qq se convertit a l'islam il n'est pas obligé e prendre un prenom arabe ou musulman, il peut garder son prenom ce n'est qu'une formalité, je te rejoins en ce qui concerne le coran, malgré que je sais lire et ecrire arabe on peut pas dire que je comprend le sens des phrases lorsque je lis le coran, c'est pr ça qu'il y a des livres edités a côté pr expliquer les versets coraniques.
Invité- Invité
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