Théorie des cordes
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Re: Théorie des cordes
C'est en effet un abus de langage, disons à la dimension de l'univers, plutôt que à l'infini.ronron a écrit:À l'infini?zizanie a écrit:Le paradoxe, c'est que matière et énergie sont une même substance.
Donc, en deçà d'une certaine limite, il n'y a plus rien à observer d'autre que de l'énergie.
Cette matière-énergie est confinée dans un espace extrêmement réduit avec une densité énorme, bien supérieure à la densité d'un trou noir.
D'où l'idée de cordes vibrantes extrêmement petites en dimensions et pouvant paradoxalement s'étirer à l'infini comme le fait par exemple un photon ou un neutrino.
Je croyais que l'univers était fermé??

En réalité, on n'a jamais mesuré l'action de la force électromagnétique (transmise par le photon) ni cette de la gravité (transmise par l'hypothétique graviton) sur de telles dimensions mais c'est une extrapolation des mesures et observations faites sur de plus courtes distances.
zizanie- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Théorie des cordes
- À Zizanie:
Gazette est à gazelle ce que cette est à...zizanie a écrit:
En réalité, on n'a jamais mesuré l'action de la force électromagnétique (transmise par le photon) ni cette de la gravité (transmise par l'hypothétique graviton) sur de telles dimensions mais c'est une extrapolation des mesures et observations faites sur de plus courtes distances.ronron a écrit:Je croyais que l'univers était fermé??
ronron- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Théorie des cordes
- À ronron:
Le démon de Maxwell a prit possession de mon clavier, je suis damnée!ronron a écrit:
Gazette est à gazelle ce que cette est à...zizanie a écrit:
En réalité, on n'a jamais mesuré l'action de la force électromagnétique (transmise par le photon) ni cette de la gravité (transmise par l'hypothétique graviton) sur de telles dimensions mais c'est une extrapolation des mesures et observations faites sur de plus courtes distances.ronron a écrit:Je croyais que l'univers était fermé??
zizanie- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Théorie des cordes
Une particule de masse nulle au repos se déplace à la vitesse de la lumière, quel que soit le référentiel choisi, c'est-à-dire quel que soit l'objet que l'on choisi comme étant fixe.
C'est le cas du photon, à l'inverse, une particule ayant une masse au repos non-nulle ne pourra jamais atteindre la vitesse de la lumière dans aucun référentiel.
La théorie quantique serait alors fausse? Pourtant, ce modèle donne des résultats théoriques extraordinairement proches de la réalité.
La conservation de la charge ne serait plus assurée,on aurait un léger changement sur la loi des forces électrostatiques en 1/d².
Le comportement du champ magnétique serait affecté,mais, il est vrai qu'il est quasiment impossible d'imaginer une expérience prouvant que la masse du photon est nulle.
Il faudrait montrer des anomalies de forces de moins de 3x10-27 eV.
Pour les profanes, énergie reçue par l'électron en passant du - au + d'une pile de 1 volt.
Énergie qu'acquiert un électron soumis à une différence de potentiel de 1 volt.
Énergie qu'acquiert une particule dans un milieu porté à 10 000 degrés.
Énergie cinétique acquise par un électron qui passe, dans le vide, d'un point à un autre ayant un potentiel supérieur de 1 volt.
Équivalent à 1,6021 10-19 J (joule).
C'est le cas du photon, à l'inverse, une particule ayant une masse au repos non-nulle ne pourra jamais atteindre la vitesse de la lumière dans aucun référentiel.
La théorie quantique serait alors fausse? Pourtant, ce modèle donne des résultats théoriques extraordinairement proches de la réalité.
La conservation de la charge ne serait plus assurée,on aurait un léger changement sur la loi des forces électrostatiques en 1/d².
Le comportement du champ magnétique serait affecté,mais, il est vrai qu'il est quasiment impossible d'imaginer une expérience prouvant que la masse du photon est nulle.
Il faudrait montrer des anomalies de forces de moins de 3x10-27 eV.
Pour les profanes, énergie reçue par l'électron en passant du - au + d'une pile de 1 volt.
Énergie qu'acquiert un électron soumis à une différence de potentiel de 1 volt.
Énergie qu'acquiert une particule dans un milieu porté à 10 000 degrés.
Énergie cinétique acquise par un électron qui passe, dans le vide, d'un point à un autre ayant un potentiel supérieur de 1 volt.
Équivalent à 1,6021 10-19 J (joule).
ruban de moebius- Maître du Temps
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Re: Théorie des cordes
Non, pourquoi? L'intrication et la décohérence ne suppose pas de déplacement de particules plus rapides que C.ruban de moebius a écrit:
La théorie quantique serait alors fausse? Pourtant, ce modèle donne des résultats théoriques extraordinairement proches de la réalité.
zizanie- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Théorie des cordes
Si des particules se déplaceraient plus vite que C cela violerait le modèle standard , des neutrinos qui voyageraient plus vite que la lumière, cela se traduit généralement par une violation de l’invariance de Lorentz, un des piliers de la physique théorique.
On parle dans les cas ou le photon aurait une masse, et dans ce cas il ne pourrait se déplacer à C .
Si une particule à une masse il est impossible qu'elle se déplace à C.
Dans ce cas il se déplacerait a une vitesse inférieure à C.
Pour vérifier si un photon aurait une masse il faudrait montrer des anomalies de forces de moins de 3x10-27 eV ce qui est quasiment impossible à imaginer.
On parle dans les cas ou le photon aurait une masse, et dans ce cas il ne pourrait se déplacer à C .
Si une particule à une masse il est impossible qu'elle se déplace à C.
Dans ce cas il se déplacerait a une vitesse inférieure à C.
Pour vérifier si un photon aurait une masse il faudrait montrer des anomalies de forces de moins de 3x10-27 eV ce qui est quasiment impossible à imaginer.
ruban de moebius- Maître du Temps
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Re: Théorie des cordes
Donc, la théorie quantique ne semble pas fausse et la relativité générale non plus dans la limite de ce qui est mesurable et de la précision de mesure atteinte. Leurs justesses réciproques est même remarquable, ce qui en fait d'excellentes théories que les scientifiques ne lâcheront(*) que pour une meilleure (globale mais toute aussi précise).
Seulement, ces deux théories sont incompatibles entre-elles. C'est pourquoi tant d'espérance est placée dans la théorie des cordes.
(*) Pour mémoire, dans les cas usuels, la théorie de Newton est encore largement utilisée.
Seulement, ces deux théories sont incompatibles entre-elles. C'est pourquoi tant d'espérance est placée dans la théorie des cordes.
(*) Pour mémoire, dans les cas usuels, la théorie de Newton est encore largement utilisée.
zizanie- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Théorie des cordes
C'est vrai que les 2 théories ne semblent pas fausses car elles sont vérifiés depuis leur apparition mais il y a un hic .
L'apparent fossé infranchissable qui sépare la mécanique quantique de la relativité générale d'Eeinstein. Rappelons que ces deux théories, vérifiées sans cesse depuis leur apparition, chacune dans son domaine, sont incompatibles quand elles décrivent l'espace. Pour la relativité, l'espace est malléable. Ses quatre dimensions se déforment en la présence de masses. La gravité résulte de cette déformation. Pour la mécanique quantique, l'espace est donné une fois pour toutes et n'est pas sensible à l'activité des particules qui s'y trouvent.
Le problème en entier explications: source Wiki
Une partie de la physique, notamment la physique théorique, repose aujourd’hui sur deux grandes théories en ce qui concerne la physique des particules. La relativité générale est une théorie de la gravitation qui décrit l'interaction gravitationnelle dans le cadre relativiste (relativité générale) essentiellement prouvée à l’échelle du système solaire (e.g. avancée du périhélie de Mercure) et à l'échelle astronomique (effet de lentilles gravitationnelles, dynamique des étoiles binaires); théorie déterministe classique qui a pour objet la détermination des trajectoires des corps en mouvement et de la lumière, ainsi que la description des changements exacts de coordonnées d'espace et de temps dans un changement de référentiel. À l’opposé, la mécanique quantique décrit le mouvement des particules dites élémentaires qui, par comparaison avec le monde classique, décrit les particules comme des ondes plus ou moins localisées, contrairement aux particules classiques qui sont exactement localisées.
Chacune de ces deux théories a conduit à des succès impressionnants (en terme d'expériences précises et fiables: c.f. Mécanique Classique et Mécanique Quantique) dans son propre domaine mais la différence profonde évoquée ci-dessus est à l’origine d’incohérences. Certains physiciens ont donc adopté une attitude pragmatique : utilisons chaque outil dans son domaine de validité sans nous poser de problèmes peut-être insolubles, c.f. École de Copenhague, contrairement à d'autres qui suggèrent un point de vue plus réaliste conforme aux deux théories, c.f. Théorie de De Broglie-Bohm.
Il reste que certains phénomènes nécessiteraient l'utilisation des deux théories. Ainsi, un trou noir a un champ gravitationnel tel qu’il attire tout ce qui passe à sa portée, y compris la lumière, ce qui implique la relativité générale. Pour tenter de décrire la "nature" de la « matière » dont il est constitué, ce qui implique la formulation d'une théorie des champs consistante d'un point de vue mathématique, il faut faire appel à la mécanique quantique. Les premiers instants du Big Bang poseraient, en considérant la théorie valide, un problème analogue, au moins à première vue. Les théories des cordes tentent de décrire de tels phénomènes. L'Univers élégant de Brian Greene donne à ce sujet un aperçu à l’usage des non-spécialistes.
Outre les controverses fondamentales évoquées ci-après, les théories des cordes présentent un inconvénient pratique, leur complexité extrême qui ne permet pas, à ce jour, d’aboutir à des résultats utilisables sans approximations grossières. C'est à ce jour avant tout une théorie mathématique ayant des visées physiques dont l'expérience reste à confirmer le bien fondé.
L'apparent fossé infranchissable qui sépare la mécanique quantique de la relativité générale d'Eeinstein. Rappelons que ces deux théories, vérifiées sans cesse depuis leur apparition, chacune dans son domaine, sont incompatibles quand elles décrivent l'espace. Pour la relativité, l'espace est malléable. Ses quatre dimensions se déforment en la présence de masses. La gravité résulte de cette déformation. Pour la mécanique quantique, l'espace est donné une fois pour toutes et n'est pas sensible à l'activité des particules qui s'y trouvent.
Le problème en entier explications: source Wiki
Une partie de la physique, notamment la physique théorique, repose aujourd’hui sur deux grandes théories en ce qui concerne la physique des particules. La relativité générale est une théorie de la gravitation qui décrit l'interaction gravitationnelle dans le cadre relativiste (relativité générale) essentiellement prouvée à l’échelle du système solaire (e.g. avancée du périhélie de Mercure) et à l'échelle astronomique (effet de lentilles gravitationnelles, dynamique des étoiles binaires); théorie déterministe classique qui a pour objet la détermination des trajectoires des corps en mouvement et de la lumière, ainsi que la description des changements exacts de coordonnées d'espace et de temps dans un changement de référentiel. À l’opposé, la mécanique quantique décrit le mouvement des particules dites élémentaires qui, par comparaison avec le monde classique, décrit les particules comme des ondes plus ou moins localisées, contrairement aux particules classiques qui sont exactement localisées.
Chacune de ces deux théories a conduit à des succès impressionnants (en terme d'expériences précises et fiables: c.f. Mécanique Classique et Mécanique Quantique) dans son propre domaine mais la différence profonde évoquée ci-dessus est à l’origine d’incohérences. Certains physiciens ont donc adopté une attitude pragmatique : utilisons chaque outil dans son domaine de validité sans nous poser de problèmes peut-être insolubles, c.f. École de Copenhague, contrairement à d'autres qui suggèrent un point de vue plus réaliste conforme aux deux théories, c.f. Théorie de De Broglie-Bohm.
Il reste que certains phénomènes nécessiteraient l'utilisation des deux théories. Ainsi, un trou noir a un champ gravitationnel tel qu’il attire tout ce qui passe à sa portée, y compris la lumière, ce qui implique la relativité générale. Pour tenter de décrire la "nature" de la « matière » dont il est constitué, ce qui implique la formulation d'une théorie des champs consistante d'un point de vue mathématique, il faut faire appel à la mécanique quantique. Les premiers instants du Big Bang poseraient, en considérant la théorie valide, un problème analogue, au moins à première vue. Les théories des cordes tentent de décrire de tels phénomènes. L'Univers élégant de Brian Greene donne à ce sujet un aperçu à l’usage des non-spécialistes.
Outre les controverses fondamentales évoquées ci-après, les théories des cordes présentent un inconvénient pratique, leur complexité extrême qui ne permet pas, à ce jour, d’aboutir à des résultats utilisables sans approximations grossières. C'est à ce jour avant tout une théorie mathématique ayant des visées physiques dont l'expérience reste à confirmer le bien fondé.
ruban de moebius- Maître du Temps
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Re: Théorie des cordes
Bon, c'est bien! Comme ça le lecteur aura le résumé et le développement.

zizanie- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Théorie des cordes
zizanie a écrit:Bon, c'est bien! Comme ça le lecteur aura le résumé et le développement.![]()
C'est le but non

ruban de moebius- Maître du Temps
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Re: Théorie des cordes
Chouette cela discute icizizanie a écrit:Le paradoxe, c'est que matière et énergie sont une même substance.
Donc, en deçà d'une certaine limite, il n'y a plus rien à observer d'autre que de l'énergie.
Cette matière-énergie est confinée dans un espace extrêmement réduit avec une densité énorme, bien supérieure à la densité d'un trou noir.
D'où l'idée de cordes vibrantes extrêmement petites en dimensions et pouvant paradoxalement s'étirer à l'infini comme le fait par exemple un photon ou un neutrino.

Je me permet de rebondir sur ce post: Une équipe de chercheurs de Toronto a réussi à montrer que la lumière peut être simultanément onde et corpuscule!
lien, cliquez moi
- traduction pour les rétifs à l’anglais:
- Une équipe internationale de chercheurs a, pour la première fois, a cartographié les trajectoires complètes de photons uniques dans Young célèbre double fente expérience. La conclusion tient une première étape importante vers la mesure des variables complémentaires d'un système quantique - qui jusqu'à présent a été considéré comme impossible en raison du principe d'incertitude d'Heisenberg.
Dans l'expérience double fente, un faisceau de lumière est braqué sur un écran à travers deux fentes, ce qui résulte en un motif d'interférence sur l'écran. Le paradoxe est que l'on ne pouvait pas dire par quelle fente photons uniques avait traversé, comme la mesure de ce qui faussent directement le motif d'interférence sur l'écran. "Dans la plupart des sciences, il est possible de regarder ce qui est un système faisant actuellement et ainsi, de déterminer son passé ou futur. Mais dans la mécanique quantique, il est considéré comme inconcevable de considérer le passé du tout», explique le physicien Aephraim Steinberg du Centre pour l'information quantique et le contrôle quantique à l'Université de Toronto, au Canada, qui a dirigé cette recherche nouvelle.
Maintenant, en utilisant une technique connue sous le nom "mesure faible", Steinberg et son équipe de recherche disent qu'ils ont réussi à mesurer avec précision la position et l'élan de photons uniques dans une expérience interféromètre à deux fentes. Le travail a été inspiré par un des collègues de Steinberg, Howard Wiseman de l'Université Griffith, Australie, qui en 2007 a proposé que il peut être possible d'utiliser des mesures faibles afin de déterminer moments et des positions dans l'expérience à double fente. Steinberg a été immédiatement fasciné et a commencé à voir comment cela allait devenir expérimentalement viable.
Attraper un aperçu
La théorie de la «mesure de faible», qui a d'abord été proposé en 1988 et développé par le physicien Yakir Aharonov et son groupe à Tel Aviv University, Israël, a vu une bonne quantité d'intérêt ces dernières années. La théorie affirme qu'il est possible de "faiblement" mesurer un système et ainsi de gagner quelques informations sur une propriété sans déranger sensiblement la propriété complémentaire et donc l'évolution future de l'ensemble du système. Bien que l'information obtenue pour chaque mesure est minime, soit une moyenne de plusieurs mesures donne une estimation précise de la mesure de la propriété sans dénaturer le résultat final.
Dans leur expérience, les chercheurs ont envoyé un ensemble de photons uniques à travers un interféromètre à deux fente et a effectué une mesure faible de manière à imprécise de mesurer l'impulsion de chaque photon. En se servant d'un morceau de la calcite, qui sert en tant que polariseur. En fonction de la direction de propagation, chaque photon est différemment polarisées et la direction est mesurée comme une fonction de la position. Il a été suivi par une mesure extrêmement précise de la position finale de l'endroit où chaque photon frappe la «écran», qui dans leur cas était un appareil photo. En combinant les positions mesurées imprécise en des points multiples et l'élan de mesurer avec précision à la fin pour chaque photon, les chercheurs ont réussi à construire un modèle de précision totalité du flux pour les photons.
"Cette mesure dynamique faible n'augmente pas sensiblement perturber le système, et l'interférence est toujours observé. Les deux mesures ont dû être répété sur un grand ensemble de particules afin de gagner suffisamment d'informations pour l'ensemble du système, mais nous n'avons pas perturber le résultat à tous les », explique Steinberg. "Nos trajectoires mesurées sont conformes, que Wiseman avait prédit, avec l'interprétation réaliste, mais non conventionnelle de la mécanique quantique de ces penseurs influents comme David Bohm et Louis de Broglie."
Les photons uniques qu'ils ont utilisés dans l'expérience ont été émis par un point-liquide refroidi à l'hélium quantiques InGaAs qui est pompé optiquement par un laser, ce qui a été spécialement développé à l'Institut National des Standards et de la technologie dans le Colorado, aux États-Unis. Le point a alors émis des photons uniques à une longueur d'onde de 943 nm.
Passé, présent et avenir
L'expérience à double fente fortement influencé le principe de complémentarité mis au point par Niels Bohr. Etats complémentarité que l'observation des variables complémentaires, tels que les trajectoires des particules comme l'interférence et comme une vague dans l'expérience double fente, dépend du type de mesure fait - le système ne peut pas se comporter comme à la fois une particule et onde simultanément. Expérience récente de Steinberg suggère cela ne doit pas être le cas - le système peut se comporter comme les deux.
Il en irait de soit Einstein ou Bohr être heureux ou surpris que cette mesure apparemment impossible a été fait? "Eh bien, je ne pense pas que Einstein serait surpris du tout! Mais en même temps je ne pense pas que ce serait lui faire plus à l'aise avec la mécanique quantique des systèmes simples," dit Steinberg, expliquant que Einstein était impatient de mesurer avec précision tous les paramètres d'un système quantique unique, quelque chose que nous ne sommes pas capables de tout de suite. "Bohr est une autre affaire, je doute que ses contemporains, même compris exactement ce qu'il voulait dire," dit Steinberg. "Mais peut-être cette mesure ferait de lui [Bohr] un peu plus prudent avec sa langue tout en parlant de complémentarité."
La recherche est publiée dans Science.
freefox- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: Théorie des cordes
je croyais que la theorie des quantas l'avait démontré depuis longtemps !
JO- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Théorie des cordes
C'était soit l'un soit l'autre miaou

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Re: Théorie des cordes
Non, dans la MQ, tant qu'on ne fait pas de mesure, c'est les deux.
C'est la mesure (l'intrication avec l'environnement) qui impose un choix.
Globalement, et au delà des photons, toute la matière est à la fois ondes et particules.
C'est la mesure (l'intrication avec l'environnement) qui impose un choix.
Globalement, et au delà des photons, toute la matière est à la fois ondes et particules.
zizanie- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Théorie des cordes
Et quelle est la nature de la particule : un paquet d'ondes?zizanie a écrit:Non, dans la MQ, tant qu'on ne fait pas de mesure, c'est les deux.
C'est la mesure (l'intrication avec l'environnement) qui impose un choix.
Globalement, et au delà des photons, toute la matière est à la fois ondes et particules.
ronron- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Théorie des cordes
De nature énergétique mais bien malin celui qui pourra en connaître d'avantage (le paquet d'onde n'est qu'un modèle mathématique).ronron a écrit:Et quelle est la nature de la particule : un paquet d'ondes?zizanie a écrit:Non, dans la MQ, tant qu'on ne fait pas de mesure, c'est les deux.
C'est la mesure (l'intrication avec l'environnement) qui impose un choix.
Globalement, et au delà des photons, toute la matière est à la fois ondes et particules.
Certains comparent la particule à une bulle de savon qui gonfle au fur et à mesure qu'elle progresse et qui éclate au contact du doigt (c'est à dire au moment de l'intrication ou de la mesure).
zizanie- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Théorie des cordes
Donc tout est de nature énergétique, pure énergie... Sans trop qu'on en sache plus...zizanie a écrit:De nature énergétique mais bien malin celui qui pourra en connaître d'avantage (le paquet d'onde n'est qu'un modèle mathématique).ronron a écrit:Et quelle est la nature de la particule : un paquet d'ondes?zizanie a écrit:Non, dans la MQ, tant qu'on ne fait pas de mesure, c'est les deux.
C'est la mesure (l'intrication avec l'environnement) qui impose un choix.
Globalement, et au delà des photons, toute la matière est à la fois ondes et particules.
Le moins qu'on puisse dire, c'est que la matière avait la couenne dure...
ronron- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Théorie des cordes
Ce qui rend si dure la matière ce n'est uniquement la force électrode-magnétique (encore de l'énergie).ronron a écrit:
Le moins qu'on puisse dire, c'est que la matière avait la couenne dure...
zizanie- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Théorie des cordes
Chat (miaou) c'est quand la matière est sous électrocardiogramme/ou électroencéphalogramme, faut appliquer des électrodes magnétiques en force!zizanie a écrit:Ce qui rend si dure la matière ce n'est uniquement la force électrode-magnétique (encore de l'énergie).ronron a écrit:
Le moins qu'on puisse dire, c'est que la matière avait la couenne dure...

freefox- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: Théorie des cordes
Bah! ça fera une perle de plus.
(et trop tard pour corriger).

(et trop tard pour corriger).
zizanie- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Théorie des cordes
Absolument Ziz mais c'est les deux potentiellement, mais leur dualité cesse lors de la mesure, c'est donc soit l'une ou l'autre forme, alors que cette nouvelle expérience des fentes du jeuno par l'équipe de Toronto monterait (soyons prudent) la fin de la dualité en montrant un photon dans les deux formes simultanément!zizanie a écrit:Non, dans la MQ, tant qu'on ne fait pas de mesure, c'est les deux.
C'est la mesure (l'intrication avec l'environnement) qui impose un choix.
Globalement, et au delà des photons, toute la matière est à la fois ondes et particules.
Ou alors j'ai mal interprété cet article et je vais donner à manger à mon neurone unique et préféré qui serait peut être anémié!

freefox- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: Théorie des cordes
C'est pô moi qui cafteraiszizanie a écrit:Bah! ça fera une perle de plus.![]()
(et trop tard pour corriger).

freefox- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: Théorie des cordes
C'est vrai c'est pas bien .freefox a écrit:C'est pô moi qui cafteraiszizanie a écrit:Bah! ça fera une perle de plus.![]()
(et trop tard pour corriger).![]()

ruban de moebius- Maître du Temps
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Re: Théorie des cordes
Ce n'est qu'un jeu voyons!

zizanie- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Théorie des cordes
Pour l'instant la théorie des cordes n'est qu'un axiome, les cordes remplaçent les particules. Elle nécessite le concept de 9 dimensions spatiales et une dimension temps.
Elle a l'avantage de règler le problème des infinis.
Mais la mathématique nécessaire est extrèmement compliquée.
Je cite huberts reeves :
Elle a l'avantage de règler le problème des infinis.
Mais la mathématique nécessaire est extrèmement compliquée.
Je cite huberts reeves :
Le scepticisme régnant dit : “ce n’est pas faire de la physique que d’inventer un formalisme prétendant qu’il soit la vérité – sans pour autant pouvoir faire les calculs”.
manuramolo- Maître du Temps
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