Carnet de voyage
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Carnet de voyage
De retour de vacances d'Europe Centrale (comme souvent) et voici quelques photos qui ont été faites.
Sankt Pölten (Autriche) - fête de la culture.
Bratislava (Slovaquie) : ville pas très grande pour une capitale, mais très belle. La vieille ville, entièrement piétonne est magnifique et à l'extérieur, les restes du communisme sont bien présents.
Pour les prix, à part les transports et les glaces, ce n'est guère différent d'une ville comme Paris, sauf si on sort de la vieille ville.
Sankt Pölten (Autriche) - fête de la culture.
Bratislava (Slovaquie) : ville pas très grande pour une capitale, mais très belle. La vieille ville, entièrement piétonne est magnifique et à l'extérieur, les restes du communisme sont bien présents.
Pour les prix, à part les transports et les glaces, ce n'est guère différent d'une ville comme Paris, sauf si on sort de la vieille ville.
_Matoll- Maître du Temps
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Re: Carnet de voyage
Komárno (Slovaquie) : petite ville à quelques kilomètres de la frontière avec la Hongrie. Autant le centre ville est superbe et je ne m'attendais pas à une telle beauté, autant les immeubles HLM situés à 500 mètres sont dans un état si délabré qu'il est fort peu probable qu'en France on en trouve dans cet état. Le super beau d'un côté et le super laid de l'autre, il serait bien que les retombées touristiques profitent d'abord aux habitants de cette ville.
Cette ville a fait d'ailleurs parler d'elle par des conflits en 2009 entre slovaques et minorité hongroise où le chef d'Etat avait prôné comme seule langue le slovaque, ce qui a créé de vives tensions entre les deux pays. Il faut rappeler que cette ville était hongroise avant 1918, et une forte communauté hongroise est restée à Komárno (Komárom en hongrois).
Esztergom (Hongrie) : après une petite randonnée dans les monts à proximité, une très belle ville qui, comme Bratislava, est bordée par le Danube.
Cette ville a fait d'ailleurs parler d'elle par des conflits en 2009 entre slovaques et minorité hongroise où le chef d'Etat avait prôné comme seule langue le slovaque, ce qui a créé de vives tensions entre les deux pays. Il faut rappeler que cette ville était hongroise avant 1918, et une forte communauté hongroise est restée à Komárno (Komárom en hongrois).
Esztergom (Hongrie) : après une petite randonnée dans les monts à proximité, une très belle ville qui, comme Bratislava, est bordée par le Danube.
_Matoll- Maître du Temps
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Re: Carnet de voyage
Visegrád (Hongrie) et sa forteresse : situé à une vingtaine de kilomètres d'Esztergom, ce lieu symbolique a toute une histoire car ce lieu datant du IXème siècle, dressé par les mongols, il a su résister à l'invasion des Turcs. Cette forteresse est visitable avec des commentaires en français (rare en Hongrie). Erigé à 350 mètres de hauteur, c'est le meilleur point de vue pour contempler la célèbre boucle du Danube et les monts Pilis proches. Et ce qui est sympa également, ce sont les nombreuses randonnées possibles à proximité.
Après la traversée de Budapest (attention à la police très pointilleuse sur la vitesse), direction la Hongrie de l'Est via l'autoroute et des routes à deux voies assez dangereuses.
Hollókő (Hongrie) : ce village est très particulier car, classé patrimoine de l'UNESCO, un des quartiers comporte une cinquantaine de maisons rustiques datant du XVIIème siècle où il a été conservé la tradition de la vie hongroise à l'époque, habitées autrement par les "Palóc", groupe ethnique à culture traditionnelle spécifique de la région dont les origines demeurent assez méconnues. Cette ethnie avait la particularité de bien séparer le mariage et les sentiments (amour).
Kékestető - point culminant de la Hongrie (1014 m) : fierté de la Hongrie d'avoir un sommet où il est possible de faire du ski, la Hongrie n'est donc pas réputée pour ses montagnes. Le temps étant brumeux, il était difficile de prendre un superbe panorama.
Après la traversée de Budapest (attention à la police très pointilleuse sur la vitesse), direction la Hongrie de l'Est via l'autoroute et des routes à deux voies assez dangereuses.
Hollókő (Hongrie) : ce village est très particulier car, classé patrimoine de l'UNESCO, un des quartiers comporte une cinquantaine de maisons rustiques datant du XVIIème siècle où il a été conservé la tradition de la vie hongroise à l'époque, habitées autrement par les "Palóc", groupe ethnique à culture traditionnelle spécifique de la région dont les origines demeurent assez méconnues. Cette ethnie avait la particularité de bien séparer le mariage et les sentiments (amour).
Kékestető - point culminant de la Hongrie (1014 m) : fierté de la Hongrie d'avoir un sommet où il est possible de faire du ski, la Hongrie n'est donc pas réputée pour ses montagnes. Le temps étant brumeux, il était difficile de prendre un superbe panorama.
_Matoll- Maître du Temps
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Re: Carnet de voyage
Tokaj (Hongrie) : ville située au nord-est de la Hongrie, non loin de l'Ukraine, son nom ne laisse pas indifférent. La ville porte le nom d'un célèbre vin, qui rappelle certains vins d'Alsace comme le Gewurztraminer. Plus il est ancien, plus il est liquoreux (et plus il est cher).
Il est proposé en dégustation dans certaines caves ou magasins, mais l'inconvénient, c'est le taux d'alcoolémie en Hongrie qui est à 0 pour conduire !
Au sommet à proximité par une route défoncée, une superbe vue des environs dont la plaine de la Puszta, sorte de steppe réputée pour ses chevaux.
Un signe de changement de temps commençait à se faire sentir, car le temps devenait de plus en plus orageux. Il faisait 31 degrés, et je me dirigeais maintenant vers la Slovaquie. Je suis passé dans des villes et villages à forte communauté Rom, et la pauvreté est alarmante avec une population plutôt sur la défensive. Mais c'est pire en Slovaquie à la périphérie de Rožňava. A peine quelques pas dans la montagne pour une randonnée, la pluie et les orages faisaient leur apparition, et une pluie en continu qui m'a contraint à changer mon programme (j'avais prévu des randonnées dans les Tatras et ce paysage bucolique de Horehonie, quelle malchance !
Voici l'entrée de Poprad, garni d'immeubles communistes et la place centrale d'une très belle ville à 25 km à l'est, Levoča avec son église magnifique.
Pour les températures, le lendemain matin, 3 degrés !
Et le regret du temps pour ne pas voir ce superbe château de Spis, en comparaison par beau temps.
Finalement, je décide d'aller un peu plus à l'est pour visiter la ville de Košice, 2e ville de Slovaquie et surpris par la beauté de cette ville (malgré la pluie).
Le tramway, pas de toute fraîcheur... Mais qu'importe, il fonctionne très bien.
Il est proposé en dégustation dans certaines caves ou magasins, mais l'inconvénient, c'est le taux d'alcoolémie en Hongrie qui est à 0 pour conduire !
Au sommet à proximité par une route défoncée, une superbe vue des environs dont la plaine de la Puszta, sorte de steppe réputée pour ses chevaux.
Un signe de changement de temps commençait à se faire sentir, car le temps devenait de plus en plus orageux. Il faisait 31 degrés, et je me dirigeais maintenant vers la Slovaquie. Je suis passé dans des villes et villages à forte communauté Rom, et la pauvreté est alarmante avec une population plutôt sur la défensive. Mais c'est pire en Slovaquie à la périphérie de Rožňava. A peine quelques pas dans la montagne pour une randonnée, la pluie et les orages faisaient leur apparition, et une pluie en continu qui m'a contraint à changer mon programme (j'avais prévu des randonnées dans les Tatras et ce paysage bucolique de Horehonie, quelle malchance !
Voici l'entrée de Poprad, garni d'immeubles communistes et la place centrale d'une très belle ville à 25 km à l'est, Levoča avec son église magnifique.
Pour les températures, le lendemain matin, 3 degrés !
Et le regret du temps pour ne pas voir ce superbe château de Spis, en comparaison par beau temps.
Finalement, je décide d'aller un peu plus à l'est pour visiter la ville de Košice, 2e ville de Slovaquie et surpris par la beauté de cette ville (malgré la pluie).
Le tramway, pas de toute fraîcheur... Mais qu'importe, il fonctionne très bien.
_Matoll- Maître du Temps
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Re: Carnet de voyage
Bon matin et merci pour cette sympathique ballade en Europe centrale.
freefox- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: Carnet de voyage
Elle est pas mieux ainsi cette église d'Holloko?
freefox- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: Carnet de voyage
Bien sûr que oui, et pour l'avoir éclairci. Elle est bien plus belle ainsi.
_Matoll- Maître du Temps
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Re: Carnet de voyage
Lassé par la pluie en Slovaquie, je reviens donc en Hongrie espérant que la météo soit plus clémente. A peine arrivé à Miskolc, la pluie laissait place à des éclaircies, puis au soleil. Cependant, la ville, que je ne connaissais pas même de nom, ne ressemble pas trop aux autres villes, plutôt jolies comme Pécs ou Szeged. En me renseignant davantage, cela peut se comprendre, car la ville est réputée pour son passé d'industrie lourde. Excepté la rue principale piétonne et pour le tramway, Széchenyi István út (nom de la rue) avec de très beaux monuments, la ville est composée de vieilles industries et d'immeubles HLM assez vétustes.
Ce qui semble plus sympa, ce sont les alentours, notamment un très joli parc naturel à Lillafüred et le superbe château à proximité de Miskolc, à Diósgyõr.
Le lendemain, je ne savais pas encore ma destination : Roumanie ou vers le lac Balaton ? Mon doute était la qualité des routes déplorables en Roumanie avec un rallongement du parcours de 800 kilomètres, et le lac Balaton permettait de faire un peu de bronzette et de profiter de l'air de ce très beau lac. Toutefois, ne pas faire en Roumanie, les Maramureș (" maramourech" pour bien le prononcer), une si belle région pittoresque, ne serait pas un plus agréable.
Ce qui m'a décidé est le beau temps, et c'est la Roumanie qui sera donc prévue.
Je reprends l'autoroute direction Debrecen, en constatant qu'il n'y avait presque personne et on peut le comprendre. Le prix du carburant est bien plus élevé qu'en France (1 litre à 1.60 € pour le diesel ou 450 HUF), beaucoup de hongrois et surtout à l'est ont peu d'argent, et en plus, il faut payer la vignette autoroutière dont le prix a augmenté de près de 100 % en un an (la vignette 10 jours).
Ce qui semble plus sympa, ce sont les alentours, notamment un très joli parc naturel à Lillafüred et le superbe château à proximité de Miskolc, à Diósgyõr.
Le lendemain, je ne savais pas encore ma destination : Roumanie ou vers le lac Balaton ? Mon doute était la qualité des routes déplorables en Roumanie avec un rallongement du parcours de 800 kilomètres, et le lac Balaton permettait de faire un peu de bronzette et de profiter de l'air de ce très beau lac. Toutefois, ne pas faire en Roumanie, les Maramureș (" maramourech" pour bien le prononcer), une si belle région pittoresque, ne serait pas un plus agréable.
Ce qui m'a décidé est le beau temps, et c'est la Roumanie qui sera donc prévue.
Je reprends l'autoroute direction Debrecen, en constatant qu'il n'y avait presque personne et on peut le comprendre. Le prix du carburant est bien plus élevé qu'en France (1 litre à 1.60 € pour le diesel ou 450 HUF), beaucoup de hongrois et surtout à l'est ont peu d'argent, et en plus, il faut payer la vignette autoroutière dont le prix a augmenté de près de 100 % en un an (la vignette 10 jours).
_Matoll- Maître du Temps
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Date d'inscription : 16/03/2011
Re: Carnet de voyage
C'est le premier passage avec la douane (malheureusement, pour les autres pays, il n'y a plus de douane) : côté Hongrie, une simple carte d'identité et côté roumain, c'était l'heure du déjeuner car il n'y avait personne. En effet, il faut rajouter une heure au passage en Roumanie.
Alors que la route entre Debrecen et la Roumanie est complètement dégradée, la surprise est côté roumain, avec des routes en très bon état. Le gouvernement roumain s'est enfin décidé à rénover en partie son patrimoine routier. Toutefois, je reste réaliste, car ça m'étonnerait que cela le soit sur l'ensemble de mon parcours. Une vignette routière est obligatoire, mais rien ne presse, c'est la Roumanie, les règles ne sont pas les mêmes qu'en Hongrie.
Excepté à Carei où les travaux sont délirants (ils découpent la chaussée sur 15 cm d'épaisseur sur de grandes portions aux endroits les plus dégradés, sans signalisation, et chacun passe là où il peut en évitant de prendre un véhicule en face), voici Satu Mare, où j'ai quelque difficulté à me réhabituer à l'ambiance du pays.
Voici la campagne roumaine, plus pittoresque, mais très pauvre aussi. Les gens nous dévisagent, plus par curiosité car très souvent, on rencontre des personnes très sympas au langage comme je l'apprécie, cru et brut de décoffrage (pas de politiquement correct, même si on ne partage pas toujours leurs points de vue). Quelques kilomètres après Satu Mare vers les Maramureș, comme je pouvais m'y attendre, les routes sont en très mauvais état, et même je me suis demandé si j'allais continuer surtout après un passage sinueux en forêt, les plaques de béton étant complètement explosées, mais la suite était moins pire. En effet, faire 60 kilomètres en Roumanie, c'est long car entre les passages de cols, les longs villages à traverser, l'état des routes, les charrettes à cheval, les personnes qui marchent sur la route (pas de trottoirs), et la conduite "à la roumaine". Cependant, c'est moins long lorsque les paysages sont superbes, qu'on rencontre des gens sympas et qu'on s'immisce dans cette région où le temps semble s'être arrêté. A quoi bon regarder l'heure ? Il est mieux de contempler et d'apprécier les choses.
Alors que la route entre Debrecen et la Roumanie est complètement dégradée, la surprise est côté roumain, avec des routes en très bon état. Le gouvernement roumain s'est enfin décidé à rénover en partie son patrimoine routier. Toutefois, je reste réaliste, car ça m'étonnerait que cela le soit sur l'ensemble de mon parcours. Une vignette routière est obligatoire, mais rien ne presse, c'est la Roumanie, les règles ne sont pas les mêmes qu'en Hongrie.
Excepté à Carei où les travaux sont délirants (ils découpent la chaussée sur 15 cm d'épaisseur sur de grandes portions aux endroits les plus dégradés, sans signalisation, et chacun passe là où il peut en évitant de prendre un véhicule en face), voici Satu Mare, où j'ai quelque difficulté à me réhabituer à l'ambiance du pays.
Voici la campagne roumaine, plus pittoresque, mais très pauvre aussi. Les gens nous dévisagent, plus par curiosité car très souvent, on rencontre des personnes très sympas au langage comme je l'apprécie, cru et brut de décoffrage (pas de politiquement correct, même si on ne partage pas toujours leurs points de vue). Quelques kilomètres après Satu Mare vers les Maramureș, comme je pouvais m'y attendre, les routes sont en très mauvais état, et même je me suis demandé si j'allais continuer surtout après un passage sinueux en forêt, les plaques de béton étant complètement explosées, mais la suite était moins pire. En effet, faire 60 kilomètres en Roumanie, c'est long car entre les passages de cols, les longs villages à traverser, l'état des routes, les charrettes à cheval, les personnes qui marchent sur la route (pas de trottoirs), et la conduite "à la roumaine". Cependant, c'est moins long lorsque les paysages sont superbes, qu'on rencontre des gens sympas et qu'on s'immisce dans cette région où le temps semble s'être arrêté. A quoi bon regarder l'heure ? Il est mieux de contempler et d'apprécier les choses.
_Matoll- Maître du Temps
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Date d'inscription : 16/03/2011
Re: Carnet de voyage
En soirée, voici Sighetu Marmației, ville spéciale car si elle est en plein dans cette belle région des Maramureș, son histoire est bien chargée avec la période des prisons communistes et d'avoir été marquée par la seconde guerre mondiale. Cette ville est le carrefour pour le passage en Ukraine juste de l'autre côté de la rivière mouvementée, la Tisa, mais aussi de tous les trafics des plus illégaux (merci l'Union Européenne avec les frontières de passoire). La ville est plutôt jolie, mais l'ambiance est particulière.
Que faire en soirée ? Et pourquoi pas aller voir en face, en Ukraine ? Voici la douane et l'arrivée en Ukraine. Je mets des photos que je n'ai pas pu prendre car j'y suis allé quand il faisait nuit. J'y suis allé à pied car les passages en frontière en voiture sont longs. Les douaniers roumains sont plutôt sympas, ce qui est moins le cas des douaniers ukrainiens, assez soviétiques dans leur façon de faire. La ville frontalière est Solotvyno, ville réputée pour l'exploitation de mines de sel, dont certaines carrières ont été réhabilitées en zones de baignade. La ville en elle-même est petite, pas d'éclairage public, bien précaire et la vie des habitants ne doit pas être facile.
Que faire en soirée ? Et pourquoi pas aller voir en face, en Ukraine ? Voici la douane et l'arrivée en Ukraine. Je mets des photos que je n'ai pas pu prendre car j'y suis allé quand il faisait nuit. J'y suis allé à pied car les passages en frontière en voiture sont longs. Les douaniers roumains sont plutôt sympas, ce qui est moins le cas des douaniers ukrainiens, assez soviétiques dans leur façon de faire. La ville frontalière est Solotvyno, ville réputée pour l'exploitation de mines de sel, dont certaines carrières ont été réhabilitées en zones de baignade. La ville en elle-même est petite, pas d'éclairage public, bien précaire et la vie des habitants ne doit pas être facile.
_Matoll- Maître du Temps
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Date d'inscription : 16/03/2011
Re: Carnet de voyage
De nouveau en Roumanie, je passe par Baïa Mare, capitale des Maramureș, après être passé par la route bucolique, avec quelques beaux villages. La route est en travaux, et en Roumanie, il est préférable que la route ne le soit pas. La photo avec les maisons en bois en bord de l'eau représente un restaurant. Le site est superbe.
_Matoll- Maître du Temps
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Re: Carnet de voyage
Debrecen (Hongrie) : ville importante en Hongrie, dont le centre mérite le détour.
Lac Balaton - après le coucher de soleil
Lac Balaton - après le coucher de soleil
_Matoll- Maître du Temps
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Date d'inscription : 16/03/2011
Re: Carnet de voyage
Superbe, merci pour cette promenade...
maya- Seigneur de la Métaphysique
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