Aux fils d'Hermès
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Re: Aux fils d'Hermès
un peu d'Eau...pour rafraichir....
trouvant un fort homme se disant descendant d'Hermès
le moineau écouta, observa, et vit de belles affaires.
allons discuter de l'Art, dit-il, temps qu'à faire
à l'Or il parla d'Argent, de Fer, et fut reçu par des pierres.
il vole déjà, et tourne le dos
au fort homme, mangeur d'oiseaux
............
bien fait pour ta gueule, le piaf, t'avais qu'à mieux regarder avant...
et c'est pas grave t'y penseras la prochaine fois...uhuhuh
trouvant un fort homme se disant descendant d'Hermès
le moineau écouta, observa, et vit de belles affaires.
allons discuter de l'Art, dit-il, temps qu'à faire
à l'Or il parla d'Argent, de Fer, et fut reçu par des pierres.
il vole déjà, et tourne le dos
au fort homme, mangeur d'oiseaux
............
bien fait pour ta gueule, le piaf, t'avais qu'à mieux regarder avant...
et c'est pas grave t'y penseras la prochaine fois...uhuhuh
apollonius- Affranchi des Paradoxes
- Nombre de messages : 251
Localisation : Serpentaire
Identité métaphysique : Amoureux de Philosophie Naturelle
Humeur : Eve entée
Date d'inscription : 24/09/2010
Inconnaissable
C'est une fleur et non, ça ne peut en être une,
C'est un léger brouillard et ce n'en est pas un.
Ça vient sur la minuit, c'est parti le matin,
De telle chose, au monde, il n'en existe aucune.
Le reflet de ses yeux renvoyé par la lune,
La chaleur de son corps imprégnant les embruns ;
Un poète chinois la découvrit soudain
Après quinze godets d'un fort alcool de prune.
Il chante un empereur et son noble veuvage,
Sa muse le transforme en un barde sauvage ;
Il compare les dieux à de grands animaux.
Il parcourt Lao-Tseu mais, ce faisant, il pense
Que si les grands parleurs le sont par ignorance,
Pourquoi le Maître a-t-il tracé cinq mille mots?
* * *
http://hi.baidu.com/%CD%C3%B6%F9%D4%DA%CB%AF%BE%F5/blog/item/e85273182e04bd71dab4bd49.html
C'est un léger brouillard et ce n'en est pas un.
Ça vient sur la minuit, c'est parti le matin,
De telle chose, au monde, il n'en existe aucune.
Le reflet de ses yeux renvoyé par la lune,
La chaleur de son corps imprégnant les embruns ;
Un poète chinois la découvrit soudain
Après quinze godets d'un fort alcool de prune.
Il chante un empereur et son noble veuvage,
Sa muse le transforme en un barde sauvage ;
Il compare les dieux à de grands animaux.
Il parcourt Lao-Tseu mais, ce faisant, il pense
Que si les grands parleurs le sont par ignorance,
Pourquoi le Maître a-t-il tracé cinq mille mots?
* * *
http://hi.baidu.com/%CD%C3%B6%F9%D4%DA%CB%AF%BE%F5/blog/item/e85273182e04bd71dab4bd49.html
Re: Aux fils d'Hermès
Démo des maux...ou des mots? :
S’ils naissent tous de caractères
Peut-être doivent-ils tous être parcourus
pour qui veut déchiffrer
leur mère, une pensée....
Le cochon sur le suc retrouve-t-il le chemin du Duc,
Changer peau de soi e s pour peau de plumes,
Troquer oeils oblongs pour grands yeux tous ronds,
Pour re-contempler, avec ou sans prune,
La brume florale, en ses reflets dans la Lune…
Ou
Hou hou hou ,
et où où où….
En tous les cas..… belle envolée…
merci pour cette carte postale...
(edit: suc dans le sens de ceux du Velay)
S’ils naissent tous de caractères
Peut-être doivent-ils tous être parcourus
pour qui veut déchiffrer
leur mère, une pensée....
Le cochon sur le suc retrouve-t-il le chemin du Duc,
Changer peau de soi e s pour peau de plumes,
Troquer oeils oblongs pour grands yeux tous ronds,
Pour re-contempler, avec ou sans prune,
La brume florale, en ses reflets dans la Lune…
Ou
Hou hou hou ,
et où où où….
En tous les cas..… belle envolée…
merci pour cette carte postale...
(edit: suc dans le sens de ceux du Velay)
apollonius- Affranchi des Paradoxes
- Nombre de messages : 251
Localisation : Serpentaire
Identité métaphysique : Amoureux de Philosophie Naturelle
Humeur : Eve entée
Date d'inscription : 24/09/2010
Stylistique
Un mot n'est pas toujours issu d'une pensée,
Parfois le mot voisin le fait venir au jour,
Il ne pense pas plus que n'entendent les sourds ;
Parlent les grands parleurs bien loin sur leur lancée.
Or, certains vont cherchant la forme condensée ;
Au travers des notions, ils veulent couper court.
Au fil des raccourcis par où leur esprit court,
Admirons leur démarche aisément balancée...
D'autres, développant leur magistrale prose
Comme un vaste jardin que souvent l'on arrose,
Nourrissent leurs écrits du noble effort humain.
Ma plume a le mot bref, car elle est paresseuse,
Et puis, mon intellect jamais bien loin ne creuse,
Quand les plus beaux trésors sont à portée de main.
Parfois le mot voisin le fait venir au jour,
Il ne pense pas plus que n'entendent les sourds ;
Parlent les grands parleurs bien loin sur leur lancée.
Or, certains vont cherchant la forme condensée ;
Au travers des notions, ils veulent couper court.
Au fil des raccourcis par où leur esprit court,
Admirons leur démarche aisément balancée...
D'autres, développant leur magistrale prose
Comme un vaste jardin que souvent l'on arrose,
Nourrissent leurs écrits du noble effort humain.
Ma plume a le mot bref, car elle est paresseuse,
Et puis, mon intellect jamais bien loin ne creuse,
Quand les plus beaux trésors sont à portée de main.
en revenant d'Egypte...
Reflet de la Lune montrant le Chant de la Pierre stèle Air
Je parle de l’homme, comme de l’univers,
Mon haut est voûte, par le cercle, il est comme le ciel,
Ma base est angulaire, quantifiable, elle est comme la terre.
Je suis comme l’homme, comme l’univers,
Je suis trois parties en une, en haut le Feu, l’Air au milieu,
Et l’Eau en bas, tous contenus en la Terre.
Comme l’homme, comme l’univers,
Je suis un dessein, je suis mes moyens,
J’use plusieurs langages, suivant les verres.
Quand la barque arbore la queue bina(h)ire de Typhon à l’arrière,
Quand elle vogue sur une mer calme, reflétant parfaitement les cieux,
Quand les rames sont fonctionnelles, et que tu la diriges où tu veux,
Quand ce qui se connaît y est imprégné, comme gravé dans la pierre…
Alors le Maître de la Nuit se présente, et s’a soi, stable, immuable,
Fait co-naissance et prends place dans l’inchavirable.
Il regarde devant lui, son ombre, le sain je debout et droit,
Qui prends les chants et lui donne en échange ce qui voit.
Il a encore une tête de canidé, mais il sait répandre distribuer,
Faire descendre ce qui voit, comme fine rosée de mai…
Quand les deux aspects d’un seul voient jour
Quand l’un d’eux agit, et qu’il veut toujours,
Quand un deux, derrière, maintien et tempère,
Le haut rejoint le bas par le milieu,
La décade relie la terre et les cieux,
Fais monter descendre sons et lumières…
Un troisième pousse, à la fine pluie printanière,
De faire un Argent, voici la manière…
apollonius- Affranchi des Paradoxes
- Nombre de messages : 251
Localisation : Serpentaire
Identité métaphysique : Amoureux de Philosophie Naturelle
Humeur : Eve entée
Date d'inscription : 24/09/2010
Re: Aux fils d'Hermès
Ô tu m'as manqué tu sais ..
''Et la muse tout feu en son sein réchauffé
Pris son coeur d'artichaut hors de son soutien gorge
Le dressa en Pine'Acle, en offrande l'apporter
Sur le champ au Cochon, avant qu'on ne l'égorge..''
Pris son coeur d'artichaut hors de son soutien gorge
Le dressa en Pine'Acle, en offrande l'apporter
Sur le champ au Cochon, avant qu'on ne l'égorge..''
Curare-- Affranchi des Paradoxes
- Nombre de messages : 479
Localisation : --
Identité métaphysique : -
Humeur : -
Date d'inscription : 16/07/2010
Stèle
* * *
Une pierre qui parle explique un monde, en vers ;
Explique-t-elle aussi nos coeurs inconsolables,
Nos minutes fuyant comme des grains de sable
Dont chacun contenait, peut-être, un univers...
La pierre ni les mots n'ont de penchant pervers.
Le scribe qui orna la verticale table
Suivait, à tous égards, des codes respectables
(Sauf à ce qu'il traça, peut-être, à son revers).
Or, ce scribe n'a pas un immense mérite
Pour avoir simplement observé les bons rites ;
D'une antique sagesse il était le vecteur.
Puissions-nous imiter ce propos salutaire,
Même si ce forum n'est pas un sanctuaire :
Et si nous y manquons, indignez-vous, lecteurs.
Re: Aux fils d'Hermès
Balade nocturne avec Cronos
Le vieux a posé sa faux le temps d’un moment
Pause et discussion au milieu de l’espace-temps
-“Père et fils ont enfoui bouts du ciel,
Portant leur nom mêlé au tien et tels,
Les hauts cieux bleus lumineux,
Rayonnent sans cesse autour d’eux.
Qui touche cette terre lumière,
Se voit redevenir poussière…
Qui cherche l'illumination,
Qu’il aille là-bas, au Japon…
De rayons invisibles bombardé,
La nuit, il va se mettre à briller…
Enfin devenir…. une lumière….
Haaaaa…. Rêve….Haaaaa“
-Et les autres?
-“Patience…..“
Et c’est en se marrant qu’il se leva
Me laissant ici, partant faucher là…
Le vieux a posé sa faux le temps d’un moment
Pause et discussion au milieu de l’espace-temps
-“Père et fils ont enfoui bouts du ciel,
Portant leur nom mêlé au tien et tels,
Les hauts cieux bleus lumineux,
Rayonnent sans cesse autour d’eux.
Qui touche cette terre lumière,
Se voit redevenir poussière…
Qui cherche l'illumination,
Qu’il aille là-bas, au Japon…
De rayons invisibles bombardé,
La nuit, il va se mettre à briller…
Enfin devenir…. une lumière….
Haaaaa…. Rêve….Haaaaa“
-Et les autres?
-“Patience…..“
Et c’est en se marrant qu’il se leva
Me laissant ici, partant faucher là…
apollonius- Affranchi des Paradoxes
- Nombre de messages : 251
Localisation : Serpentaire
Identité métaphysique : Amoureux de Philosophie Naturelle
Humeur : Eve entée
Date d'inscription : 24/09/2010
Re: Aux fils d'Hermès
La muse prisonnière scrute le fond d'écran
Lequel aimant captif la faisait palpiter
De ces amants satyres lequel rival garant ?
Si aimer 1 muse est 1 vacuité-
Lequel aimant captif la faisait palpiter
De ces amants satyres lequel rival garant ?
Si aimer 1 muse est 1 vacuité-
_Bib- Affranchi des Paradoxes
- Nombre de messages : 425
Date d'inscription : 20/03/2011
Re: Aux fils d'Hermès
Réponse du génie :
'1 génisse avec 1 cochon ???... *
décidément* !!! lol
enfin si ça la muse ...'
* I am a bit scandalized
(La muse au vent s'amuse
d'entendre la cornemuse..)
'1 génisse avec 1 cochon ???... *
décidément* !!! lol
enfin si ça la muse ...'
* I am a bit scandalized
(La muse au vent s'amuse
d'entendre la cornemuse..)
_Bib- Affranchi des Paradoxes
- Nombre de messages : 425
Date d'inscription : 20/03/2011
_Bib- Affranchi des Paradoxes
- Nombre de messages : 425
Date d'inscription : 20/03/2011
Re: Aux fils d'Hermès
Les licornes, les muses, les sons des cornemuses… toute une magie dans laquelle s’enracine la poésie.
Re: Aux fils d'Hermès
Où veux tu que je sois ? dans cette cour immense
Éperdue sur le fil, cherchant avec ardeur
Les graines étoilées que le temps ensemence
Si le chant est stérile, de sentiment coureur
Où veux tu que je fuis ? sans être l'indécente
L'icône sentinelle sous le regard moqueur
La Lady Godiva*, voguant déliquescente
Dans le silence.com, clic et clac sans coeur
Où veux tu que j'échoue ? pour ressentir le vide
Démesuré du temps, cruel sous son égide
Humeur assassine, hélas artificielle
Où veux tu que je t'm ? pour perdurer ce rêve
Pour ne pas l'achever cette nymphe qui crève
Et d'être enfin en vie, même superficielle
(Pensée à Dame Pandore qui emprunte l'avatar -
ce que je fis aussi dans 1 passé à présent révolu-)
Ce poème en réponse à Mon cher Cochonfucius
qui s'ennuya en ce beau jour d'avril-
Éperdue sur le fil, cherchant avec ardeur
Les graines étoilées que le temps ensemence
Si le chant est stérile, de sentiment coureur
Où veux tu que je fuis ? sans être l'indécente
L'icône sentinelle sous le regard moqueur
La Lady Godiva*, voguant déliquescente
Dans le silence.com, clic et clac sans coeur
Où veux tu que j'échoue ? pour ressentir le vide
Démesuré du temps, cruel sous son égide
Humeur assassine, hélas artificielle
Où veux tu que je t'm ? pour perdurer ce rêve
Pour ne pas l'achever cette nymphe qui crève
Et d'être enfin en vie, même superficielle
(Pensée à Dame Pandore qui emprunte l'avatar -
ce que je fis aussi dans 1 passé à présent révolu-)
Ce poème en réponse à Mon cher Cochonfucius
qui s'ennuya en ce beau jour d'avril-
_Bib- Affranchi des Paradoxes
- Nombre de messages : 425
Date d'inscription : 20/03/2011
Re: Aux fils d'Hermès
Humains avez-vous entendu
La désespérance de l'âme ?
Humains êtes-vous suspendus
A toute la tristesse infâme ?
Humains pouvez-vous discerner
De par 1 regard perverti ?
Humains êtes-vous désincarnés
De cette âme désassortie ?
Humains savez-vous distinguer
Toute la puanteur du temps ?
Humains pourquoi vous divaguez
Incroyants et saillants de néant ?
La désespérance de l'âme ?
Humains êtes-vous suspendus
A toute la tristesse infâme ?
Humains pouvez-vous discerner
De par 1 regard perverti ?
Humains êtes-vous désincarnés
De cette âme désassortie ?
Humains savez-vous distinguer
Toute la puanteur du temps ?
Humains pourquoi vous divaguez
Incroyants et saillants de néant ?
_Bib- Affranchi des Paradoxes
- Nombre de messages : 425
Date d'inscription : 20/03/2011
Re: Aux fils d'Hermès
Reflet de la Lune à la lumière solaire
En résumé quadripolaire
Robe d’Isis
écharpe d'Iris
L’arc en ciel est but et moyen
S’y attabler n'est pas rien
Ce pont ne peut être utilisé
Que si on sait l'imiter
Rendre visible les 7 couleurs, merveille
Marier le Feu et l'Eau, soit la Lune et le Soleil
En utilisant l'Air jusqu'à Terre
L’escalier est à l’Or ouvert
apollonius- Affranchi des Paradoxes
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Localisation : Serpentaire
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Humeur : Eve entée
Date d'inscription : 24/09/2010
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