Aux fils d'Hermès
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Aux fils d'Hermès
Sur ce fil, pas d'oiseaux, juste une langue
Philosophe Hiérophante et fils d'Hermès
Regarde on, empli d'Air Philosophique
et selon l'Art, (re)-co-naissons.
Si elles ne foisonnaient pas aux temps antiques, bien que mentionnées, les Martichoras sont aujourd’hui plus nombreuses que jamais. On peut en trouver dans les jungles habitées ou non,les agoras, les forums, la Grèce…..
Reconnaissons-les, ces rouges créatures, leurs corps de lion puissant, leurs griffes acérées.
Gardons-nous de nous faire mort, dre leurs trois rangées de dents qui nous déchiquetteraient trois fois.
Reconnaissons-les en voyant leurs figures menaçantes et grimaçantes, gonflant leurs crinières à notre approche, soufflant leurs haleines fétides.
Gardons-nous de leur queue, projetant des volées de flèches ardentes, nombreuses, précises, et blessantes.
Attrapé, saisi et tenu fermement, Protée m’a parlé du Griffon, et du Sphinx, qui seuls viennent à bout des Martichoras, en volant en cercle, et jamais en lignes droites.
Ils obéissent s’ils ont une chaîne de feu dans la gueule.
« Le Griffon use de son bec d’Or et le Sphinx d’une coupe en Argent pour emporter sa proie dans les Airs avant de la lâcher dans le vide.
Choisis ta monture, Sphinx ou Griffon, peut importe, mais surtout ne choisis ni le cheval, ni le taureau, même volants : ils s’enfuiraient ou succomberaient.
Quant aux Martichoras ailées, elles ne vivent que dans la grotte, dans la forêt, ou sur le pic.
Avec la serpe de Cronos, coupes lui les ailes, appelle ta monture, vole et fini l’œuvre en utilisant les flèches d’Or, tel Apollon, car tes valets zélés ne pourraient le faire.
Mesure la pertinence du combat : les Martichoras sont robustes, leur fureur les rend imperméables, le sang les enivre, et leurs desseins ne laissent aucun doute.
Seules celles qui valent vraiment la peine d’être vaincues sont les volantes, mais assures-toi d’être prêt. »
Philosophe, Hiérophante et fils d’Hermès,
Nettoyons le temple, le palais, les écuries, nous trouverons la chaîne, l’arc, et les valets zélés.
Alors… nous pourrons traquer…..
Protée...merci
Philosophe Hiérophante et fils d'Hermès
Regarde on, empli d'Air Philosophique
et selon l'Art, (re)-co-naissons.
Si elles ne foisonnaient pas aux temps antiques, bien que mentionnées, les Martichoras sont aujourd’hui plus nombreuses que jamais. On peut en trouver dans les jungles habitées ou non,les agoras, les forums, la Grèce…..
Reconnaissons-les, ces rouges créatures, leurs corps de lion puissant, leurs griffes acérées.
Gardons-nous de nous faire mort, dre leurs trois rangées de dents qui nous déchiquetteraient trois fois.
Reconnaissons-les en voyant leurs figures menaçantes et grimaçantes, gonflant leurs crinières à notre approche, soufflant leurs haleines fétides.
Gardons-nous de leur queue, projetant des volées de flèches ardentes, nombreuses, précises, et blessantes.
Attrapé, saisi et tenu fermement, Protée m’a parlé du Griffon, et du Sphinx, qui seuls viennent à bout des Martichoras, en volant en cercle, et jamais en lignes droites.
Ils obéissent s’ils ont une chaîne de feu dans la gueule.
« Le Griffon use de son bec d’Or et le Sphinx d’une coupe en Argent pour emporter sa proie dans les Airs avant de la lâcher dans le vide.
Choisis ta monture, Sphinx ou Griffon, peut importe, mais surtout ne choisis ni le cheval, ni le taureau, même volants : ils s’enfuiraient ou succomberaient.
Quant aux Martichoras ailées, elles ne vivent que dans la grotte, dans la forêt, ou sur le pic.
Avec la serpe de Cronos, coupes lui les ailes, appelle ta monture, vole et fini l’œuvre en utilisant les flèches d’Or, tel Apollon, car tes valets zélés ne pourraient le faire.
Mesure la pertinence du combat : les Martichoras sont robustes, leur fureur les rend imperméables, le sang les enivre, et leurs desseins ne laissent aucun doute.
Seules celles qui valent vraiment la peine d’être vaincues sont les volantes, mais assures-toi d’être prêt. »
Philosophe, Hiérophante et fils d’Hermès,
Nettoyons le temple, le palais, les écuries, nous trouverons la chaîne, l’arc, et les valets zélés.
Alors… nous pourrons traquer…..
Protée...merci
apollonius- Affranchi des Paradoxes
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Humeur : Eve entée
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Re: Aux fils d'Hermès
J’ai rencontré un martichoras un jour dans une forêt du Juras. Heureusement ce jour là je portais un Baphomet. A sa vue son prodigieux orgueil se fit chat et retourna garder quelque autre seuil. Non mais ! Ce n’est pas à un vieux singe...
Fils d'Hermès, sortez couverts !
Fils d'Hermès, sortez couverts !
Leleu- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Date d'inscription : 16/12/2008
Re: Aux fils d'Hermès
Tout de même, ces we aux champignons ..
y a t il 1 liste d'attente ?
où faut il cocher ?
mais que font les modos ?
y a t il 1 liste d'attente ?
où faut il cocher ?
mais que font les modos ?
Curare-- Affranchi des Paradoxes
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Date d'inscription : 16/07/2010
Re: Aux fils d'Hermès
Les nuages sont déjà partis, le ciel reste bleu
Leleu, votre couverture est effectivement un bouclier de valeur
Solva, Coagula, le Martichoras s’enfui à d’autres seuils…laissons-le
Il en est d’autres bien plus intéressant.
Ecoutons les chants des vents, et rapportons :
Il voguait, sur ses flots déchaînés
Il avançait, tenant fort la barre
Ne laissant personne l’approcher
Léger, les vents le portaient jusque tard.
Océan voulu lui faire découvrir
Le fond de l’eau pour le mourir
Il chavira et fini par sombrer
Dans le bleu, le noir et le violet
C’est ainsi que nageant entre deux eaux,
Loin des sardines, des maquereaux,
Il se souvint, des temps ou l’Air
Gonflant les voiles, le poussait à Terre.
Montant descendant, le dos fin transperçant
L’écume, les vagues bouillonnants,
Dans l’Océan, il vit vraiment,
Jusqu’à…, enfin, découvrir le trident.
Dans une crevasse, il vit le Kraken,
Léviathan, et leur a mis des chaînes,
Enfoui leur tête, comme Hercule a su,
Les cacher, mettre une pierre dessus.
Ce sont eux, ses braves amis rencontrés,
Dans les courants, de ses belles aventures,
Glaucus Triton, Protée et Nérée,
Qui l’accompagnent maintenant en lieu sur.
Des coraux, des algues luminescentes,
Scintillent brillent, toutes sont vivantes,
Elles illuminent cet immense palais,
Et décorent le grand hall d’entrée.
Pas sur le carre large raisonnants
Les eaux reconnaissent le trident
Alors sonnent, tel un puissant clairon
Les paroles d’Amphitrite, de Poséidon:
.... »Bienvenue chez toi, mon fils »….
Leleu, votre couverture est effectivement un bouclier de valeur
Solva, Coagula, le Martichoras s’enfui à d’autres seuils…laissons-le
Il en est d’autres bien plus intéressant.
Ecoutons les chants des vents, et rapportons :
Il voguait, sur ses flots déchaînés
Il avançait, tenant fort la barre
Ne laissant personne l’approcher
Léger, les vents le portaient jusque tard.
Océan voulu lui faire découvrir
Le fond de l’eau pour le mourir
Il chavira et fini par sombrer
Dans le bleu, le noir et le violet
C’est ainsi que nageant entre deux eaux,
Loin des sardines, des maquereaux,
Il se souvint, des temps ou l’Air
Gonflant les voiles, le poussait à Terre.
Montant descendant, le dos fin transperçant
L’écume, les vagues bouillonnants,
Dans l’Océan, il vit vraiment,
Jusqu’à…, enfin, découvrir le trident.
Dans une crevasse, il vit le Kraken,
Léviathan, et leur a mis des chaînes,
Enfoui leur tête, comme Hercule a su,
Les cacher, mettre une pierre dessus.
Ce sont eux, ses braves amis rencontrés,
Dans les courants, de ses belles aventures,
Glaucus Triton, Protée et Nérée,
Qui l’accompagnent maintenant en lieu sur.
Des coraux, des algues luminescentes,
Scintillent brillent, toutes sont vivantes,
Elles illuminent cet immense palais,
Et décorent le grand hall d’entrée.
Pas sur le carre large raisonnants
Les eaux reconnaissent le trident
Alors sonnent, tel un puissant clairon
Les paroles d’Amphitrite, de Poséidon:
.... »Bienvenue chez toi, mon fils »….
apollonius- Affranchi des Paradoxes
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Humeur : Eve entée
Date d'inscription : 24/09/2010
Re: Aux fils d'Hermès
Bise de la Lune apportée par le Vent...
Ils vivent tous dans la Forêt,
Ivres de sauvage et de liberté.
Portés par les besoins, par les envies,
De la raison, de la sagesse ils font fi.
Ne comptant qu’assouvir leurs faims,
Et pour cela, usent de tous les moyens.
Injuriant et raillant les oiseaux,
Les piétinants, s’ils n’allaient en haut.
Êtres emportés par de souterrains courants,
Libres? Non…ils en sont prisonniers, assurément.
Visiblement, ils ne savent pas,
Qu’on est par tout, en naît temps là.
Ils tournent, rampent et cherchent,
Labourent, insatiables et revêches.
Observons-les, et attrapons-les
Sans jamais se laisser emporter.
Encore faut-il, les reconnaître et les voir,
Et telle Artémis, aux cotés les faire asseoir.
Alors finis les grognements, les sons gutturaux
Place aux Vents, à l’Air et aux oiseaux…
Ils vivent tous dans la Forêt,
Ivres de sauvage et de liberté.
Portés par les besoins, par les envies,
De la raison, de la sagesse ils font fi.
Ne comptant qu’assouvir leurs faims,
Et pour cela, usent de tous les moyens.
Injuriant et raillant les oiseaux,
Les piétinants, s’ils n’allaient en haut.
Êtres emportés par de souterrains courants,
Libres? Non…ils en sont prisonniers, assurément.
Visiblement, ils ne savent pas,
Qu’on est par tout, en naît temps là.
Ils tournent, rampent et cherchent,
Labourent, insatiables et revêches.
Observons-les, et attrapons-les
Sans jamais se laisser emporter.
Encore faut-il, les reconnaître et les voir,
Et telle Artémis, aux cotés les faire asseoir.
Alors finis les grognements, les sons gutturaux
Place aux Vents, à l’Air et aux oiseaux…
apollonius- Affranchi des Paradoxes
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Humeur : Eve entée
Date d'inscription : 24/09/2010
Re: Aux fils d'Hermès
Il me fait rire,
Il est entrainant
On a envie de le suivre dans son délire..
Hahaha..
Encore Apollonius
Il est entrainant
On a envie de le suivre dans son délire..
Hahaha..
Encore Apollonius
Curare-- Affranchi des Paradoxes
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Date d'inscription : 16/07/2010
Re: Aux fils d'Hermès
je vous remercie de vos interventions, qu'il est doux de voir que le Vent frôle encore des tempes, puisse t-il être happé par les deux dents...
à la demande de la Muse enjouée couronnée de violettes, pour le vertueux cochon, qui n'est ni ceci, ni cela, et pour qui veut....continuons le souffle...
Une tortue noire, en plomb, de ses mains,
Déroule sur la Terre, un parchemin.
Il était long, il menait loin,
Ils étaient quatre, à en tenir les coins.
S’avançant dessus, il fini par constater,
A force de chutes, de trébuchés,
Que chacun des quatre, ardemment tirait,
Le plus possible, chacun de leur coté.
Impossible d’avancer, sur ce parchemin tourmenté.
Tiré, étiré et tiré sans cesse,
Le parchemin lui crie sa détresse,
Lui au sol malmené,... le parchemin se blesse.
Accablé, tombé par tant de chagrin,
Il se relève enfin, ce n’est pas en vain :
S’envole, et rejoint les quatre coins,
Et coupe de sa serpe, les ailes des gredins
Le parchemin, bien moins ballotté,
Apaisé calmé, se laisse réparer,
Bien tendu, bien plane il est,
Et devient ainsi, un appui sûr pour le pied
à la demande de la Muse enjouée couronnée de violettes, pour le vertueux cochon, qui n'est ni ceci, ni cela, et pour qui veut....continuons le souffle...
Une tortue noire, en plomb, de ses mains,
Déroule sur la Terre, un parchemin.
Il était long, il menait loin,
Ils étaient quatre, à en tenir les coins.
S’avançant dessus, il fini par constater,
A force de chutes, de trébuchés,
Que chacun des quatre, ardemment tirait,
Le plus possible, chacun de leur coté.
Impossible d’avancer, sur ce parchemin tourmenté.
Tiré, étiré et tiré sans cesse,
Le parchemin lui crie sa détresse,
Lui au sol malmené,... le parchemin se blesse.
Accablé, tombé par tant de chagrin,
Il se relève enfin, ce n’est pas en vain :
S’envole, et rejoint les quatre coins,
Et coupe de sa serpe, les ailes des gredins
Le parchemin, bien moins ballotté,
Apaisé calmé, se laisse réparer,
Bien tendu, bien plane il est,
Et devient ainsi, un appui sûr pour le pied
apollonius- Affranchi des Paradoxes
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Humeur : Eve entée
Date d'inscription : 24/09/2010
Re: Aux fils d'Hermès
Après avoir raconté que ceci que ceux là
Apologénius resta muet bien en deçà
La muse enjouée couronnée de violettes
à califourchon sur son vertueux cochon pensa :
- A t il été envoyé par l'impératrice Gemmei,
Pour recueillir les divers récits et légendes?
Il me fait penser à Ô no Yasumaro
Le Nihongi..mais tout cela devait rester enfoui à jamais ..
Non décida t elle ..
- Pour que naisse 1 légende
Il faut à nouveau laisser s'engouffrer le vent dans
le réseau social par L'escalator du grand arc en ciel
Appelons Fuujin le kami du vent,
C'est mon démon préféré, rêvait la muse
en caressant les bottes bleus du cochon, bienfaiteur
de ses humeurs capricieuses et rêvasseuses au temps
Et ce kami-kaze ? songe t elle, qui ose s'égarer sur son chemin
-Nos mots seront nos armes pour nous affronter ..c'est tranché!
La muse tire sa souffrance des autres - pour l'expulser-
Ainsi et de là, naîtra the légende .. Après tout The Facebook ..pfftt..
(Après cela la muse enjouée, donna machinalement
1 petite tape à Cochon qui se grattait
sa queue en tire bouchon..)
Apologénius resta muet bien en deçà
La muse enjouée couronnée de violettes
à califourchon sur son vertueux cochon pensa :
- A t il été envoyé par l'impératrice Gemmei,
Pour recueillir les divers récits et légendes?
Il me fait penser à Ô no Yasumaro
Le Nihongi..mais tout cela devait rester enfoui à jamais ..
Non décida t elle ..
- Pour que naisse 1 légende
Il faut à nouveau laisser s'engouffrer le vent dans
le réseau social par L'escalator du grand arc en ciel
Appelons Fuujin le kami du vent,
C'est mon démon préféré, rêvait la muse
en caressant les bottes bleus du cochon, bienfaiteur
de ses humeurs capricieuses et rêvasseuses au temps
Et ce kami-kaze ? songe t elle, qui ose s'égarer sur son chemin
-Nos mots seront nos armes pour nous affronter ..c'est tranché!
La muse tire sa souffrance des autres - pour l'expulser-
Ainsi et de là, naîtra the légende .. Après tout The Facebook ..pfftt..
(Après cela la muse enjouée, donna machinalement
1 petite tape à Cochon qui se grattait
sa queue en tire bouchon..)
Curare-- Affranchi des Paradoxes
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Date d'inscription : 16/07/2010
Re: Aux fils d'Hermès
Bien plus qu’un graffiti…
Selon la nature de cette fable-ci….
Ce qui n’enlève en rien,
La valeur du ressenti
A Muse, hé! Rassurez-vous, le kami-kaze est déjà mort….
Souffle de corne,
Remarques en écourté, de certains pas liés …. Rouges ou verts
Homme erre............emporté comme une fumée légère
Oh mer...................de… vie, fatalité déterminée
Omer......................Simpson le satyre, aime jouer
Eaux mères.............bleues vertes, argentées
Homme ère.............le temps de la volonté
Eau mer.................sur la falaise Hérode est, puissance dévoilée
Ô mer....................ta… bouche ferme les vannes
Haut mer................loin des attraits de la Terre
O mère..................vent re-créateur de mondes
Homme Air...........comme l’Aigle…en cercles
Homère.................inspirateur, vision air
AUM mère.............paternel, ils s’a soi, stable.
…..A quand ?.....
Selon la nature de cette fable-ci….
Ce qui n’enlève en rien,
La valeur du ressenti
A Muse, hé! Rassurez-vous, le kami-kaze est déjà mort….
Souffle de corne,
Remarques en écourté, de certains pas liés …. Rouges ou verts
Homme erre............emporté comme une fumée légère
Oh mer...................de… vie, fatalité déterminée
Omer......................Simpson le satyre, aime jouer
Eaux mères.............bleues vertes, argentées
Homme ère.............le temps de la volonté
Eau mer.................sur la falaise Hérode est, puissance dévoilée
Ô mer....................ta… bouche ferme les vannes
Haut mer................loin des attraits de la Terre
O mère..................vent re-créateur de mondes
Homme Air...........comme l’Aigle…en cercles
Homère.................inspirateur, vision air
AUM mère.............paternel, ils s’a soi, stable.
…..A quand ?.....
apollonius- Affranchi des Paradoxes
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Re: Aux fils d'Hermès
La castration de l'SK Beau
Et si je le prenais à revers ce Saint ptôme?
Là quand maman te parle de tout son intérieur
Tu vomis le boa sous tes airs super rieurs
Ô Apollogénius, la moelle gastronome !
Et si je le prenais à revers ce Saint ptôme?
Là quand maman te parle de tout son intérieur
Tu vomis le boa sous tes airs super rieurs
Ô Apollogénius, la moelle gastronome !
(La muse couronnée de violettes prit 1 air amusé - elle se pencha vers son vertueux cochon, effleura son museau si doux si rose.. et lui conta combien le langage des hommes était le plus subtil et comment les japonais en avaient fait 1 art..
Et qui a dit que celui-ci gisait non fui, fui, non sum, non curo dans
dans l'infernale machine ?)
Dansons sur l'herbe roug' d'1 ciel d'échymoses
Laisse la mer s'ouvrir par les pensées ondulent
Soit 1 jet d'art sur l'eaube, déporté de l'osmose
Le fruit mystic du père que les Dolly's adulent
Laisse la mer s'ouvrir par les pensées ondulent
Soit 1 jet d'art sur l'eaube, déporté de l'osmose
Le fruit mystic du père que les Dolly's adulent
(La muse fut prise d'1 grande tristesse et elle entrelaça très fort cette âme d'Apollogénius qui a compris que toute pensée est 1 calcul..
Pourquoi soustraire les Corps Glorieux, il flotte déjà tel 1 revenant.. )
Dans la saignée du temps, l'analyse s'enlise
Le rouage parfait, machine de dialyse
Machine aveugle et sourde en cruauté féconde
Si la muse dit ''vagues'' et se laisse déporter
Par son rire et ses mots vouloir s'enchaîner
Et poser sur son front, la couronne d'osmonde.
Le rouage parfait, machine de dialyse
Machine aveugle et sourde en cruauté féconde
Si la muse dit ''vagues'' et se laisse déporter
Par son rire et ses mots vouloir s'enchaîner
Et poser sur son front, la couronne d'osmonde.
(La muse regarda tout au fond de son l'âme..
puis soupira, il faut laisser le rire s'envoler avant le lendemain d'1 chagrin..)
Je dédis ce sonnet imparfait à Lacan qui a dit :
'' Le désir de l'homme trouve son sens dans le désir de l'autre.''
Curare-- Affranchi des Paradoxes
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Date d'inscription : 16/07/2010
Heidegger devant la porte (dont il n'a pas la clé).
Connaissons-nous l'amour, au-delà des symptômes?
L'art qui se développe à l'étage inférieur
Est dépourvu d'index aux niveaux supérieurs:
Heidegger a perdu la clé du baisodrome.
Naviguant à la voile, attention à la bôme
Qui traverse le pont et frappe les meilleurs.
De là tu reconnais les bons navigateurs:
Ceux qui restent sereins même quand ils se paument.
La mer ne s'ouvre pas lorsque le crépuscule
Engloutit le soleil, ce serait ridicule.
Mais un poète voit parfois la chose ainsi.
Forum n'est pas taverne où nous boirons ensemble.
Nous n'en sommes pas loin, pourtant, à ce qu'il semble:
C'est ce que je ne peux développer ici.
L'art qui se développe à l'étage inférieur
Est dépourvu d'index aux niveaux supérieurs:
Heidegger a perdu la clé du baisodrome.
Naviguant à la voile, attention à la bôme
Qui traverse le pont et frappe les meilleurs.
De là tu reconnais les bons navigateurs:
Ceux qui restent sereins même quand ils se paument.
La mer ne s'ouvre pas lorsque le crépuscule
Engloutit le soleil, ce serait ridicule.
Mais un poète voit parfois la chose ainsi.
Forum n'est pas taverne où nous boirons ensemble.
Nous n'en sommes pas loin, pourtant, à ce qu'il semble:
C'est ce que je ne peux développer ici.
Dernière édition par Cochonfucius le Dim 31 Oct 2010 - 16:45, édité 1 fois
Re: Aux fils d'Hermès
Ceus qui restent sereins même quand ils se paument.
La muse qui aimait faire chavirer les mots caressa son compagnon de l'autre monde et lui souffla :
- 1 gage de lapsus castrateur.. hahaha
et elle détourna le vers de son initiation :
Ceux qui restent serins,
même pendant le psaume
Dernière édition par Curare- le Dim 31 Oct 2010 - 17:39, édité 2 fois
Curare-- Affranchi des Paradoxes
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Re: Aux fils d'Hermès
1 gage sinon rien,
''Au franc Baiser, sans plus de scène" Verlaine
''Au franc Baiser, sans plus de scène" Verlaine
Curare-- Affranchi des Paradoxes
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Re: Aux fils d'Hermès
Demain ?
Elle s'insère dans 1 autre faille
et regarde Dame Lune qui baille
Demain n'existe pas
Elle s'insère dans 1 autre faille
et regarde Dame Lune qui baille
Demain n'existe pas
Curare-- Affranchi des Paradoxes
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Re: Aux fils d'Hermès
Un moineau prit parti de voyager,
Et dans les pays les régions, raconter,
Parler d’aventures différentes,
Semblables en essence, à celle des plantes.
Un arbre majestueux, sureau pénombre,
Surplombe et couvre alentours de son ombre,
Dans l'arène courent et autour, beaucoup d’oiseaux,
Dont d’huppes dindons, coqs cygnes paons beaux.
Dans des recoins de l’arène, bien cachés dans l’ombrage,
Hors de cette frénésie de pies, de ramage ou plumage,
Sale salve valsée, des apaisés semblaient se retrouver,
Pour parler des régions, qu’ils venaient de visiter.
Réentendant l’ancien mythe, aventures labyrinthiques,
Historien psychique admirant les drames Olympiques
Des paisibles. Le mouvement pendule de la faux s’arrête,
Zoom et découvertes, en mont de centripètes…
Dans le passereau, observance, pas d’indifférence,
Juste une neutralité, paix cible constance…
Deux mères, il ne connaît que la Terre et l’Eau.
Réverbères de chaleur, issue du feu de l’éther,
Œuf-Eden embryonnaire, succédant à Chaos,
Graine en sommeil, f’Ève dans le père,
Lacan, le temps d’un (pré)sentiment,
Carl plus profondément, mais pas seulement.
Courants froids d’eaux nostalgiques, mélancoliques,
Et de feux, ardents impétueux sont courants électriques,
Egrégores et chimères s’amoncellent dans le virtuel,
Le moineau s’écarte, évite d’y brûler ses ailes.
Les sauts du moine eau relient les branches du sureau,
Lui offrant quelques bourgeons tendres et beaux,
Se délectant aussi de fruits gorgés du soleil fort,
Avalant les pépins, à fin que l’arbre pousse encore.
Le passeur haut s’envola, petit barde sans l'ire,
Juste sans bruit, pour temps conter ses dires,
Mais naistre aile, rapporteur de fables aérées,
Quand dans silence, l’image sera condensée.
Poil au nez
Et dans les pays les régions, raconter,
Parler d’aventures différentes,
Semblables en essence, à celle des plantes.
Un arbre majestueux, sureau pénombre,
Surplombe et couvre alentours de son ombre,
Dans l'arène courent et autour, beaucoup d’oiseaux,
Dont d’huppes dindons, coqs cygnes paons beaux.
Dans des recoins de l’arène, bien cachés dans l’ombrage,
Hors de cette frénésie de pies, de ramage ou plumage,
Sale salve valsée, des apaisés semblaient se retrouver,
Pour parler des régions, qu’ils venaient de visiter.
Réentendant l’ancien mythe, aventures labyrinthiques,
Historien psychique admirant les drames Olympiques
Des paisibles. Le mouvement pendule de la faux s’arrête,
Zoom et découvertes, en mont de centripètes…
Dans le passereau, observance, pas d’indifférence,
Juste une neutralité, paix cible constance…
Deux mères, il ne connaît que la Terre et l’Eau.
Réverbères de chaleur, issue du feu de l’éther,
Œuf-Eden embryonnaire, succédant à Chaos,
Graine en sommeil, f’Ève dans le père,
Lacan, le temps d’un (pré)sentiment,
Carl plus profondément, mais pas seulement.
Courants froids d’eaux nostalgiques, mélancoliques,
Et de feux, ardents impétueux sont courants électriques,
Egrégores et chimères s’amoncellent dans le virtuel,
Le moineau s’écarte, évite d’y brûler ses ailes.
Les sauts du moine eau relient les branches du sureau,
Lui offrant quelques bourgeons tendres et beaux,
Se délectant aussi de fruits gorgés du soleil fort,
Avalant les pépins, à fin que l’arbre pousse encore.
Le passeur haut s’envola, petit barde sans l'ire,
Juste sans bruit, pour temps conter ses dires,
Mais naistre aile, rapporteur de fables aérées,
Quand dans silence, l’image sera condensée.
Poil au nez
apollonius- Affranchi des Paradoxes
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La Dame du lac (suite..)
Dis moi pourquoi Muse, tes yeux noyés dans l'onde ?
Ton coeur 1 gouffre d'ombre, ton corps armure vide
Tes pensées des piquants, ton humeur pudibonde
Dis moi Muse pourquoi, ton silence impavide ?
- Avant d'avoir senti le ressac du désir
Pour avoir regardé dans le puit du savoir
Ceux que j'ai approché sans pour autant saisir
Le néant de l'amer et les thèses à échoir
Je n'ai pas refusé, la pluie sur mes lèvres
L'horloge sans tic tac, l'abîme qui ennivre
La vie déferlante dans la nuit du matin
Le silence est ici sans tactique du temps
Car sourire à la vie est mortel châtiment
Déjà au lendemain de l'éveil d'1 chagrin-
Ton coeur 1 gouffre d'ombre, ton corps armure vide
Tes pensées des piquants, ton humeur pudibonde
Dis moi Muse pourquoi, ton silence impavide ?
- Avant d'avoir senti le ressac du désir
Pour avoir regardé dans le puit du savoir
Ceux que j'ai approché sans pour autant saisir
Le néant de l'amer et les thèses à échoir
Je n'ai pas refusé, la pluie sur mes lèvres
L'horloge sans tic tac, l'abîme qui ennivre
La vie déferlante dans la nuit du matin
Le silence est ici sans tactique du temps
Car sourire à la vie est mortel châtiment
Déjà au lendemain de l'éveil d'1 chagrin-
(1 pensée interrogative : sur le chagrin ou le néant ?
- Le chagrin, c'est mieux a-t-il répondu..)
Curare-- Affranchi des Paradoxes
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Humeur : -
Date d'inscription : 16/07/2010
Se perdre en forêt
Comme un homme égaré dans la forêt profonde,
Le poète au jardin est traversé d'effroi.
Tout n'est-il donc que leurre et tristesse en ce monde,
Qu'un acheminement vers le sépulcre froid ?
Vainement aux entours jetant des coups de sonde,
L'égaré ne sait plus comment sortir du bois.
Sur un même sentier sa trajectoire ronde
Le ramène toujours dans les mêmes endroits.
Mais une goutte d'eau quelquefois sur sa lèvre,
Le saut d'un écureuil, la gambade d'un lièvre,
Lui font aimer pourtant la piste, au petit jour.
Il est charmé surtout par l'apaisant silence
Dont est souvent saisi notre univers immense ;
Ce silence est prière au soleil des amours.
Le poète au jardin est traversé d'effroi.
Tout n'est-il donc que leurre et tristesse en ce monde,
Qu'un acheminement vers le sépulcre froid ?
Vainement aux entours jetant des coups de sonde,
L'égaré ne sait plus comment sortir du bois.
Sur un même sentier sa trajectoire ronde
Le ramène toujours dans les mêmes endroits.
Mais une goutte d'eau quelquefois sur sa lèvre,
Le saut d'un écureuil, la gambade d'un lièvre,
Lui font aimer pourtant la piste, au petit jour.
Il est charmé surtout par l'apaisant silence
Dont est souvent saisi notre univers immense ;
Ce silence est prière au soleil des amours.
Re: Aux fils d'Hermès
Ils sont des rois qui vivent en des lieux bien pesants :
Dans une Terre asséchée, aride, et immobile,
Ou au milieu d’une Terre abîmée et informe,
Là ou pour les torrents déferler est la norme,
Ou dans une Terre imprégnée d’eaux tumultueuses,
Charriant sédiments et poussières nombreuses.
Compliqué pour les Airs de passer :
L’espace est déjà rempli, comme gavé,
Portes et fenêtres des palais fermées.
Expériences denses et rances dans la danse,
Usant du pense comme d’une panse…sentence.
Parfois la souffrance n’est même plus un fardeau,
Mais une amie une chance, une compagne un poteau.
Certains cherchent un peu de chaleur,
Où souhaitent un peu de fraîcheur,
Attendent du Vent qu’il amène une senteur,
Qu’il aide à transformer les peurs.
Il dépose alors en ces Terres dévastées,
Des outils pour sculpter et irriguer.
Des rois, partageant leurs maux,
Il leur donne, priorité sur les mots.
Dans une Terre asséchée, aride, et immobile,
Ou au milieu d’une Terre abîmée et informe,
Là ou pour les torrents déferler est la norme,
Ou dans une Terre imprégnée d’eaux tumultueuses,
Charriant sédiments et poussières nombreuses.
Compliqué pour les Airs de passer :
L’espace est déjà rempli, comme gavé,
Portes et fenêtres des palais fermées.
Expériences denses et rances dans la danse,
Usant du pense comme d’une panse…sentence.
Parfois la souffrance n’est même plus un fardeau,
Mais une amie une chance, une compagne un poteau.
Certains cherchent un peu de chaleur,
Où souhaitent un peu de fraîcheur,
Attendent du Vent qu’il amène une senteur,
Qu’il aide à transformer les peurs.
Il dépose alors en ces Terres dévastées,
Des outils pour sculpter et irriguer.
Des rois, partageant leurs maux,
Il leur donne, priorité sur les mots.
apollonius- Affranchi des Paradoxes
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Localisation : Serpentaire
Identité métaphysique : Amoureux de Philosophie Naturelle
Humeur : Eve entée
Date d'inscription : 24/09/2010
Re: Aux fils d'Hermès
Appel des rois
Pour un colis aéré,
Outils déposés
À Terre sur le pas.
S’en servir ou non...
Liberté de choix...
Peu importe au messager car
Impossible de vouloir pour l'autre.
L’outil ne concerne
Que celui qui s'en sert
Pour un colis aéré,
Outils déposés
À Terre sur le pas.
S’en servir ou non...
Liberté de choix...
Peu importe au messager car
Impossible de vouloir pour l'autre.
L’outil ne concerne
Que celui qui s'en sert
apollonius- Affranchi des Paradoxes
- Nombre de messages : 251
Localisation : Serpentaire
Identité métaphysique : Amoureux de Philosophie Naturelle
Humeur : Eve entée
Date d'inscription : 24/09/2010
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