Roman de Magnus - Extraits
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Re: Roman de Magnus - Extraits
- Source de la curiosité:
- Anna m'attendait à la sortie, blessée, inutile, assise sur l'herbe, toute menue sous la protection gigantesque des murs. "Ses lèvres bougent" observai-je, "elle prie". Peut-être est-ce Jésus qu'elle aurait dû rencontrer, au lieu de moi.
- Présence second texte:
- Au bout de la chapelle, sous le Crucifié, se tenaient, repliées en génuflexion recueillie, Anna,
Dodo- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Roman de Magnus - Extraits
- Spoiler:
Tout à fait. C'est comme si le narrateur se raccrochait à elle ; qu'à travers tous les autres personnages de l'asile, qu'à travers sa perception dans ces dialogues, ces confrontations, ces constats de moments, puis d'autre, de perceptions, rencontres, d'univers, d'un moment, puis d'un autre, il s'en dise que quelque part, elle est là, et qu'il espère en retrouver cette simple personne telle qu'elle est, quelque part et qui elle est.Dodo a écrit:Je me demandais si c'était la même, elle a rôle qui attire l'attention dans le premier texte.
Comme si de la trouver-retrouver en marquait un sens pour sortir de tous les autres univers, ou du moins, elle en est comme l'élément en contraste de tout le reste.
Nuage- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Roman de Magnus - Extraits
- Réponse à Dodo:
Oui, c'est la même, mais avec d'autres femmes, dans ce rêve : Mathilde, Jamila, Clémence.Dodo a écrit:- Source de la curiosité:
- Anna m'attendait à la sortie, blessée, inutile, assise sur l'herbe, toute menue sous la protection gigantesque des murs. "Ses lèvres bougent" observai-je, "elle prie". Peut-être est-ce Jésus qu'elle aurait dû rencontrer, au lieu de moi.
- Présence second texte:
- Au bout de la chapelle, sous le Crucifié, se tenaient, repliées en génuflexion recueillie, Anna,
Il y a aussi l'énigmatique Rosalie, la patiente du pavillon des femmes, à qui José (le narrateur) écrit toutes ces lignes. Il espère pouvoir les lui remettre lorsqu'elle sortira de l'asile Quelle sera sa réaction ?
Pour la source une citée par Dodo, la phrase complète est :
« Anna m'attendait à la sortie, blessée, inutile, assise sur l'herbe, toute menue sous la protection gigantesque des murs. "Ses lèvres bougent" observai-je, "elle prie". Peut-être est-ce Jésus qu'elle aurait dû rencontrer, au lieu de moi. Pour se faire moniale, se retrancher du monde des angoisses affectives, ne plus vivre que pour son Maître. S'abandonner au Père, cultiver un coin de jardin à l'ombre d'un couvent, jouir des jours en silence, simplement, vieillir en quiétude, ne plus se soucier d'ici-bas, se dépouiller des contraintes superflues, des questions infertiles. »
Le lecteur peut donc supposer qu'elle finira par entrer dans un couvent.
Pour ma part, je n'ai pas envie de me retaper 400 pages pour savoir ce que devient Anna, je n'ai pas retrouvé mes notes concernant l'intrigue.
Par contre, je vais tâcher de retrouver le texte de la rencontre, à leur sortie, du narrateur, José, et de la mystérieuse Rosalie Cîteaux.
Une love-story va-t-elle naître, après toutes ce pages où José se dévoile à elle et lui raconte à la fois son présent quotidien à l'asile et son passé ?
Et si oui, de quel genre ?
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MES POEMES :
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Avec Dieu, ce qu'il y a de terrible, c'est qu'on ne sait jamais si ce n'est pas un coup du diable...
(Jean Anouilh)
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Re: Roman de Magnus - Extraits
- Réponse à Nuage:
Analyse très intéressante.Nuage a écrit:- Spoiler:
Tout à fait. C'est comme si le narrateur se raccrochait à elle ; qu'à travers tous les autres personnages de l'asile, qu'à travers sa perception dans ces dialogues, ces confrontations, ces constats de moments, puis d'autre, de perceptions, rencontres, d'univers, d'un moment, puis d'un autre, il s'en dise que quelque part, elle est là, et qu'il espère en retrouver cette simple personne telle qu'elle est, quelque part et qui elle est.Dodo a écrit:Je me demandais si c'était la même, elle a rôle qui attire l'attention dans le premier texte.
Comme si de la trouver-retrouver en marquait un sens pour sortir de tous les autres univers, ou du moins, elle en est comme l'élément en contraste de tout le reste.
C'est en effet le cas d'un autre roman (raté) retrouvé, où le personnage féminin central se prénomme comme par hasard… Anna.
Suite à l'échec de ce roman-là, j'ai voulu faire une sorte de contraction de textes, en changeant en partie de lieux et avec une autre intrigue.
Un certain nombre de passages se retrouvent textuellement dans les deux livres.
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Re: Roman de Magnus - Extraits
Magnus a écrit:
- Réponse à Dodo:
Oui, c'est la même, mais avec d'autres femmes, dans ce rêve : Mathilde, Jamila, Clémence.Dodo a écrit:
- Source de la curiosité:
Anna m'attendait à la sortie, blessée, inutile, assise sur l'herbe, toute menue sous la protection gigantesque des murs. "Ses lèvres bougent" observai-je, "elle prie". Peut-être est-ce Jésus qu'elle aurait dû rencontrer, au lieu de moi.Je me demandais si c'était la même, elle a un rôle qui attire l'attention dans le premier texte.
- Présence second texte:
Au bout de la chapelle, sous le Crucifié, se tenaient, repliées en génuflexion recueillie, Anna,
Il y a aussi l'énigmatique Rosalie, la patiente du pavillon des femmes, à qui José (le narrateur) écrit toutes ces lignes. Il espère pouvoir les lui remettre lorsqu'elle sortira de l'asile Quelle sera sa réaction ?
Pour la source une citée par Dodo, la phrase complète est :
« Anna m'attendait à la sortie, blessée, inutile, assise sur l'herbe, toute menue sous la protection gigantesque des murs. "Ses lèvres bougent" observai-je, "elle prie". Peut-être est-ce Jésus qu'elle aurait dû rencontrer, au lieu de moi. Pour se faire moniale, se retrancher du monde des angoisses affectives, ne plus vivre que pour son Maître. S'abandonner au Père, cultiver un coin de jardin à l'ombre d'un couvent, jouir des jours en silence, simplement, vieillir en quiétude, ne plus se soucier d'ici-bas, se dépouiller des contraintes superflues, des questions infertiles. »
Le lecteur peut donc supposer qu'elle finira par entrer dans un couvent.
Pour ma part, je n'ai pas envie de me retaper 400 pages pour savoir ce que devient Anna, je n'ai pas retrouvé mes notes concernant l'intrigue.
Par contre, je vais tâcher de retrouver le texte de la rencontre, à leur sortie, du narrateur, José, et de la mystérieuse Rosalie Cîteaux.
Une love-story va-t-elle naître, après toutes ce pages où José se dévoile à elle et lui raconte à la fois son présent quotidien à l'asile et son passé ?
Et si oui, de quel genre ?
- Retour sur ? ? ?:
- Je pense que vous la ferez pleurer... que oui, ce sera un conte de fée.
Dodo- Seigneur de la Métaphysique
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Localisation : Alma - (Saguenay)
Identité métaphysique : Magicien distrait
Humeur : Aux anges…
Date d'inscription : 21/07/2021
Re: Roman de Magnus - Extraits
- Réponse:
- Un conte de fées ? Eh bien, nous allons le découvrir dans ce cinquième extrait. D'une lettre envoyée à un autre personnage.
EXTRAIT 5
- Ah ! vous sortez aussi, dis-je à Rosalie, j'en suis content.
- Oui, dit-elle sans plus.
Elle ne semblait pas avoir envie de parler.
Et moi, je ne savais pas trop comment l'aborder.
Dans le bus, je finis par réussir à lui dire :
- Il faut que je vous dise, ça va peut-être vous paraître bizarre mais… j'ai écrit un journal de bord.
- Oui ? Moi aussi.
- Vous aussi ? Ah c'est bien, ça, nous avons eu la même idée.
Je nous imaginais en train de les échanger, la suite allait sûrement être captivante.
- Le mien, lui dis-je, je l'ai écrit sous forme de lettres.
- Ah bon. Comme si vous vous adressiez à quelqu'un, alors ?
- Oui, dis-je, forcément.
- Ah bon.
- Heu… à quelqu'un qui existe, précisai-je.
- Ah bon.
- Oui. A.. à vous.
- Moi ? Quelle drôle d'idée, dit-elle avec un rire gêné.
J'attendais qu'elle enchaîne, qu'elle pose des questions, mais elle resta silencieuse.
Aussi, je lui dis :
- Je vous avais aperçue, un après-midi, dans le parc. Alors je me suis dit, --- enfin j'ai eu envie de vous écrire. Et je vous ai écrit ce qui se passait à l'institut autour de moi ; par la même occasion, je vous ai un peu raconté ma vie… .
- Ah bon.
Je n'aimais pas la façon qu'elle avait de dire "ah bon".
- Alors, maintenant que nous sommes sortis, dis-je, ce serait peut-être intéressant que je vous remette ces feuilles.
- Ah bon, vous croyez ? Moi, je n'ai pas envie qu'on lise ce que j'ai écrit pendant que j'étais là.
- Non, non heu rassurez-vous : je ne vous le demande pas. Mais vous, vous accepteriez de… ?
- Y'a combien de pages ?
Je sortis le manuscrit de ma valise.
- Voilà, dis-je fièrement.
- Tout ca ? dit-elle d'un ton effrayé.
- Vous n'avez peut-être pas écrit autant que moi, vous ?
- Non, quelques lignes tous les trois ou quatre jours, quoi.
- Oui.., mais ici c'est.. c'est pour vous, que j'ai écrit. Enfin, pour moi aussi bien sûr, mais.. mais en pensant à vous, tous les jours.
- Je n'aurai jamais le temps de lire tout ça, dit-elle.
- Pourquoi ?
- J'sais pas, pour ça.
- Pourquoi 'pour ça' ? lui demandai-je.
- Je ne lis pas beaucoup, je n'aime pas.
- Qu'est-ce que vous aimez ?
- J'sais pas, moi, la télé.
- Ah oui.. Mais, vous savez, ceci n'est pas un roman, c'est.. J'y ai mis tout mon cœur.
- Ouais mais c'est quand même devoir lire, dit-elle.
- Heu… vous n'avez pas d'alliance, je vois, vous n'avez donc pas un mari qui vous attend, enfin je veux dire : qui ne serait pas d'accord pour que vous me lisiez, heu… Ah mais vous avez un petit-ami, peut-être, qui vous attend à la gare ?
C'est vrai que je n'y avais jamais songé, à cette éventualité.
- Non, j'ai personne, dit-elle.
- Vous habitez où ?
- A Narnante.
- Ah, fis-je, déçu. Moi je vais dans le sens opposé. C'est beau, Narnante ?
- Ben, c'est une ville, quoi.
- Il y a des choses qui pourraient vous intéresser, vous savez, dans ce que j'ai écrit.
- Ah bon. Mais je ne vous connais pas. Je ne vais pas lire quelque chose de quelqu'un que je ne connais pas, dit-elle.
- Vous apprendriez à me connaître, en me lisant.
- Vous parlez de quoi là-dedans ? demanda-t-elle.
- Je vous l'ai dit : de l'institut, de moi, de ma vie ---et je vous parle à vous.
Elle eut de nouveau ce bête rire gêné. Qu'il soit gêné, je pouvais le concevoir, mais bête à ce point, non.
- Vous ne dites rien, dis-je.
- Dire quoi ?
- Mais… parlez-moi de vous.
- Moi ? Moi ça va, maintenant, je crois que ça ira bien quand je rentrerai, mais faudra pas que j'oublie de prendre trois Déziman par jour. Avec ça, ça ira.
- Oui, sûrement, dis-je. Mon psy m'a di des choses très intéressantes, c'est dans mes lettres aussi.
- Ah bon. Vous avez mis beaucoup de choses, là-dedans quoi.
- Oui, oui, beaucoup.
- Je crois qu'on arrive, dit-elle.
- Hein ? Ah oui, en effet, c'est la gare.
'Je vous offre un verre à la buvette.
- Non, ça ira, dit-elle : la Sœur m'a donné toute une bouteille de limonade, pour le retour. J'ai un train tout de suite.
- C'est pour discuter un peu, dis-je, vous avez sûrement un train toutes les heures, pour Narnante.
- Je suis fatiguée, dit-elle, j'avais l'habitude de faire une sieste, à cette-heure-ci, à l'institut.
- Vous dormirez dans le train, je veux dire : dans le train suivant.
- Non, je ne dors pas bien, dans les trains. Je préfère dormir chez moi.
Salle des pas perdus.
- Vous tenez vraiment à prendre ce train-là ?
- Oui, c'est mon train.
- Ecoutez, dis-je, je vous passe mon texte, vous lirez les premières pages dans le train, et si elles ne vous plaisent pas, vous me renverrez le paquet par la poste, je vais vous donner mon adresse.
- Montrez-voir comme ça, au hasard.
- Oui, bien sûr !...
'Voilà, vous l'ouvrez où vous voulez.
Elle ouvrit au hasard.
- Jamila, c'est qui ça ?
- Heu c'est une femme que… que j'ai connue.
- Ah bon.
'C'est drôle, comme vous écrivez.
- Drôle ?
- Ouais. Et ça a l'air compliqué. J'y vais, hein, on annonce le train.
- Non mais écoutez, Rosalie, réfléchissez encore un peu, pendant des jours et des jours, j'ai…
- Le train va arriver.
- Oui oui, juste deux secondes, prenez encore une fois au hasard, une seule fois, c'est tout.
Elle prit au hasard.
- Ben là vous dites que vous avez envie de me tripoter ; et "platoniquement", ça veut dire quoi ce mot ?
'Mon train est là, dit-elle sans attendre ma réponse.
De toute façon, je ne savais plus quoi lui dire. En plus, elle traînait sur les mots, quand elle parlait.
Et elle n'était même pas jolie. Elle avait un nez trop long, et rien dans le regard. Ses mollets étaient un peu trop arqués, elle était trop plate de poitrine et elle avait une vilaine tache de rousseur sur la joie droite. Elle n'était pas très bien coiffée, et ses mains étaient trop grandes.
- Bon, dis-je, eh bien : aurevoir.
Elle partit vers son wagon en marchant lassement, comme dans le parc. Aucune élégance !
Seulement, ici, ça n'avait plus rien d'émouvant.
Je téléphonai immédiatement à De Lamotte.
....
Dernière édition par Magnus le Dim 15 Aoû 2021 - 17:01, édité 5 fois
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Re: Roman de Magnus - Extraits
- Spoiler:
- Ha ha ! très bon. On sent un dialogue qui se tient avec une réelle interaction entre les personnages, je veux dire avec ce côté vivant d'un dialogue qui ne nous lâche à aucun moment parce que les personnages eux-mêmes ne se lâchent pas non plus, où chaque réplique appelle la suivante, ce qui rend le tout très dynamique.
loofrg- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Roman de Magnus - Extraits
- Spoiler:
- Correction orthographe :
1)
Moi je n'aiMoi, je n'a pas envie qu'on lise ce que j'ai écrit pendant que j'étais là.
2) Il me semble qu'il y a un "s" à "jour" :tous les trois ou quatre jour
3)
VousVus habitez où ?
4) Je ne sais pas s'il faut un "s" à "téléphonai"
étant donné qu'il y en à un a cette phrase :Je téléphonai immédiatement à De Lamotte.J'attendais qu'elle enchaîne .../...
Nuage- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Roman de Magnus - Extraits
- Corrections:
J'attendais qu'elle enchaîne peut se dire dans ce contexte, il y a bien elle ne semblait pas avoir envie de parler. J'ai donc hésité, et finalement j'ai mis j'attendis, mais je ne suis pas sûr que ce soit le bon choix.
Les autres corrections sont faites, erreurs d'inattention, de frappe ou de lettres coincées dans le clavier.
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Re: Roman de Magnus - Extraits
- Spoiler:
- Non ça va pas "attendis", ça change complétement le rythme, l'atmosphère, le suspend qui s'étire dans la démarche ; vaut mieux je pense revenir à la première formule.
D'autant plus, qu'après il est écrit : "Aussi, je lui dis :" et la ça raisonne mal à l'oreille avec le "attendis" juste avant.
Nuage- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Roman de Magnus - Extraits
Nuage a écrit:
- Spoiler:
Non ça va pas "attendis", ça change complétement le rythme, l'atmosphère, le suspend qui s'étire dans la démarche ; vaut mieux je pense revenir à la première formule.
D'autant plus, qu'après il est écrit : "Aussi, je lui dis :" et la ça raisonne mal à l'oreille avec le "attendis" juste avant.
- Spoiler:
Il me semblait bien que ç'était quelque part littérairement choquant.
J'ai donc recorrigé.
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